Les conneries on stage
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Chouby
Une par exemple : tonton chouboudou monte sur scene et commence a souffler dans le bignou....bizard, on dirait qui sors rien... discretement je sors de la scene et change les piles de mon HF. Je me rends compte alors que j avais pas mis en route mon emeteur... Quel con qd j y repense
sonicsnap
Will Zégal
melski44
Citation :je branche mon matos dans la table de mix, je check les micros, il y a du signal (les vumètres s'allument), mais toujours pas de son dans les enceintes... [...] Panique à bord, le concert doit commencer dans quelques minutes...
C'est pas un peu tard de monter le matos quelques minutes avant un concert ?
Bon, je sais que des fois, on n'a pas trop le choix : la scène est prise par autre chose, ou ce genre de phénomènes.
Mais dans la mesure du possible, je prévois toujours une bonne marge de manoeuvre pour monter sans pression et résoudre d'éventuels problèmes techniques.
Sans ce soucis de son, normalement, on aurait eu une marge de manœuvre. Mais c'est un nouveau projet et je n'ai pas encore minuté précisément combien de temps je mets à tout installer. Je saurai pour la prochaine fois !
Mes compositions (y compris les compos collectives et inspirées d'AF !)
Mes démos de matos : Soundcloud - Youtube
Mon groupe Montoya
chacal549
Ah oui mais non, si on commence à respecter les fiches techniques de tout le monde on s'en sort plus !
(...)
A la fin du morceau je réouvre les yeux et là plus de sondier en face... euh il est parti où ? Bah il est parti prendre un café... il reviendra 5 minutes plus tard nous laissant comme 3 ronds de flan sur scène.
franchement, je comprends qu'une fête de la musique quand tu es sondier ce soit chiant à gérer, t'alternes entre des divas qui se sentent plus alors que c'est leur première scène, des semi pros exigeants et des branleurs qui ne savent pas du tout ce qu'ils font...
Mais si prends le plan, t'assumes et tu te comportes pas comme une caricature de mauvais sondier, tu fais ton taff. Franchement il aurait mérité que vous foutiez le camp ... (surtout qu'en plus FDM, donc j'imagine plan gratos... )
Avocat du diable et de sa musique et expert en vacuité dispendieuse.
sonicsnap
melski44
Mes compositions (y compris les compos collectives et inspirées d'AF !)
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Mon groupe Montoya
Light'UP!
Après selon comment c'était organisé par les "décideurs" le sondier n'est peut-être pas le seul à blâmer. Mais dans ce genre de cas (ça me rappelle du vécu en Avignon...) personnellement j'essaie toujours de faire au mieux pour les compagnies reçues, il m'est arrivé de passer la moitié de la nuit à résoudre un problème en début de festival pour pouvoir bosser sereinement après, parce que sinon au final ça nous retombe dessus aussi...
Question de conscience professionnelle, et aussi de passion, ça aide...
Anonyme
Citation de maxomatoz :Ah oui mais non, si on commence à respecter les fiches techniques de tout le monde on s'en sort plus !
(...)
A la fin du morceau je réouvre les yeux et là plus de sondier en face... euh il est parti où ? Bah il est parti prendre un café... il reviendra 5 minutes plus tard nous laissant comme 3 ronds de flan sur scène.
franchement, je comprends qu'une fête de la musique quand tu es sondier ce soit chiant à gérer, t'alternes entre des divas qui se sentent plus alors que c'est leur première scène, des semi pros exigeants et des branleurs qui ne savent pas du tout ce qu'ils font...
Mais si prends le plan, t'assumes et tu te comportes pas comme une caricature de mauvais sondier, tu fais ton taff. Franchement il aurait mérité que vous foutiez le camp ... (surtout qu'en plus FDM, donc j'imagine plan gratos... )
Un technicien son ne bosse pas gratos pour la fête de la musique.
kosmix
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
Will Zégal
En fait, sur le fond, il a raison. On trouve n'importe quoi sur les fiches techniques, que ce soit celles de groupes amateurs ou pros: "pas de console numérique", "105dB en tout point de la salle", "réponse en fréquence de 20Hz à 20kHz", etc. Et y'a aussi les fiches tech de 15 pages qu'on dirait rédigées par un cabinet d'avocat d'envergure internationale.
Sauf que...
D'une, avec l'expérience, tu arrives rapidement à séparer le signal du bruit de fond dans une fiche tech;
De deux, sur les points susceptibles de poser problème, tu contactes le groupe à l'avance pour t'arranger. C'est entre autre à ça que sert une fiche tech;
De trois, changer les micros chant par des micros perso, ça prend pas non plus des plombes hein. C'est mieux en terme d’hygiène, et c'est souvent mieux en terme de son si les chanteurs ont choisi un micro adapté à leur voix.
Et surtout, t'accueilles pas un groupe de cette façon. Première faute professionnelle. Signe simplement d'un connard qui méprise les gens au service duquel il est pourtant sensé se mettre.
Mais le coup de se barrer pendant les balances
Un mec comme ça, soit je le balance au moment des remerciements
"et merci à machin au son qui s'est barré boire un café pendant les balances"
soit je le balance à l'employeur (la mairie probablement).
A part chez moi où ça manque un peu, il y a sinon assez de gens qui veulent crocher dedans et galèrent à bosser pour ne pas laisser la place à des gens qui ne font pas le boulot.
Bon, le coup de se barrer en pleines balances, on me l'a fait. On avait notre ingé son, mais il ne connaissait pas la console et l'ingé d'accueil s'est tiré. Notre ingé son galérait (de ce que j'ai compris, c'était un peu compliqué humainement avec le mec d'accueil et je soupçonne même un vieux passif entre eux). Je suis allé voir l'ingé d'accueil qui était parti papoter devant la salle et je lui ai simplement dit assez fermement que notre ingé son galérait avec la console qu'il ne connaissait pas et que donc il serait bien aimable de venir faire son travail et de l'assister.
Zéro problème.
Vallait mieux pas sinon j'allais direct voir l'orga.
Nick Zefish
les gens au service duquel il est pourtant sensé se mettre.
Je ne le dirais pas comme ça. Une des raisons pour lesquelles je bosse essentiellement avec des pros (qui vivent de leur activité musicale), c'est qu'ils ont conscience qu'ils bossent avec les techniciens au service du public. Entre techos et musicos, on est collègues de bureau finalement. Les relations au sein des métiers du spectacle sont complexes et on ne peut pas toujours les résumer à "être au service de". Le technicien plateau, on peut dire qu'il est au service des musiciens. Mais le sonorisateur façade, en principe sont boulot c'est d'être les oreilles externes du groupe, depuis la zone "public". Pour que ça se passe bien, le groupe doit respecter ses consignes. Autre exemple typique: un comédien solo qui paye un metteur en scène pour le diriger, qui est au service de qui ?
Bon mais ça c'est de façon générale. On est d'accord que dans le cas présent, se barrer en balance, c'est un mépris total, pas sérieux.
A part chez moi où ça manque un peu, il y a sinon assez de gens qui veulent crocher dedans et galèrent à bosser pour ne pas laisser la place à des gens qui ne font pas le boulot.
C'est n'est pas du tout le cas en ce moment, et pas que chez toi. Depuis la fin des confinements, il y a le cumul d'une abondance de spectacles (rattrapage de tous ceux qui n'ont pu être diffusés) et de manque de main d’œuvre: plein de gens se sont barrés de ces métiers où il était interdit de bosser. Les employeurs ont un mal fou à trouver des techniciens.
Mais si le manque de main d’œuvre peut justifier que tu recrutes un gars pas très solide techniquement, ça n'autorise pas à être un branleur. Surtout, le techos qui n'en a rien à foutre ne date pas de l'après-COVID. Bien avant ça, j'ai quand même été recruté sur des festivals avec des équipes complètes d’intermittents qui faisaient le boulot que les techniciens de la salle, employés par la mairie, ne faisaient pas (ils squattaient la machine à café). Dans le milieu, on se moque de ces mecs de 57 ans qui ont été envoyés dans les services culturels parce que c'est là qu'ils font le moins de mal... Et la fameuse blague sur l'ingé-son qui se prend pour dieu, elle ne vient pas de nulle part non plus.
Will Zégal
Citation :les gens au service duquel il est pourtant sensé se mettre.
Je ne le dirais pas comme ça. Une des raisons pour lesquelles je bosse essentiellement avec des pros (qui vivent de leur activité musicale), c'est qu'ils ont conscience qu'ils bossent avec les techniciens au service du public. Entre techos et musicos, on est collègues de bureau finalement.
Effectivement, la formulation n'est pas hyper exacte. Ce ne sont pas les gens au service duquel il est, mais de leur travail.
Mon ingé son, Marco, est payé le même prix que nous. On le traite parfaitement d'égal à égal et on le traite comme un collègue.
Il n'empêche qu'à un moment, la musique, c'est la notre, la scène, c'est nous qui la tenons, le son, c'est le notre, etc. Et le public, comme les orgas, c'est nous qu'ils demandent et pas lui. C'est notre nom sur l'affiche et pas le sien. On peut le changer ou jouer sans lui, avec l'ingé son d'accueil, ce qui arrive parfois quand il n'est pas dispo, ça reste du BHT. Il peut sonoriser d'autres groupes, ça sera du groupe Machin et pas du Marco. Ni même du groupe Machin sonorisé par Marco.
Alors peut-être qu'en tant que tekos, ça te gêne de dire que tu es au service des musiciens. Lui ça ne lui pose aucun problème (et il vit l'inverse quand il est sur scène parce qu'il en fait et est aussi un très bon musicien).
Et moi non plus quand je fais de la technique. Et même quand je produis des albums en studio. Le musicien que je produis, je lui fait des propositions, mais à la fin, c'est toujours lui qui décide et c'est normal. Je suis le maître d’œuvre, mais il est le maître d'ouvrage. C'est son nom qui sera sur la pochette du disque. Le mien il est en tout petit derrière ou à l'intérieur et c'est normal.
Il ne s'agit pas de se comporter en petit chef ou en supérieur. C'est clairement pas l'esprit. Mais quand un gugus se comporte comme celui qu'on évoquait, ça peut mériter de rappeler certains trucs. Et qu'on ait éventuellement affaire à des amateurs n'y change rien. Pour moi, si t'acceptes pas ça, c'est que t'as rien à foutre dans ce boulot.
(en plus, c'est très con professionnellement parce qu'on ne sait jamais ce que va devenir le groupe ou certains de ses membres, pas plus qu'on en sait avec qui ils sont potes.)
sonicsnap
kosmix
ça reste du BHT.

! ! !
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
chacal549
Je pense que chacal parlait du groupe, pas du sondier.
exactement
Avocat du diable et de sa musique et expert en vacuité dispendieuse.
sonicsnap
Pretextat
C'est pourtant l'inverse que j'ai observé .
Plus l'organisation s'est impliquée pour la pub, le cachet, les médias, le son/light, meilleur sera l'accueil .
Il faut bien rentrer dans ses frais .
Will Zégal
D'une, des bonnes causes, il y a en 1000 et quand tu fais ce genre de choses, tu peux jouer toutes les semaines. Gratuitement.
Surtout, j'ai trop souvent vu du nawak en terme d'organisation et de technique, voire en terme de communication (soit par légèreté, soit par manque de moyens, y compris humains).
Après tout, "organiser" un concert se limite pour certains à proposer à un groupe de venir jouer avec sa sono. ça ne coûte rien, pas même en temps, à part les repas et quelques bières pour les musiciens (quoi que certains peuvent pousser l'indécence jusqu'à ne pas les fournir).
Donc c'est vite rentabilisé, alors pourquoi se casser le cul ?
Et souvent, les musiciens sont traités... comme des trucs gratuits.
Au contraire, quand il faut payer le groupe, la sonorisation, l'ingé son, ben vu l'investissement, t'as intérêt à bien soigner ton organisation pour faire venir du monde. Généralement, on est dans des évènements de qualité à tous les niveaux. Y compris l'accueil des musiciens.
A propos, il y avait le téléthon le week-end dernier et je m'étonne que ça n'ait pas occasionné une vague de posts ici. C'est pourtant, avec la FDM, une des grandes occasions de l'année de nawak en terme d'accueil et de conditions de jeu, donc de COS. Pire même que le FDM qui est au moins le plus souvent organisée par des gens en rapport avec la musique ou y ayant quelques expériences. Les nawaks et foutages de gueule du téléthon, on pourrait en faire un sujet entier.
Percival
D'autant que jouer gratuit, au final, ça consiste à payer pour jouer : on va payer des cordes, des baguettes, du carburant, l'usure du matériel.... Donc une attitude de pur amateur qui paye pour ses loisirs.
Et puis, jouer gratuitement, ça peut prendre du travail à d'autres musiciens professionnels, qui, eux, se seraient fait payer et, au final, ça nuit gravement à l'ensemble de la profession. (On oubliera les spectacles 100% amateurs, de l'orga qui n'a pensé à rien aux instrumentistes qui ne savent pas jouer, ça c'est encore un autre monde....
Que diraient un boulanger ou un maçon si quelqu'un proposait les mêmes prestations qu'eux mais gratuitement ???
En plus, comme le dit très justement Will, jouer gratos c'est endosser le costume du truc gratos, avec le manque total de considération qui va avec, et le risque qu'on te rappelle que tu as joué gratos le jour où tu vas demander un cachet décent.
C'est pas faux.
[ Dernière édition du message le 07/12/2022 à 14:32:27 ]
sonicsnap
[ Dernière édition du message le 07/12/2022 à 15:48:56 ]
Will Zégal
On n'a juste pas joué parce qu'un des musiciens du groupe était tombé malade.
J'ai aussi joué plusieurs années d'affilée à une gratiferia + concerts organisée par une bande d'amis et de copains (dont ma douce). Organisation sympa, conditions techniques très correctes et ambiance super cool (je ne connais pas beaucoup d'évènements où des visiteurs passés un peu par hasard traînent jusqu'à la fin le dimanche soir et mettent la main à la pâte pour aider à tout ramasser et cleaner les lieux).
Le truc était géré par un collectif, même pas constitué en asso (ils utilisaient une asso d'un des membres pour les quelques incontournables comme les assurances). Restauration et boisson quasi à prix coûtant. Aucun bénef : quelques dizaines d'euros pouvaient être conservés d'une année sur l'autre pour les achats, mais sinon, les éventuels bénéfices étaient donnés d'abord au lieu qui accueillait l'évènement pour l'aider à se maintenir et le reste donné au comité local d'aide aux réfugiés dont beaucoup venaient spontanément aider au montage et démontage.
Avec l'atelier d'impro libre dont je suis membre, on joue gratuitement. Jusqu'à présent seulement pour des trucs associatifs ou de centre sociaux. C'est pas vraiment un concert non plus, mais un atelier. Y viennent jouer qui veut, etc.
On réfléchit cependant à prendre quelque chose pour l'asso si on va jouer dans des lieux commerciaux comme des bars.
Il m'arrive de jouer gratuitement dans des free ou équivalent. Parce qu'on ne sait jamais combien va rentrer dans les caisses et que des fois, il faut juste payer le matos défoncé par le keufs ou les amendes.
Bref, je ne dirais pas de ne jamais jouer gratuitement. Mais pour moi, il ne faut le faire que si on connaît les gens qui organisent et qu'on est sur des conditions.
Et ne pas oublier qu'avant d'être un boulot, la musique est un plaisir et un partage. Faut juste se demander
- qui organise ?
- à qui ça rapporte ?
- si ça rapporte, pourquoi, pour quelle finalité ?
- comment c'est organisé ?
Will Zégal
Ils jouent beaucoup, quasiment toujours gratuit, à des trucs d'assos, des bonnes causes. Ils jouent beaucoup parce qu'ils ont faim et sans doute espèrent que ça leur permettre de "sortir".
Sauf qu'ils deviennent amers sur le fait qu'ils ne "sortent" pas et qu'on leur propose rarement de jouer payés.
C'est juste que ce qu'ils font ne mérite pas des cachets. Honnêtement.
Sauf que comme ils jouent beaucoup, ils commencent à avoir l'impression qu'on les exploite. C'est pas forcément vrai. Beaucoup de gens les prennent pour leur faire plaisir ou parce qu'ils se font harceler, vu qu'ils sont capables d'être très insistants.
Du coup, ils ne peuvent pas prendre conscience qu'il faudrait qu'ils montent en qualité pour justifier de jouer payés. Ils sont enfermés dans une image de groupe gratuit, sympathique et pas très bon, mais sympa. Et gratuits.
Anonyme
Et ne pas tomber dans le piège de la gratuité juste parce qu'on veut jouer. Je pense à un couple de connaissances qui jouent beaucoup dans le coin avec leur groupe (qui change beaucoup vu que les gens n'y restent pas).
Ils jouent beaucoup, quasiment toujours gratuit, à des trucs d'assos, des bonnes causes. Ils jouent beaucoup parce qu'ils ont faim et sans doute espèrent que ça leur permettre de "sortir".
Sauf qu'ils deviennent amers sur le fait qu'ils ne "sortent" pas et qu'on leur propose rarement de jouer payés.
C'est juste que ce qu'ils font ne mérite pas des cachets. Honnêtement.
Sauf que comme ils jouent beaucoup, ils commencent à avoir l'impression qu'on les exploite. C'est pas forcément vrai. Beaucoup de gens les prennent pour leur faire plaisir ou parce qu'ils se font harceler, vu qu'ils sont capables d'être très insistants.
Du coup, ils ne peuvent pas prendre conscience qu'il faudrait qu'ils montent en qualité pour justifier de jouer payés. Ils sont enfermés dans une image de groupe gratuit, sympathique et pas très bon, mais sympa. Et gratuits.
Ah, j'en connais des groupes comme ça !
Je partage la conclusion et le constat.
chacal549
oh oui, y'en a tellement.
"on gagne pas de thuuuuune , on nous fait pas joueeeeer, les gens viennent pas nous voiiiiiiiir, nos vidéos sont pas regardéeeeees les gens sont fermés les promoteurs si t'es pas rihanna ils s'en braaanlent société de meeeeeerde"
Par Jean-Roger fumesaguitare, qui ne joue plus de notes justes après deux bières mais qui n'arrive pas à monter sur scène avant d'avoir vidé huit pintes.
Sinon je plussoie sur le "gratuit oui mais" comme Will. C'est important d'être rémunéré pour un million de raisons, mais tu peux avoir des exceptions
-l'event ou le lieu qui a ta sympathie (parce que amis ou cause partagée) et où tout le monde est bénévole et la soirée ne rapporte pas d'argent
-ton groupe est petit level (technique ou renommée) et veut se roder sur quelques dates dans des petits lieux avant de passer en rémunéré
l'important quand on joue gratuit c'est où, pourquoi et dans quelles conditions. Si c'est pour être traité comme une carpette avec un sandwich pain de mie et un panaché, prendre la place d'un groupe qui aurait du être payé, faire l'attraction pour une soirée qui va blinder les caisses de l'orga, ou constater que tous les corps de métier présents sont rémunérés sauf les zicos, ben là, non.
Avocat du diable et de sa musique et expert en vacuité dispendieuse.
[ Dernière édition du message le 08/12/2022 à 00:41:11 ]
Pretextat
xHors sujet :oh oui, y'en a tellement.
"on gagne pas de thuuuuune , on nous fait pas joueeeeer, les gens viennent pas nous voiiiiiiiir, nos vidéos sont pas regardéeeeees les gens sont fermés les promoteurs si t'es pas rihanna ils s'en braaanlent société de meeeeeerde"
Par Jean-Roger fumesaguitare, qui ne joue plus de notes justes après deux bières mais qui n'arrive pas à monter sur scène avant d'avoir vidé huit pintes.
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