La Vienna Symphonic Library a récemment présenté son Vienna Instruments Pro. Que recèle la nouvelle mouture de l’instrument logiciel, une simple mise à jour cosmétique ou de véritables évolutions ?
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Gigantesque. Gargantuesque. Himalayesque. Plein de mots en “esque” pour décrire ce qui est certainement la plus grande bibliothèque sonore dédiée à l’orchestre. Quand le projet a vu le jour aux confins des années 2000, nombreux parmi les compositeurs n’ont voulu croire en la pérennité (voire simplement en l’utilité) de ce qui était planifié dès sa conception pour être un orchestre virtuel toujours en évolution. Une autre proportion de compositeurs a tout de suite adhéré à l’idée et s’est ruée sur la première version, VSL First Edition pour Giga puis exs24mkII en 2003 (plus de 90 Go), et à peine six mois après sur la version VSL Pro (Giga, exs et plus tard Kontakt, plus de 250 Go). Puis vint l’heure du logiciel maison, avec le Vienna Instruments première version présenté en 2005 (et bien après MIR, la réverbe dédiée et Vienna Ensemble, un hôte), et la route vers le Symphonic Cube et ses 550 Go d’échantillons 24 bits…
Le premier instrument a été une petite révolution, d’abord parce que plus aucune des versions précédentes de la bibliothèque n’était compatible (pas vraiment un cadeau, pour le coup) mais surtout parce qu’il a résolu de nombreux problèmes auxquels étaient confrontés le compositeur et le musicien. À l’époque des premières versions, il fallait ouvrir quasiment autant d’instruments virtuels que d’articulations désirées : par exemple pour un phrasé de violons commençant en sustain, continuant avec des passages portamento et legato, puis retour au sustain suivi de runs chromatiques avant de passer par des pizz pour finir sur un accord en trémolo, eh bien il fallait pas moins de six EXS24 différents, avec ce que cela impliquait en termes de ressources, et surtout l’impossibilité pour le musicien de jouer une phrase dans sa continuité à moins de l’interpréter avec une seule articulation (avec ce que cela comporte en termes de ressenti et d’interprétation), puis tout copier/coller vers les différentes pistes hébergeant les échantillonneurs chargés avec les articulations idoines. Pas vraiment du plus pratique, même si le son était là… Bien sûr, de nombreux utilisateurs se sont attelés à la création de presets maison, en regroupant les diverses articulations, pour les déclencher par KS, MM et autres faders disponibles sur les claviers de contrôle ou périphériques Midi, voire ont transposé des programmes EXS en Kontakt. D’une part, ça prenait beaucoup de temps, d’autre part la gestion des programmes utilisant les outils logiciels (le Performance Tool pour EXS ou les scripts pour Kontakt) n’était pas du plus simple. Sans compter que dorénavant, les utilisateurs de l’échantillonneur intégré à Logic voulant passer en 64 bits, ne pourront plus utiliser les programmes nécessitant le Performance Tool, ce dernier n’étant plus supporté et donc incompatible avec l’OS X actuel et ses futures versions (en 64 bits…).
Bref, revenons-en à l’instrument, et donc à sa deuxième déclinaison qui par la force des choses et si l’on veut suivre l’évolution logique des compatibilités sera peut-être (bientôt ?) le seul et unique moyen d’utiliser les nombreuses bibliothèques signées VSL.
Introducing Vienna Instruments Pro
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Pas de raison de faire différent, le VIP (pour faire court) ne déroge pas au principe mis en place par son prédécesseur : on ne peut l’utiliser qu’avec les collections Vienna Instruments. Le logiciel est disponible via téléchargement sur le site de l’éditeur pour la somme de 125 €. Aucun son, instrument ou bibliothèque ne sont fournis d’origine, il faudra donc penser à en acheter (l’instrument a cependant été proposé pendant une courte période avec le Flugelhorn, il n’est pas impossible que VSL reproduise l’opération)…
Le système d’installation et d’autorisation de l’instrument et des banques fait appel au eLicenser (ex-Syncrosoft). Outre le VIP sous forme de plug-in et une version standalone installés dans les dossiers idoines (le tout en 32 et 64 bits, s’il vous plaît), on dispose de plusieurs applications : un dé-installeur, un réglage de luminosité de l’interface (pourquoi n’est-il pas intégré ?), un Directory Manager, fondamental pour gérer l’emplacement des bibliothèques (qui peuvent ainsi être placées sur plusieurs disques durs) ainsi que les dossiers nécessaires au stockage de modifications (voir plus bas), le Vienna Download Manager, outil sans lequel aucun téléchargement d’instruments ou bibliothèques achetés n’est possible et le Vienna Instruments Library Installer, pour installer les bibliothèques. Que de monde…
Le VIP est plus imposant que le VI, mais son nouveau look à base de couleurs estompées le rend plus discret. Les différences ne se résument pas à ça, fort heureusement. Là où le VI était basé sur une organisation mono-fenêtre, dans laquelle on faisait apparaître les réglages pour l’assignation des Matrix, Patch, les contrôles d’édition, de performance et de mapping des contrôleurs, VIP repose lui sur deux vues, une Basic et une Advanced, accessible par deux boutons en haut à gauche. Une nette amélioration par rapport à VI est l’affichage quasi complet des fonctions que l’on trouvait dans ce dernier dans la fenêtre Basic. Très appréciable en particulier, la possibilité d’assigner directement huit contrôleurs Midi à autant de fonctions du logiciel, dans la Realtime Controller Area. Autre atout, l’adoption de codes couleur au niveau du clavier, afin d’identifier immédiatement qui fait quoi : les touches non utilisées sont grisées, la tessiture d’un instrument est représentée via les touches apparaissant de façon normale, les KS A/B sont rouge (qui permettent de passer dans un Patch double d’une articulation à une autre, exemple coup d’archet vers le haut/vers le bas), ceux des axes d’une matrice sont bleu (axe horizontal) et vert (axe vertical), et ceux permettant de passer d’une Matrix à l’autre, violet.
Mais toutes les réelles nouveautés se cachent sous la vue Advanced que nous allons étudier de ce pas (après vous avoir incités à lire l’encadré “Comment ça marche ?”).
Advanced, on avance, c’est une évidence
En basculant en mode Advanced, de nouvelles sections apparaissent. Matrix List et Matrix View sont toujours au même endroit, et les barres de contrôle (sélection des Cells via KS, CC) passent sous l’affichage des Cells. On repère tout de suite trois nouvelles sections : en bas à gauche, une série d’onglets, Perform, Ctrl Map, Reverb, Options et Matrix. À sa droite, une section Humanize, surmontée d’une ligne Repetitions. Au-dessus, un ensemble de huit Slots (1a à 4a et 1b à 4b), complété par une série d’onglets : Mixer, Voice, Edit et Advanced.
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Ces huit Slots sont très importants, puisqu’ils vont permettre de cumuler dans une seule Cell, jusqu’à huit articulations différentes, qu’elles soient d’un même instrument ou de plusieurs. Il faut savoir que ces slots fonctionnent plutôt en deux groupes de quatre qu’en huit Slots individuels, même si chacun bénéficie de ses réglages. Car en chargeant par exemple un pizz en 1a et un pizz col legno en 1b, on pourra passer de l’un à l’autre via le slider SlotXf (que l’on trouve dans l’onglet Perform), soit en crossfade soit en augmentant le volume du 1b qui s’additionne à celui du 1a…
Voici par exemple des violoncelles, dans le premier Slot en sustain, dans le second en trémolo. Le premier passage se fait en mode crossfade, le second en mode additionnel (le volume de 1b est remonté). Bien entendu, le slider SlotXf peut être commandé par n’importe quel CC (un clic droit, le réglage clignote, on bouge le CC, c’est bon)… Le fait d’additionner les sons plutôt que de passer en crossfade permet de produire, dans le cas, par exemple, des trémolo, un effet plus flou, en jouant conjointement sur le volume du sustain. Attention à la phase cependant.
Riot in Cell
Dans l’onglet Mixer, on trouvera un Pan ainsi qu’un volume par Slot. L’onglet suivant, Voice, est certainement le plus intéressant. Une fois la fonction activée, on peut grâce à une matrice (décidément) spécifier la répartition des notes d’un accord (jusqu’à huit notes) sur l’un des quatre slots (“a” ou “b”) ! Des divisi en temps réel, à partir d’accords plaqués, quoi…
On peut ainsi, en prenant quatre sections de violons différentes, simuler le jeu à deux voix des premiers et deuxièmes violons (attention à ne pas prendre des sections trop riches sous peine de se retrouver avec plus de 40 violons…). Ça fonctionne aussi très bien avec les vents, avec les instruments solo. C’est d’autant plus efficace que la répartition ne se fait pas seulement quand on joue en accord, mais aussi note par note : la première joue le Slot choisi en 1, la deuxième le Slot choisi en 2, etc., ou tout autre combinaison, car le choix d’un Slot n’est pas exclusif. Une très bonne idée.
L’exemple suivant fait d’abord entendre les quatre cordes solo, de 1a à 4a, du violon à la contrebasse, jouées en accords, puis en mélodie, une première fois avec Voice désactivé, la seconde avec Voice activé. La première note déclenche le Slot 1, la deuxième le Slot 2, etc. La première partie donne l’impression d’une section un peu bâtarde dans sa constitution, alors que dans la seconde on retrouve les quatre voix séparées…
Et l’exemple proposé n’est qu’un exemple simple, j’aurais très bien pu assigner aux Slots “b” des trémolo ou autre Patches dynamiques pour faire vivre les notes tenues et jouer sur le contrôle d’expression.
On continue avec l’onglet Edit, qui permet de régler, par Slot, donc par articulation, l’accord par octave et demi-ton, l’activation ou non de la vélocité sur les crossfades, le réglage graphique (à la souris) de la courbe de vélocité et une enveloppe A/R, plus décalage de l’attaque et du release et pour finir un réglage de durée de superposition des notes pour les programmes legato.
L’onglet Advanced affiche les informations complètes sur le Patch, ainsi qu’un ensemble de réglages permettant de peaufiner les réglages d’usine, comme les points de départ de la lecture des samples, l’activation du mode A/B, le seuil avant répétition, la gestion des intervalles pour les programmes legato, la gestion des échantillons de relâchement et le seuil de reconnaissance du jeu en accord pour les legato et portamento polyphoniques. Oui, vous avez bien lu, l’instrument permet de jouer en accord des Patches legato directement.
Auparavant pour avoir l’effet de l’exemple qui suit (qui utilise la réverbe intégrée), il fallait ouvrir cinq EXS…
Encore une fois, toutes ces fonctions sont à l’échelle de la Cell, c’est-à-dire la plus petite composante de l’instrument. La puissance est déjà là, on imagine facilement ce que ça peut donner en passant en mode Matrix, en rappelant que l’on peut utiliser jusqu’à 144 Cells…
On continue avec une autre fonction assez étonnante, la section Humanize.
Rehumanize yourself
VSL a déjà eu à cœur d’éviter autant que possible le côté mécanique, répétitif qui est quasi intrinsèque aux bibliothèques à base d’échantillons. Notamment grâce aux programmes “répétitions”, qui permettent de sélectionner l’une ou l’autre des notes au sein d’un seul fichier composé de notes répétées réellement jouées par un instrumentiste. Fichiers que l’on retrouve dans le VIP, avec un système de sélection très simple, via boutons de couleur.
Mais là, l’éditeur fait fort, en proposant avec Humanize, une fonction qui, si elle n’est pas inédite, est ici assez étonnante (n’oublions pas que nous sommes toujours au niveau des Cells…). Il s’agit de modifier la hauteur de l’attaque d’un son (voire plus, puisqu’on peut agir jusqu’à quatre secondes dans l’évolution du son). Pour cela, on peut programmer 12 variations (ou utiliser celles d’usine), en dessinant une courbe forçant l’instrument sur plus ou moins 100 centièmes. Le nombre de points de la courbe est quasi illimité, ce qui fait que l’on peut aller d’un simple effet de recherche de justesse à un quasi-vibrato.
L’éditeur a fourni un très grand nombre de presets, qui sont modifiables à loisir. À cet effet, outre le dessin à la souris de la courbe dans l’écran dédié, on dispose d’un retard de notes, d’un seuil avant le retour à la première variation, d’outils d’inversion, reverse, copy, paste et remise à zéro de la courbe, de zooms horizontaux et verticaux, d’une fonction Link qui force la courbe sur la sélection en cours et du réglage du nombre de variations.
Le moins que l’on puisse dire est que l’effet est assez fabuleux, car lors de simples répétitions de notes staccato par exemple, elles prennent une ampleur et une richesse qu’elles ne pouvaient atteindre auparavant. C’est encore plus riche de possibilités quand on utilise le mode Voice, puisque chaque slot bénéficie de son propre réglage. Bien sûr, il y a la limite des 12 variations. Mais rapportées à ce que proposent généralement les échantillonneurs, avec des principes de round robin, 12 variations sont loin de paraître insuffisantes, d’autant qu’il sera plus difficile d’entendre le “cercle”, la boucle avec le retour sur la première variation… Seul regret : pas de On/Off sur la section, ce qui permettrait de comparer rapidement l’effet apporté.
Voici quelques exemples de cette “humanization”, avant et après. J’ai choisi volontairement des réglages un peu plus forcés que nécessaire, pour la démonstration. L’intérêt de cette fonction étant de permettre un travail subtil.
Autre fonction fort bienvenue, l’intégration d’un Stretch directement accessible depuis l’interface. Est-ce que cela va enfin remplacer les nombreux exports pour Melodyne ou autres outils de time-stretch que de nombreux utilisateurs ont été amenés à effectuer, afin d’adapter runs, trilles ou trémolo au tempo de la composition en cours, voire rallonger les samples dynamiques (pfp et compagnie) ? Un petit coup d’œil sur la fenêtre nous montrant des crédits faits au Dirac et à Stephan Bernsee, créateur entre autres de la Time Factory pour Prosoniq et des Dirac, MPEX, etc. utilisés par de nombreux éditeurs de logiciels, on commence à avoir une petite idée de la réponse (pour plus d’infos, voir aussi le dossier sur le time-stretch/pitch-shift que vous trouverez ICI).
L’utilisation est simple : il suffit de sélectionner un Patch, de régler le pourcentage de compression/expansion, de cliquer sur le bouton Stretch, et le fichier nouvellement créé ira se ranger dans le dossier spécifié dans le Directory Manager en apparaissant immédiatement dans le navigateur de fichiers. Seul regret, le réglage se fait en pourcentage (de 50 % à 150 %), et non pas en valeur de tempo. Une petite table de conversion maison, une application, une calculette ou un widget seront donc indispensables, même s’il faudra parfois tâtonner.
Voici quelques exemples de ce Stretch, avant et après. Le nombre de répétitions entendues peut parfois varier, il ne faut pas oublier que c’est du Midi qui commande de l’audio “stretché”.
Dernières sections, les onglets, que l’on n’évoquera pas en détail ici. Juste dire que Perform regroupe un ensemble de sliders tous assignables à un contrôleur, qui auront une action globale sur le logiciel. On notera cependant les trois sliders Dly, Tun et Hmz qui aideront encore à “l’humanisation” des sons, en jouant sur la hauteur et le retard.
L’onglet Controller renseigne sur toutes les fonctions contrôlables via Midi ainsi que leur assignation en cours. Cerise sur le gâteau, on peut dessiner la courbe d’intervention du contrôleur Midi, et l’inverser. Reverb abrite une réverbe algorithmique simple mais efficace (même si l’on préférera utiliser des convolutions tierce partie sur les sorties séparées, quatre paires en tout). Options permet de régler des paramètres communs à toutes les sections de l’instrument, dont un important, le nombre de voix (chaque voix demande 192 Ko de Ram, à chacun de faire en fonction de sa bécane…). On trouve aussi dans cet onglet un filtre, dont certains programmes d’usine font usage pour renforcer l’étouffement, la brillance moindre des sons piano.
Dans Matrix on dispose enfin du micro-tuning, avec au choix import de fichiers Scala ou programmation de ses propres tempéraments. Le tout est complété par un EQ trois bandes. Le meilleur est que cette section est indépendante par Matrix, donc chacune d’entre elles peut bénéficier de son propre tempérament, de sa propre EQ, bravo !
Pour terminer, notons la possibilité de programmer directement sur le clavier de l’interface ses propres courbes de volume et délimitations de la tessiture d’un instrument (réduction seulement).
Bilan
Le but de cet article, vous l’aurez compris, n’était pas de parler de la collection VSL en termes de sons, d’instruments, d’articulations, de son immensité ou de sa qualité comparées à celles des concurrents. Les exemples sonores sont d’ailleurs réalisés très simplement, sans aucune réverbe, EQ ou autre effet, le but étant de montrer des fonctions plutôt que des sons. Il est cependant clair qu’avec cette nouvelle version, l’éditeur franchit un cap, innove et passe loin devant les concurrents échantillonneurs/lecteurs d’échantillons, même si VIP n’est pas multicanal (sa plus grosse lacune, à mon avis), et s’il n’intègre pas tous les effets que l’on peut trouver maintenant dans nombre de samplers virtuels, qu’ils soient généralistes ou dédiés à l’orchestre. Mais à vrai dire, peu importe d’avoir des effets inclus, souvent de moins bonne qualité que des plugs séparés, et généralement aggravant l’addition en termes de consommation CPU. Il vaut mieux un instrument parfaitement conçu pour l’utilisation qui doit être la sienne, ce qui est le cas ici. Les progrès entre VI et VIP sont à cet égard plus qu’évidents. En revanche le manque de multicanal oblige à ouvrir autant de VI Pro que d’instruments désirés, ce qui est malgré tout un net progrès quand il fallait quasiment ouvrir auparavant un échantillonneur par articulation… Sans oublier que VSL a créé deux hôtes multicanal, permettant d’héberger autant de VIP que désiré, Vienna Ensemble et Vienna Ensemble Pro, sur lesquels il faudra revenir.
Vienna Instruments Pro est un outil incroyablement puissant, qui repousse de nombreuses limites tant pour le musicien que pour le compositeur. Il devient extrêmement simple de charger un pupitre avec toutes ses articulations et de passer de l’une à l’autre sans aucun problème, avec une infinité de variations qui changent la donne dans l’utilisation des échantillons.
L’éditeur a fait très fort, c’est indéniable. À tel point que si d’aventure il rendait son logiciel compatible avec tous les formats existants, et non pas seulement en le gardant pour ses propres bibliothèques, de nombreux échantillonneurs (et pas des moindres) partiraient directement au rebut. Mais d’après mes infos, ce n’est pas à l’ordre du jour, pas plus que soit offerte la possibilité d’importer des échantillons (ni le multicanal…). Le travail avec VIP est tellement simple et à la fois tellement riche de possibilités, de nuances que c’est la première fois que je sens à ce point les limites et contraintes de l’utilisation de la Pro Edition, pourtant assez exceptionnelle et malgré toutes mes bidouilles sur exs24 et Kontakt…
Bref, encore une réussite, qui pourrait pousser nombre des derniers utilisateurs des premières versions à passer définitivement dans le monde des Vienna Instruments Pro, en gardant à l’esprit qu’il faudra tout changer (ouch…), ce qui peut cependant se faire petit à petit.