L’éditeur Overloud revient sous les feux de l’actualité, avec la nouvelle version de sa réverbe Breverb, naturellement nommée Breverb2. Voyons ce qui se cache sous l’interface revue et corrigée.
Parfois étouffés par la force de frappe des services de communication des grands éditeurs, par l’avalanche de produits rendue possible par la cooptation de divers développeurs ou simplement la masse d’employés au département R ET D, les « petits » éditeurs n’en restent pas moins actifs, créatifs et leurs produits n’ont souvent rien à envier à ceux de leurs confrères plus installés.
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Overloud n’est pas à proprement parler un nouveau venu, du moins ses fondateurs ; Thomas Serafini, dans le domaine du codage dédié aux simulations d’amplis et d’effets depuis des années, et Alfonso De Prisco étaient en effet déjà à l’œuvre sur la première version d’Amplitube signée IK Multimedia. Et les Afiens ont pu déjà entendre leurs produits ici même, que ce soit l’excellent multieffet pour claviers VKFXou la réverbe à ressort SpringAge.
L’éditeur a aussi signé plusieurs plug-ins (non testés sur AF) comme les simulateurs d’ampli TH1 Triode, TH2 et Mark 1 Studio ou la réverbe Breverb, qui débarque donc en version 2.
Introducing Breverb2
Le logiciel est disponible uniquement via téléchargement sur le site de l’éditeur, au tarif de 199 euros HT. Un upgrade depuis la première version peut être effectué pour la somme de 99 euros HT. On procède à l’autorisation directement au sein de l’interface du logiciel, depuis un ordinateur connecté ou non, après avoir au préalable créé un compte sur le site, grâce au numéro de série fourni lors de l’achat. Overloud utilise depuis quelques temps son propre système d’autorisation (exit Pace et iLok…) et permet d’autoriser ses produits sur trois ordinateurs différents, ce qui devient de moins en moins courant.
Breverb2 s’installe sans aucune procédure particulière, et est proposé sous forme d’application autonome (on peut imaginer certaines utilisations live) et plug-ins VST, AU et RTAS. Standalone et plugs sont compatibles Mac et PC, 32 et 64 bits pour les deux plateformes, ce qui est aussi appréciable, quand on voit le nombre d’éditeurs qui n’ont toujours pas proposé de versions 64 bits de leurs produits.
Au menu, en plus des fonctionnalités déjà présentes dans Breverb, deux nouveaux algorithmes, Spaces et Source, plus de 50 types d’espaces supplémentaires, une nouvelle gestion des presets et deux ou trois autres changements.
Faders pour les braves
Grâce à ces deux nouveaux algorithmes, la Breverb2 offre maintenant sept moteurs de réverbération différents, Hall, Plate, Room, Inverse, Spaces Small, Spaces Large et Source. On devine très facilement que la source d’inspiration a été Lexicon (480L), on comprend en regardant les principes de fonctionnement et les paramètres disponibles que TC a aussi été pris en compte (difficile de faire plus incontournable en termes de réverbe de postproduction que la System 6000). Et les réverbes Spaces et Source évoquent très fortement les VSS3 et VSS4 (en version stéréo seulement, bien sûr) du fabricant danois. Mais n’allons pas trop vite.
Première constatation, évidente pour tout le monde, le très grand changement apporté à l’interface graphique. Beaucoup plus grande, avec une dominante noire et rouge remplaçant la beige-orangée précédente, ce qui résulte en une meilleure lecture à distance, et un grand navigateur afin de circuler rapidement parmi les nombreux presets d’usine (enfin…). Ceux-ci sont regroupés par banque, 11 au total. Il est très facile de rajouter des banques, de sauvegarder ses propres presets, y compris dans les banques d’usine, qui ne sont pas toutes pleines. On reviendra sur les différentes familles et presets. Le fait de disposer d’un navigateur a permis à l’éditeur de déplacer les réglages précédemment en ligne au sein de la fenêtre centrale, apportant là encore une meilleure visibilité.
Les six faders façon hardware sont toujours présents, mais ne peuvent plus cette fois être ouverts sur le côté, ce qui aurait été utile vu la nouvelle taille de l’interface. Changement d’importance, le menu d’assignation du fader à une fonction a disparu, remplacé maintenant par une fonction de clic-droit-glissé-déposé très rapide, mais qui implique aussi d’être sur l’onglet présentant ladite fonction, là où le menu permettait une sélection immédiate. Les faders disposent de Midi CC assignés d’origine, ce qui permet de paramétrer très rapidement un contrôleur, dans mon cas les faders du K2500X et ceux de la MC Mix en mode flip. Tout du moins en mode standalone, les choses sont un peu plus complexes en utilisation dans Logic.
On retrouve les grands indicateurs de niveaux In et Out, très efficaces, ainsi que les faders In, Dry et Wet, ces derniers bénéficiant maintenant de la très utile préférence « Don’t Change IN, DRY and WET upon preset loading ». Bien vu. Au milieu, la nouvelle présentation des réglages, avec un menu déroulant permettant la sélection des différents types de réverbe.
Hall & autres
Du plus grand au petit, on commencera par Hall, tout juste après un petit coup d’œil sur deux onglets qui resteront, quel que soit le type de réverbe sélectionné, à savoir EQ et Gate. Ce dernier toutefois ne sera pas disponible avec les réverbes Source. Un petit voyant témoigne de l’activité ou non de chaque section, il suffit de cliquer dessus pour modifier son état.
L’onglet EQ propose un double paramétrique, avec réglages de gain (± 18 dB), de fréquence (40 à 20 000 Hz) et de Q, ce dernier permettant de dépasser le statut de paramétrique en offrant aux extrêmes de sa course le choix entre LPF, Low Shelf, HPF ou Hi Shelf. De quoi travailler correctement la sonorité des réverbes, un travail plus sophistiqué pouvant de toute façon être effectué via un EQ plus complet. Rappelons à l’occasion la nécessité d’égaliser les réverbes : ce n’est pas la peine de passer du temps sur l’EQ d’un son (que ce soit à la prise via le placement de micros ou post, à la console et les EQ) pour ne pas prêter attention au son de ses réverbes, qui peuvent « pourrir » ce travail. Sans parler du travail avec des échantillons, des instruments virtuels, qui sont eux conçus de manière à sonner le plus flatteur possible, c.-à-d., occupation quasi complète du spectre audio et largeur stéréo, comment dire, large… Autre soin à apporter justement, la vérification de la largeur et de la phase. Overloud a une nouvelle fois inclus sous les faders DRY et WET les deux curseurs permettant de resserrer la stéréo, c’est bien vu. Un seul regret, leur valeur de réglage ne s’affiche nulle part, pas très pratique vu la très courte course du potentiomètre.
Du côté du Gate, six paramètres, l’habituel Threshold, une enveloppe A/H/R permettant de faire réagir le Gate, avec réglages en ms et en valeur de notes pour le maintien et le relâchement, et un choix de courbe d’atténuation, linéaire (dite Gamma) ou Sigma, plus ou moins en forme de S, la pente étant ajustable via le paramètre Slope. Très efficace, le Gate permet de retrouver tous les effets bien connus de synchro au tempo, de coupure, etc.
Retour à Hall. Trois onglets, Main, Pre et Freq sont proposés. Le premier offre les réglages de Time (de 600 ms à 20 secondes !), Size, Diffusion, Shape et Spread (tous en pourcentage). Time et Size sont liés, le premier donnant la durée de la queue de réverbe, le second agissant sur la taille supposée de la pièce. De même Shape et Spread sont à utiliser conjointement, les deux intervenants sur l’enveloppe de la réverbération.
Juste pour entendre le travail de la réverbe, tout à fond en termes de diffusion, de taille, les 20 secondes promises (qui se transforment en minutes…), etc., pas d’EQ ni de filtrage sur un accord bref de Rhodes.
On passe à l’onglet Pre, qui inclut bien évidemment le pré-délai (en ms ou en valeur rythmique, de la triple croche à la blanche, pratique pour un effet parfaitement synchrone). Deux rotatifs Regen, L et R permettent de régler le taux de signal réinjecté par canal, tandis que Motion et Depth influent sur la vitesse et le taux de modulation des lignes de retard.
Enfin le troisième onglet, Freq, influe sur le comportement de deux plages de fréquences, High et Low, chacune dotée d’un multiplicateur en fonction du temps de réverbération général et d’un crossover qui définit le début de la plage de fréquences. High profite d’un Damping pour atténuer les fréquences supérieures, et Low d’un Low Cut.
Quelques exemples avec une guitare sèche, puis passant dans le preset AcGuitarVenue légèrement modifié, puis dans une réverbe plus longue et plus modulée.
Ou encore cette batterie, dont la caisse claire et le charley reçoivent des traitements entre réverbe et écho (grâce aux réglages Regen) via envois sur Bus, plus différentes réverbes sur le kit (toutes Breverb2) et le Stereo Delay de Logic sur le charley (pour l’effet d’ouverture de l’image stéréo). Quatre Breverb2 ici, avec à peine un léger frémissement de la jauge CPU. L’éditeur insiste sur l’optimisation, il a raison (on y reviendra).
Les Hall proposés sont tout aussi pertinents sur des pianos acoustiques par exemple, comme le montrent les exemples suivants (piano sans réverbe pour commencer).
On dispose de presets dotés du préfixe DYN, pour Dynamic, en référence à la section d’origine de la 480L. La Breverb première du nom incluait une section Dyn, qui permettait de modifier trois paramètres, volume, EQ et durée, en temps réel en fonction du signal entrant. Cette section a disparu, du moins son accès à l’utilisateur, car les presets DYN font clairement entendre une programmation de cette fonction.
On peut néanmoins souhaiter un retour d’une telle section lors d’un prochain update. Voici un exemple sur un accord de piano électrique.
Room service, Plate du jour, etc.
Les réglages sont un peu moins nombreux une fois que l’on sélectionne Plate. Dans l’onglet Main, on ne trouve plus que Main, Time, Diffusion et Shape, fonctionnant suivant les mêmes principes que ceux de Hall. La page Pre ne contient que le Predelay, un réglage global de Regen (plus de canaux séparés) et Motion. L’onglet Freq perd le Low Cut, et reste sinon identique à celui de Hall.
Quelques exemples sur un groove complet, plaçant le kit dans une ambiance globale.
Essayons aussi sur un quatuor de cordes.
Puis sur le piano déjà présenté dans ce test.
Passons à la Room, qui se voit aussi moins dotée que Hall. Dans Main, on retrouve les quatre réglages de Plate, mais Shape laisse la place à Decay, qui est une balance entre les premières réflexions et la réverbération propre. Exit le Regen dans la page Mod, ne sont présents que Predelay, Motion et Depth, cette dernière paire déjà rencontrée dans la réverbe Hall. Enfin Freq propose un coupe-bas, un coupe-haut et un Damping.
On commence par une contrebasse.
On continue avec la guitare des premiers exemples.
Puis avec la batterie.
Et on finit avec le piano.
Enfin dernière réverbe dite Classic, Inverse. Deux onglets (hors les sections EQ et Gate), Main et Freq. Ce dernier propose les réglages réduits au strict minimum : coupe-bas, coupe-haut. Main offre Time, Diffusion, Predelay, Motion et Depth.
Voici quelques exemples de réverbe inversée.
Spaces, frontières de l’infini
Spaces et Source sont les réelles nouveautés de Breverb2 en termes de réverbe (jusque-là, à quelques détails près, on était en terrain connu). On dispose de deux types de Spaces, Small et Large. Les deux partagent le même type, réunis en quatre onglets, Main, Early, Reverb et Time. Dans Main, on choisit le type d’espace (Studio, Tight, Booth et Fast pour Small, Natural, Alive, Smooth et Open pour Large), ainsi que les réglages de Time, Predelay, Reverb Delay (un retard supplémentaire entre premières réflexions et réverbe), Early Level et Reverb Level. Ces deux derniers permettent de très précisément doser le niveau des premières réflexions (Early Reflections, ER) et de la réverbe, y compris avec la possibilité de n’utiliser qu’un seul des deux traitements.
L’onglet Early offre ensuite le choix entre le type de premières réflexions (35 types différents) et les paramètres Color (modification des fréquences aiguës), Size (Small, Medium, Large), Low Cut et Balance, qui modifie la proportion des ER dans les canaux L et R (on y reviendra). L’onglet Reverb contient les réglages Diffusion, Low Cut et High Cut, Low Damp et High Soften. Enfin, l’onglet Time offre une division du spectre audio en quatre zones, chaque zone pouvant alors être modifiée de façon graphique afin d’appliquer un multiplicateur du paramètre Time (de l’onglet Main), de x 0,05 à x 2,5.
Rien qu’à lire ces quelques paramètres, on a la confirmation que l’éditeur s’est inspiré de la VSS3 de TC. Les Early Type déjà, de Venue à Concert Hall, en passant par Alley, Swim, Airport, Bathroom, Yard, Street, Conference, etc., quasi identiques à ceux de l’originale de TC, avec quelques changements de noms restant néanmoins transparents (SwimStadium pour Swim, ConfRoom pour Conference, etc.), l’onglet Time, correspondant à Decay/Crossover, et les paramètres de niveaux, de Color et de Balance, fondamentaux. Surtout ce dernier : imaginons que l’on veuille reproduire l’effet d’un instrument situé dans une pièce, à gauche, près d’un mur. Les premières réflexions seront alors plus importantes sur la partie du sol, du plafond et du mur de gauche, le reste de la réverbération pouvant lui être plus ou moins central. Quand on utilise une réverbe sur un Bus, et ce indépendamment du pan de la piste d’origine, l’envoi, à moins qu’il puisse être prélevé post-pan, se fera au centre de la réverbe. Ce qui donnera un son Dry placé à un endroit dans la stéréo et sa réverbe qui n’en tiendra pas compte, à moins de reproduire ce placement sur le pan du Bus. Mais ce placement ne sera alors qu’un déplacement de l’ensemble de la réverbération vers la droite ou la gauche et non pas une restitution de la position du son dans l’espace.
Avec Early Balance, on place réellement ce son où l’on veut, puisque le fait de déplacer le rotatif vers la gauche provoque plus d’ER à gauche qu’à droite (ce n’est pas juste une augmentation/diminution de volume…), afin de reproduire le comportement réel du son. Une façon unique de placer un groupe dans une pièce par exemple.
Ce paramètre pouvant être assigné à un fader, et donc automatisé, il est aisé de reproduire en temps réel un effet de déplacement de la source dans l’image stéréo, même si pour cet usage, la VSS4 est préférable. L’effet est rarement utilisé en musique, mais est fondamental en postproduction. Hélas, on ne retrouve pas ce paramètre pour la queue de réverbe, quel dommage…
Voici un exemple de déplacement d’un son avec ce type d’effet, utilisant uniquement les ER, avec automation du paramètre Early Balance suivant le pan de l’audio. La première partie de l’exemple fait entendre la Breverb2, la seconde la VSS3 de TC.
Autre exemple plus traditionnel, sur le piano, avec une réverbe légère de type Theatre. Les réglages ont été effectués de façon à sonner le plus proche possible, sachant qu’il « manque » dans la Breverb2 des paramètres présents dans la VSS3 (Reverb Width, la section Modulation, Early Pos, etc.). Dans l’exemple suivant, on entend la Breverb2 d’abord, la VSS3 ensuite.
La réverbe permet donc de placer précisément les instruments dans une pièce, avec de nombreuses possibilités d’ajustement. Voici deux versions d’un quatuor de cordes, la première traitée avec une réverbe globale, la seconde avec une réverbe par instrument.
Voici quelques exemples de pièces sur le groove de batterie.
Un conseil, pour les réglages : mettre le volume de la queue de réverbe (Rev. Level) à zéro lors des premiers essais, de façon à « sentir » la pièce en travaillant les ER, puis monter seulement après coup ce volume.
Enfin, Sources propose via quatre onglets une approche que l’on devine similaire à celle de l’algorithme VSS4, considéré comme la meilleure Source Reverb stéréo de TC, mais comme je ne possède pas de Reverb 4000 ou de System 6000, il faudra se passer de comparaison…
L’onglet Main propose les réglages de Time, Predelay, Early Level et Reverb Level et d’un menu déroulant Space, reprenant plus ou moins les différentes simulations d’espace (10 au total) de l’originale, de Concert Hall à Cinema, en passant par Booth, Lounge, Warehouse, etc.
Early offre le cœur de la réverbe, avec son graphique de positionnement des deux sources possibles, et leurniveau respectif. C’est là que l’on va déterminer la position des éléments à traiter, de façon précise.
On trouve dans l’onglet Early 2 les paramètres Early Low Color, High Color, Start, Stop (intéressant pour effectuer un dosage entre le nombre et la durée des ER) et Decrease, leur nom parlant d’eux-mêmes. Le dernier onglet, Reverb, permet d’ajuster Size, Diffusion, Low Cut, Low Damp, High Cut et High Soften.
Cette réverbe, comme l’originale, peut être utilisée sur tout type de sources, même si son usage évident reste la post-prod.
Reprenons néanmoins notre groove de batterie.
Enfin, une guitare mono traitée par les différents presets conçus pour ce type de programme et dotés du préfixe [M].
Bilan
Plus qu’une mise à jour de la première version, la Breverb2 ajoute une autre approche de la réverbe à celle déjà retenue. L’éditeur a en toute logique incorporé les principes de réverbération utilisés par les produits haut de gamme de TC Electronic. Reprenant les réverbérations dites Classic de son aînée, réputées à juste titre pour leur qualité audio, la Breverb2 offre avec les algorithmes Spaces non pas une copie fidèle de la VSS3, mais une très bonne version maison de ses principes. On peut logiquement supposer qu’il en est de même pour Source et la VSS4.
L’absence de tous les paramètres des originaux et un comportement légèrement différent (mais parfois étonnamment proche…) n’en font pas moins une réverbe de grande qualité, au sein d’un environnement bien conçu (l’automation complète devrait faire son retour lors d’un update à venir) et très cohérent dans sa volonté de qualité audio. D’un côté, la richesse des simulations de pièces et les capacités de « gluing » du son des réverbes modulées typiques du constructeur américain, de l’autre la précision, les nombreux outils de paramétrage sonore et les possibilités de placement des sources du constructeur danois, le tout au sein d’un seul plug-in qui, s’il ne se veut pas une copie exacte de ses inspirateurs, se comporte très bien, pour un prix tout à fait raisonnable.
L’arrêt du développement de la PowerCore a attristé ses possesseurs, sachant que dans notre monde informatique sans cesse en évolution arrivera un moment où elle ne sera plus compatible avec les standards alors en activité. Ne sachant pas si le constructeur danois sortira jamais une version native de ses réverbes, on peut sous certains angles retrouver leur son et leur comportement avec la Breverb2. Ce qui n’est pas la moindre des réussites de l’éditeur italien.
Encore un produit utile, offrant la plupart des outils demandés par le compositeur, le musicien, le sound designer, etc. Une version de démo est téléchargeable sur le site d’Overloud, n’hésitez à vous faire votre propre idée…
Addendum : La version 2.0.1 sortie le 28 novembre voit le retour de l’automation complète de tous les paramètres.