réactions à la news [Bien débuter] Le simulateur de haut-parleurs hardware préféré de la communauté
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- 1 two notes audio engineering torpedo live et studio (121 - 32%)
- 2 two notes audio engineering torpedo c.a.b. (cabinets in a box) (95 - 25%)
- 3 two notes audio engineering torpedo captor (26 - 7%)
- 4 palmer pdi (23 - 6%)
- 5 behringer ultra-g gi100 (15 - 4%)
- 6 hughes & kettner red box (12 - 3%)
- 7 mesa boogie cabclone (10 - 3%)
- 8 bluguitar blubox speaker emulator (9 - 2%)
- 9 mooer radar (8 - 2%)
- 10 amt electronics pangea (6 - 2%)
- 11 neunaber technology iconoclast speaker emulator (6 - 2%)
- 12 radial engineering jdx (5 - 1%)
- 13 digitech cabdryvr (5 - 1%)
- 14 palmer pga (5 - 1%)
- 15 suhr a.c.e. (analog cabinet emulator) (5 - 1%)
- 16 spl cabulator (4 - 1%)
- 17 rivera rockcrusher (3 - 1%)
- 18 carl martin rock bug (3 - 1%)
- 19 radial engineering headload (3 - 1%)
- 20 mooer trescab (2 - 1%)
- 21 amt electronics cn-1 chameleon cab (2 - 1%)
- 22 spl transducer (2 - 1%)
- 23 a/da gcs (1 - 0%)
- 24 dsm noisemaker omnicabsim (1 - 0%)
- 25 mooer/fender/donner micro d.i (1 - 0%)
- 26 gfi system cabzeus (1 - 0%)
Locomotiv
Particulièrement en vogue, la simulation de baffles s’impose petit à petit comme une solution essentielle pour s’enregistrer et jouer en live facilement tout en profitant des qualités d’un ampli à lampe. Il existe bien entendu de nombreux logiciels, mais les outils hardware se popularisent de plus en plus. C’est pourquoi nous vous proposons de voter pour votre simulateur de haut-parleurs hardware préféré. En avez-vous essayé plusieurs ? Qu’en avez-vous pensé ? Ne jurez-vous que par l’analogique, ou le numérique vous séduit-il plus ? Bref, partagez votre savoir et votre avis ! Nous avons sélectionné 27 appareils populaires et actuellement en vente. Certaines machines sont uniquement dédiées à la simulation de baffle, quand d’autres proposent quelques fonctions supplémentaires comme un atténuateur ou une D.I. Nous avons par contre volontairement écarté tous les appareils embarquant également des simulations d’amplis. À vos votes !
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[ Dernière édition du message le 24/11/2017 à 11:06:35 ]
Anonyme
Anonyme
Parfois les émulateurs d'enceintes sont utilisés après un préampli. Par exemple un préamp FredAmp et ensuite un Cab TwoNotes. Dans ce contexte, il n'y a pas de vrai ampli (à lampe en particulier) et donc il faut bien mettre un simulateur pour l'ampli dans ce cas là ? Du coup c'est pas meilleur d'utiliser une load box sur laquelle il y a le préamp et l'ampli suivit de la simulation numérique des enceintes ?
Kiou
Je me pose une question (enfin, à vous, sinon elle resterait dans ma tête
Parfois les émulateurs d'enceintes sont utilisés après un préampli. Par exemple un préamp FredAmp et ensuite un Cab TwoNotes. Dans ce contexte, il n'y a pas de vrai ampli (à lampe en particulier) et donc il faut bien mettre un simulateur pour l'ampli dans ce cas là ? Du coup c'est pas meilleur d'utiliser une load box sur laquelle il y a le préamp et l'ampli suivit de la simulation numérique des enceintes ?
Je suis pas sûr de comprendre ta question, mais au final la chaîne est toujours la même, préamp + amp de puissance + baffle et les trois peuvent être modélisés. Souvent les simulateurs HP possèdent une simulation ampli de puissance désactivable. Du coup :
- FredAmp dans Cab TwoNotes (avec simu puissance on)
- Ampli dans Two Notes Captor dans Cab TwoNotes (avec simu puissance off vu qu'on prend le signal après les lampes de puissances de l'ampli)
[ Dernière édition du message le 21/11/2017 à 14:34:17 ]
chacal549
Avocat du diable et de sa musique et expert en vacuité dispendieuse.
Will Zégal
J'en connais pas des sondiers qui préfèrent une simu qu'un micro mais je te crois sur parole et je trouve ça dramatique. C'est leur métier de savoir choisir, placer un micro et savoir gérer la repisse sur scène.
Je comprends tout à fait que dans certains cas une simu peut sauver une balance, par exemple avec un groupe qui ne comprend pas que la base en live, c'est d'avoir un son cohérent sur scène, sinon le sondier ne peut rien faire. Mais de là à préférer systématiquement une simu à un micro, je vais vachement avoir tendance à considérer le sondier en question comme un mec blasé, qui aurait peut-être dû choisir DJ plutôt qu'ingéson.
Moi je trouve ces propos assez outrageants.
Son profil n'étant pas rempli, je ne peux pas savoir ni si la Truite est ingé son de live, ni si c'est un musicien qui fait lui-même pas mal de live, mais j'ai l'impression que ce n'est ni l'un ni l'autre.
Déjà, "le" live, ça ne veut rien dire, parce que les seuls points communs qu'il y a entre un concert dans un petit bistrot et sur une grosse scène de festival, c'est qu'on a un ou des groupes et un public devant. Sinon, ce sont des environnement totalement différents, avec des contraintes et possibilités techniques et sonores totalement différentes et des problématiques de temps et de fiabilité totalement différentes.
Entre ces deux extrémités, il y une palette extrêmement large de situations de live, avec souvent des conditions compliquées, etc. Pour ma part, j'en fais beaucoup dans des conditions où il y a 4-5 groupes qui enchaînent sur un même plateau et je comprends tout à fait, sans même parles des problématiques sonores, qu'un ingé son préfère une solution facilitant le changement de plateau.
Pour ce qui est de problématiques sonores, le travail d'un ingé son de live est d'abord et principalement de régler les problèmes. Problèmes liés aux conditions de la scène et de la salle, à la configuration du groupe, à la diff, etc. Ensuite et ensuite seulement, une fois que ces problèmes sont réglés et qu'il a une mise à plat qui sonne à peu près, il peut se consacrer à l'artistique et soigner le son.
Il ne me semble donc ni illogique, ni signe de fainéantise, ni de désamour de son métier qu'un ingé son ait une préférence pour des solutions qui raccourcissent le temps de règlement des problèmes pour pouvoir se consacrer le plus vite possible à soigner le son. Il ne me semble pas non plus que quiconque y perde, au contraire : le guitariste a exactement le son qu'il a préparé en amont, l'ingé son peut au plus vite se consacrer à la partie la plus intéressante de son travail et le public a plus tôt un bon son, ce qui est aussi bon pour le groupe.
Will Zégal
Par contre, au passage, big up aux groupes qui ont des patchs super compliqués, qui se trimbalent des tones de matos sur scène essentiellement pour le plaisir de l'étaler et de surcroit ne se pressent pas pour évacuer leur matos de la scène après leur set. Qu'ils aillent se faire mettre bien profondément l'ensemble de leur matos dans le fondement.
gojats
Un esprit sein dans un... cornichon ?
Le tout venant a été piraté par les mômes, on se risque sur le bizarre : https://soundcloud.com/gojats
Doc Plus
Citation de Will :Son profil n'étant pas rempli, je ne peux pas savoir ni si la Truite est ingé son de live, ni si c'est un musicien qui fait lui-même pas mal de live, mais j'ai l'impression que ce n'est ni l'un ni l'autre.
Si tu veux en savoir plus sur la Truite.
Avertissement: ce message peut contenir des arachides.
kosmix
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
Anonyme
Moi je trouve ces propos assez outrageants.
Son profil n'étant pas rempli, je ne peux pas savoir ni si la Truite est ingé son de live, ni si c'est un musicien qui fait lui-même pas mal de live, mais j'ai l'impression que ce n'est ni l'un ni l'autre.
Déjà, "le" live, ça ne veut rien dire, parce que les seuls points communs qu'il y a entre un concert dans un petit bistrot et sur une grosse scène de festival, c'est qu'on a un ou des groupes et un public devant. Sinon, ce sont des environnement totalement différents, avec des contraintes et possibilités techniques et sonores totalement différentes et des problématiques de temps et de fiabilité totalement différentes.
Entre ces deux extrémités, il y une palette extrêmement large de situations de live, avec souvent des conditions compliquées, etc. Pour ma part, j'en fais beaucoup dans des conditions où il y a 4-5 groupes qui enchaînent sur un même plateau et je comprends tout à fait, sans même parles des problématiques sonores, qu'un ingé son préfère une solution facilitant le changement de plateau.
Pour ce qui est de problématiques sonores, le travail d'un ingé son de live est d'abord et principalement de régler les problèmes. Problèmes liés aux conditions de la scène et de la salle, à la configuration du groupe, à la diff, etc. Ensuite et ensuite seulement, une fois que ces problèmes sont réglés et qu'il a une mise à plat qui sonne à peu près, il peut se consacrer à l'artistique et soigner le son.
Il ne me semble donc ni illogique, ni signe de fainéantise, ni de désamour de son métier qu'un ingé son ait une préférence pour des solutions qui raccourcissent le temps de règlement des problèmes pour pouvoir se consacrer le plus vite possible à soigner le son. Il ne me semble pas non plus que quiconque y perde, au contraire : le guitariste a exactement le son qu'il a préparé en amont, l'ingé son peut au plus vite se consacrer à la partie la plus intéressante de son travail et le public a plus tôt un bon son, ce qui est aussi bon pour le groupe.
Je me disais en me relisant, ya bien un AFien qui va me tomber sur le paletot avec mes propos outranciers sur ce noble métier et c'est de ma faute, j'aurais dû préciser que je n'ai rien contre les ingésons en général, même les vrais blasés. Ceux qui le deviennent c'est parce qu'ils bossent dans des conditions de merde et sont payés à coup de lance-pierre.
Quand je parlais de "certains cas", il est évident qu'une soirée avec 5 groupes qui s'enchaînent en fait partie, cela dit, note que de déplacer un pied perche d'un ampli à l'autre au changement de plateau prend moins de temps que de trouver un line out ou de sortir un câble hp pour insérer une simu hp entre ampli et HP.
Mon profil je ne le remplis pas pour les mêmes raisons que je n'utilise pas fessebouc mais je n'ai rien à cacher. Je joue beaucoup depuis les années 90. J'ai fait beaucoup de bars au début, j'en fais encore régulièrement mais je joue la plupart du temps dans des SMAC ou des petits cafconc. J'ai vécu des centaines de fois les pires et les meilleures conditions qu'on peut rencontrer sur une date et oui, les groupes qui emmènent trois tonnes de matos et mettent trois plombes à le virer après leur set sont de gros casse couilles. Ce sont d'ailleurs les mêmes qui investissent la scène trop tôt lors d'un changement de plateau et toujours eux qui débordent de 20 mins sur leur temps de balance.
Si ça peut te rassurer sur mes propos, je pars du principe qu'une journée de concert se passe bien à la condition que chacun fasse en sorte que tous les autres passent une bonne journée et donc oui, j'ai rencontré plus de musiciens que techniciens pénibles.
[ Dernière édition du message le 21/11/2017 à 20:32:48 ]
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