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Sujet de la discussionPosté le 27/07/2017 à 15:26:42la mauvaise cuisine de l'ingé-son
L'amplification "moderne" est une espèce de cuisine infâme où l'on vous sert une tambouille mixée de l'entrée au dessert. Tout faire passer par une seule table de mixage est une aberration absolue. Faire des filtrages actifs et envoyer vers des enceintes séparées selon la plage de fréquence n'y change rien. Une sonorisation digne de ce nom devrait avoir (au minimum ) trois tables de mixages ( ou entité ) totalement séparées. Une réservée à la voix, l'autre dédiée à la basse, la troisième aux autres instruments. L'amplification actuelle va envoyer la grosse caisse vers une enceinte de basse qui aura aussi en charge la basse et autres parties de basse clavier. Ne survit alors que BOUM BOUM BOUM. Pas d'harmoniques, plus de transitoires. La voix noyée avec tous les autres instruments est inintelligible, et le tout ressemble au cri d'une mouette du fond d'un cornet de frites. Après plusieurs décades de perfectionnisme Hi-Fi , comment en est-on encore à ce stade préhistorique de l'amplification ? Chaque fois que je vais au concert, je constate un divorce saisissant entre les progrès du matériel et la régression du mixeur, sondier, ingé ou gâte-sauce ? Il serait grand temps de passer à la véritable amplification où chaque instrument est classé selon sa plage de fréquence et dirigé vers un canal d'amplification dédié et surtout des baffles dédiés. Cela ne couterait guère plus cher. Les ingés-sons sont-ils tous sourds ? Probablement à cause du bruit qu'ils génèrent ? Si vous n'êtes pas d'accord, n'hésitez pas à me répondre !
Si certains aspects du décret sont effectivement impossibles à mettre en œuvre en pratique (les études d'impact par exemple), les premiers arguments concernant le niveau sonore ont déjà été vu ailleurs et sont complètement pipeau. Oui, le nouveau décret impose une réduction du niveau sonore maximum, et c'est le but, parce que ces niveaux sonores sont beaucoup trop forts. Si ça réduit l'expressivité des artistes ben, tant pis. Ca ne les empêchera pas de jouer pour autant. Le reggae ne disparaîtra pas avec le nouveau décret. De toute façon, si on avait anciennement une limite à 110dB et qu'elle passait à 105, les mêmes gus pleureraient qu'on les bride.
Enfin, moi, perso, le discours d'Agi-son là, ça me donne envie de dire "ben mon gars, si le nouveau décret t'emmerde, c'est tant mieux".
Perso, je ne suis pas si craintif sur le coté réglementaire. Tout ce que ça va donner, c'est qu'on fera des études d'impact bidon dans des conditions fictives. Et pendant le festoche, le son portera aussi loin que le vent l’emmènera, et puis c'est tout.
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Chris Kazvon
17165
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 14 ans
177Posté le 13/12/2018 à 09:13:37
+1 sur le niveau sonore qui est un faux argument.
A Bercy par exemple, au fond de la salle, j'ai quand même mes bouchons sinon j'ai la tête en chou fleur au bout de 10min...