Sujet La Dream List Des Synthés
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hugo280
826
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 21 ans
cagouille
211
Posteur·euse AFfiné·e
Membre depuis 19 ans
johannis
481
Posteur·euse AFfamé·e
Membre depuis 16 ans
Ce sont les miens 
(à quatre exceptions près, utilisés mais non possédés)
(mais hélas, j'en ai revendu quelques-uns,
* Korg 800 DV : mon premier, acheté en 76, toujours vaillant, enregistré 3 disques avec et fait pleine de scènes (j'y ajoute ses frangins 700s et 770, du même esprit (avec mention spéciale pour le 770 qui, imho, vaut largement un mini-Moog D pour la rapidité d'évolution des sons sur scène). Et comme avec le Moog, l'ergonomie très caractéristique de cette première gamme Korg (à la différence des ARP et Oberheim, suivant un schéma standard, surtout pour le filtre et l'EG) permet des trucs infaisables avec d'autres machines.
* Roland System 100 : sans doute le plus accessible parce que le plus ergonomique des modulaires. Une fois qu'on sait s'en servir, on n'a plus peur du Moog 55 (hélas, revendu). Ecouter ses séquences sur les disques de Tim Blake (Crystal Machine, New Jerusalem).
* Korg MS-20 : d'origine, toujours vaillant, utilisé depuis toujours, et j'ai l'impression qu'en 35 ans, je n'ai pas fini d'en faire le tour... En ce moment, il est piloté par un Theremin Korg (en alternance avec un Slim Phatty). Je compte bien m'acheter son mini frère version 2013, pour le fun (mais aussi pour midi et usb et jacks compatibles avec les modules Doepfer !)
* le reste des MS (MS-10,MS-50,SQ-10... tous revendus, mais aussi passionnants qu'un system 100, quoique d'un abord moins immédiat en live - surtout le séquenceur)
* Roland sh-5 (j'en cherche toujours un, alors je me console avec un sh-2 de la même génération... Il est beau, massif, imposant, performant... une sorte de system 100 déjà câblé (manque juste le séquenceur)
* RSF Kobol : utilisé pour des leads basse et le doublage des lignes de basse de mon 3e EP. Lors de cette séance de studio, il venait tout juste d'être livré à MusicLand par les frangins toulousains. Je regrette toujours de ne pas l'avoir pris sous mon bras et ramené à la maison (il était vendu à peine le double d'un MS-20)
* Korg PE-1000 et PE-2000 (Polyphonic Ensemble et Polyphonic Orchestra [ce dernier que je n'ai plus et que je recherche désormais] : des sons à tomber par terre, imho aussi classiques et indispensables qu'un Rhodes et un B3 (pas moins). En plus, indéréglables, robustes, pas encombrants dans leur flight-case intégré, comme à la bonne époque (idéal pour la route !), une ampleur sonore et une chaleur bien supérieurs aux Solina et autres string ensemble de l'époque. Des sons de 3100/3200/3300, à prix et volume abordables ! Ne pas oublier que ce furent historiquement le premier paraphonique (1000) et le premier polyphonique (2000) quand Moog pédalait encore dans la semoule avec ses MultiMoog et MemoryMoog galéreux, instables et non fiables.
* Moog 55 (parce que j'ai eu la chance d'utiliser ceux de copains musiciens, que j'ai failli racheter celui d'un de ces derniers : sa femme trouvait qu'il faisait tache sans le salon - et lui ne voulait pas le déménager au studio Davout - mais ma femme n'en voulait pas, car il eût fait tache dans son salon, en plus, étudiante, elle avait travaillé comme standardiste et ça lui évoquait de pénibles souvenirs ! (sic), même si, si j'avais pu, j'aurais personnellement choisi le Roland System 700 (celui utilisé par Tomita, entre autres sur son Sacre du Printemps de Stravinsky et son Snowflakes are Dancing de Debussu) aux oscillos bien plus stables et à la fabrication bien plus robuste.
(à quatre exceptions près, utilisés mais non possédés)(mais hélas, j'en ai revendu quelques-uns,
* Korg 800 DV : mon premier, acheté en 76, toujours vaillant, enregistré 3 disques avec et fait pleine de scènes (j'y ajoute ses frangins 700s et 770, du même esprit (avec mention spéciale pour le 770 qui, imho, vaut largement un mini-Moog D pour la rapidité d'évolution des sons sur scène). Et comme avec le Moog, l'ergonomie très caractéristique de cette première gamme Korg (à la différence des ARP et Oberheim, suivant un schéma standard, surtout pour le filtre et l'EG) permet des trucs infaisables avec d'autres machines.
* Roland System 100 : sans doute le plus accessible parce que le plus ergonomique des modulaires. Une fois qu'on sait s'en servir, on n'a plus peur du Moog 55 (hélas, revendu). Ecouter ses séquences sur les disques de Tim Blake (Crystal Machine, New Jerusalem).
* Korg MS-20 : d'origine, toujours vaillant, utilisé depuis toujours, et j'ai l'impression qu'en 35 ans, je n'ai pas fini d'en faire le tour... En ce moment, il est piloté par un Theremin Korg (en alternance avec un Slim Phatty). Je compte bien m'acheter son mini frère version 2013, pour le fun (mais aussi pour midi et usb et jacks compatibles avec les modules Doepfer !)
* le reste des MS (MS-10,MS-50,SQ-10... tous revendus, mais aussi passionnants qu'un system 100, quoique d'un abord moins immédiat en live - surtout le séquenceur)
* Roland sh-5 (j'en cherche toujours un, alors je me console avec un sh-2 de la même génération... Il est beau, massif, imposant, performant... une sorte de system 100 déjà câblé (manque juste le séquenceur)
* RSF Kobol : utilisé pour des leads basse et le doublage des lignes de basse de mon 3e EP. Lors de cette séance de studio, il venait tout juste d'être livré à MusicLand par les frangins toulousains. Je regrette toujours de ne pas l'avoir pris sous mon bras et ramené à la maison (il était vendu à peine le double d'un MS-20)
* Korg PE-1000 et PE-2000 (Polyphonic Ensemble et Polyphonic Orchestra [ce dernier que je n'ai plus et que je recherche désormais] : des sons à tomber par terre, imho aussi classiques et indispensables qu'un Rhodes et un B3 (pas moins). En plus, indéréglables, robustes, pas encombrants dans leur flight-case intégré, comme à la bonne époque (idéal pour la route !), une ampleur sonore et une chaleur bien supérieurs aux Solina et autres string ensemble de l'époque. Des sons de 3100/3200/3300, à prix et volume abordables ! Ne pas oublier que ce furent historiquement le premier paraphonique (1000) et le premier polyphonique (2000) quand Moog pédalait encore dans la semoule avec ses MultiMoog et MemoryMoog galéreux, instables et non fiables.
* Moog 55 (parce que j'ai eu la chance d'utiliser ceux de copains musiciens, que j'ai failli racheter celui d'un de ces derniers : sa femme trouvait qu'il faisait tache sans le salon - et lui ne voulait pas le déménager au studio Davout - mais ma femme n'en voulait pas, car il eût fait tache dans son salon, en plus, étudiante, elle avait travaillé comme standardiste et ça lui évoquait de pénibles souvenirs ! (sic), même si, si j'avais pu, j'aurais personnellement choisi le Roland System 700 (celui utilisé par Tomita, entre autres sur son Sacre du Printemps de Stravinsky et son Snowflakes are Dancing de Debussu) aux oscillos bien plus stables et à la fabrication bien plus robuste.
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