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Commentaires sur le test : Test vintage du Juno-106 de Roland

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Sujet de la discussion Commentaires sur le test : Test vintage du Juno-106 de Roland
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En 1984, le Juno-106 se présente comme une évolution du Juno-60 intégrant le Midi, positionné en entrée de gamme. Avec un son riche typique et une architecture simpliste, il va devenir l’un des plus grands succès de Roland, inscrivant sa marque indélébile dans la musique électronique des 80’s.


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Impressionnant le son de cloche "Juno-106_1audio 12 Bells" (à 12:34 dans la vidéo).
Je n’aurais jamais pensé qu’il était possible de sortir une sonorité pareille du Juno 106.
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Petit apport personnel: à l'époque de sa sortie je travaillais dans un magasin d'instruments de musique et j'ai eu l'occasion de comparer le 60 et le 106 côte-à-côte; non seulement ça, mais j'avais sous la main un oscilloscope et j'ai donc branché les deux, filtre complètement ouvert pour vérifier. Résultat: l'onde en dent de scie du 60 était légèrement arrondie, celle du 106 plus "droite" en effet, comme décrit dans l'article. Mais le résultat sonore, du coup, est assez différent: sensiblement plus "agressif" sur le 106 que sur le 60. J'avais donc gardé mon 60 !
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Oui, c'est aussi mon sentiment concernant les sons de base, les 2 synthés ne sont pas "égalisés" pareil, que ce soit filtre ouvert ou à travers les filtres. Comme je l'ai précisé, le HPF n'est pas le même sur les 2 synthés, la position zéro est neutre sur le 60 alors que c'est un booster de basses sur le 106. Et le signal passe dedans quel que soit le réglage. Il y a aussi une différence flagrante de niveau sonore, le 60 sort vraiment très fort.

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Je n’ai jamais eu de 106, mais j’ai déjà posé mes doigts dessus. Et c’est le sentiment que j’ai eu, le 60 me semblait moins agressif, moins acide (même si ce terme ne correspond pas vraiment). Je me suis souvent demandé si ce n’était pas juste une question de perception, si je n’avais pas été victime d’un phénomène psycho-acoustique. Ce que vous dites là me donne à penser que non. :clin:
Je suis vraiment étonné que l’enveloppe ne contrôle pas le pwm, je ne savais pas. Quel dommage ! Par contre la position zéro du HPF, c’est vraiment génial pour les basses.
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bon test !
Bref, au prix actuel le Juno 106 a surtout sa place dans un musée.
Et même, pas autant sa place, à mon goût, qu'un Juno 60 qui, historiquement pour Roland, apportait la vraie innovation au grand public : mémoire de presets et interface digitale PCB.
Ca me rappelle de bons souvenirs tout ça : j'ai acheté mon Juno 60 en 1996 , c'était mon premier synthé, pour 2000 Francs... Je me souviens qu'à l'époque j'avais choisi le 60 car les gens préféraient se ruer vers le 106 car il était dans les premiers maxi des Daft Punk.
Mon Juno revendu vers 2005 au groupe Tahiti 80 :-) qui en ont fait depuis un de leur synth préférés
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Qu'entends-tu par "interface digitale PCB" ?
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Hors sujet :
DCB.....pas PCB....interface "pré-midi"

[ Dernière édition du message le 01/03/2022 à 18:33:33 ]

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Oui, c’est une interface propriétaire Roland qui a servi de base au protocole MIDI si je ne dit pas de bétises.
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Hors sujet :
Please don't forget the balises... :clin:
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Merci pour l’article
Comme d’autre, le 106 a été mon premier synthé, j’en avait acheté un il y 15 ans parceque à l’époque c’était un peu le seul synthé avec contrôle direct pas cher, je parle même pas d’analogiques ou de numérique
et c’est bizarre de voir l’évolution au fil des années, car il y a 15 ans on en trouvait facilement pour 200€ à 300€, normal personne n’en voulait, ça sonnait petit froid digital… mais aujourd’hui sa côte à explosé et tout le monde dis qu’il a un son d’enfer…
comme les autres, j’apprends que le HPF à 0 est en fait boosté