réactions à la news Synthé Novation UltraNova

Disont qu'il se place au prix d'un GAIA/R3/Miniak mais avec (espérons le...???) le son d'un Clavia. Si ca s'avère être le cas, alors je comprendrai que novation ai choisi de rogner sur certain point afin de privilégier le son...

Car il vaut mieux un mono-timbrale qui Sonne qu'un multi-timbrale qui grésille...  Non?

Un Moog est Monophonique (on aimerait un polyphonique...) Mais il a le Son la ou il doit être...

Pour l'ultranova on l'attend tous au tournant je pense...

Sera t-ont  sur un synthé moyen de gamme cher ou un haut de gamme  pas cher mais restreint...

Il est sorti déjà , non ?

Personne peut nous faire un petit détour sur synthé ?

Qu'il soit monotimbral ( ) , en ce qui me concerne, je m'en balance les modulateurs en anneaux ...

 ( pour être poli )

Mais il à l'air un poil puissant quand même ... moi j'attends des avis ...!

Citation de Patrick truelle :

Le coup du multi timbral c'est n'importe quoi. C'est une histoire de software pas de matériel (pas ici du moins).

Tu peux développer svp ?

çà me paraît compromis ... en tout cas, ce qui pouraît être sympa, c'est de l'intégrer comme plug ... dans un séquenceur ... histoire d'assigner des contrôles facilement via le PC ...

Savez vous si le mode X-Gator est de la partie ? des ARP programmables aussi ?

Personne n'a encore ce beau jouet ?

Il est clair que le concept est pertinent, la justification et les prétextes présentés par contre sont fumistes et puent la justification de mauvaise foi surtout de la part d'une firme qui revendique cet héritage!

Pour ce qui rejoint la réalité du musicien en situation live, à moins d'utiliser live, prétendre que l'enregistrement DTD est la norme c'est nier l'interaction entre le publique et l'artiste et donc les improvisations qui nécessitent une intervention sur les sons, leurs paramètres sur plusieurs canaux simultanément, d'ou la néccessité de la multitimbralité pour une machine dite intuitive. La seule justification dans le sens présenté serrait, via la présence de l'automap, de fournir un VST reprenant les caractéristiques du synthé accompagné d'un sequencer permettant l'utilisation transparente de plusieurs instances... Bien sur on peut considérer que ce ne serrait pas la seule machine utilisée dans le cadre d'un live...

Il est quand même loin  le temps de la présence d'un huit pistes sur scène ou par dessus on accompagne  la lecture en jouant d'un clavier!

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mais alors ça ça m'intrigue, qu'est ce que tu fait avec un huit pistes ?

tous les groupes electro bossent là dessus mais je comprend pas ce qu'ils font

 

Bah, à l'époque du hardware, sans séquenceur pour ses modules ou samplers ... çà devait pas être évident ...!

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L'ATARI 1024ST servait pour certains juste de séquenceur qui permettait 1024 Pistes, ce qui était redoutable pour l'époque ... de plus pas de latence puisque su'il ne s'agissait que d'envoyer des données MIDI dans un seul module ( l'interface midi... qui renvoyait le tout aux différentes machines )

 

et encombrement réduit car l'ordi tenait dans le clavier

 ( bon mis à part l'écran cathodique ...)

 

 Mais bon un 8 pistes doit être plus simple ... et pas de 16 pistes à l'époque ... certains devaient même en avoir 2 pour les 16pistes ...

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ah ok, il parlait d'un séquenceur. (un atari c'était chouette, mais je préfèrais jouer à joust ou a captain blood )

 

Moi je pensais qu'il parlait d'une table de mixage. Quand on regarde des vidéo de concert de chemical brothers ou noze par exemple, ils tripotent tous une table de mixage. Plus globalement je suis curieux de savoir ce que fouttent les musiciens éléctroniques sur scène. T'as l'impression qu'il appuient sur le bouton lecture et qu'après ils font semblant de tripoter des trucs en rythme....

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Oki...

 j'ai pas connu l'ATARI ... j'ai vu çà en live une ou deux fois ...

 

mais par exemple j'ai pu voir y'a pas si longtemps, un gars ( type ours avec une barbe look GARNIER )

lui, livait avec une table KORG ... pas toute jeune ... !

mais je me demandais aussi à quoi elle servait, certains arrive à faire des progs avec des contrôles MIDI maison ...

Moi perso j'appuie sur play ... je mute et je démute ... je mixe et je potard ... et puis voilà ...

si... je joue une peu du clavier et du pad ... mais le gros reste sur la prog ( je vais sûrement attaquer les ARP bientôt ... )

 

Je parlais d'un enregistreur analogique 8 pistes Tascam, deux MS20, un CS15, un CASIOTONE, un SIRYNX, une TR 606, un SQ10... sur scène c'était du sport pré Atari ( au départ c'était Pro 24, cad 24 piste MIDI, 1024 rien à voir avec le nombre de pistes...)

Citation de batardeviking :

T'as l'impression qu'il appuient sur le bouton lecture et qu'après ils font semblant de tripoter des trucs en rythme....

Tu n'es pas loin de la vérité.

Même pour un Français bien connu qui joue 0 moscou ou sous la tour effel on a de gros doute en voyant certaine vidéo, alors ...Pourtant du matos il en a.

C'est clair que le multi est une affaire de DSP mais s'il est limité, je choisi sans hésiter la qualité du son à un mode multi timbral. De plus je n'ai que deux mains, un son à gauche, un son à droite, c'est bon ;-)

Faut pas masquer son incompétence ou son manque de réativité en empilant les couches. Après pour le studio, effectivement le DTD ou les DAW sont là. C'est un choix de Navation et je ne pesnse pas qu'il soit mauvai mais chacun son mode de fonctionnement.

...oui ... le synthé à 2 moteur audio différents ... voir plus ... çà peut franchement génial

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il me semble que le séquenceur sur ATARI proposait un nombre de pistes illimitées ... et ne gérait que des évènements midi ...

Citation :

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il me semble que le séquenceur sur ATARI proposait un nombre de pistes illimitées ... et ne gérait que des évènements midi ...

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Petit historique ATARI ST: Cela à commancé avec le premier modèle de la série, 130ST, doté de (128 Ko). Il fut suivi des modèles 520ST (512 Ko) et 520ST+ (1024 Ko) ou le 1024, ensuite les Mega ST2 et 4  donc 2 mega et 4 mega de mémoire vive... les principaux outils utilisés par les musiciens à l'époque, leur force c'était le Midi intégré, ce qui à permis à Steinberg de faire ses armes d'abord avec Pro 24, 24 pistes midi et ensuite les premiers Cubase... pour le rsete c'est pas adapté ici! (et puis je fatigue)

ok tkt ... je te crois sur parole ... de plus je n'ai pas connu cette époque ... !

http://matrixsynth.blogspot.com/2010/10/vintage-depeche-mode-live-1981-speak.html

Ce qui me fait dire que la justification utilisée par Novation me fait pensser à un retour aux sources, sauf que maintenant c'est de l'enregistrement DTD et pas assumer comme à l'époque. Ce qui, encore une foi, n'enlève rien à la pertinance de l'engin après essai bien sur... à suivre et à voir!

Cafouillage... à lire avant le précédent message (désolé)

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"Bel exemple de l'utilisation d'un enregistreur à bande lors d'un life, OMD et Human League faisaient pareil..."

Ah DépecheMode ... j'aime beaucoup

on voit pas trop l'enregistreur ( d'ailleurs il fait quoi ? )

Play Back des rythmes et sequences impossible à programmer pour chaque morceau à l'époque préMidi

Pas de mémoires ou très peux sur les synthés, les sequencers perdent la leur à chaque extinctions...

Bref on joue les mélodies, solo et gimmick par dessus un enregistrement... la belle époque des pionniers, n'avaient pas les moyens de Kraftwerk, qui eux ont pus utiliser les premiers Roland MC8...

Fabuleux ... !

Merci pour la précision ( dis-donc ... même les séquenceurs n'avaient aucune mémoire ? )

Je suis parfois content de vivre à notre époque !

En ces temps préhistoriques il y avait deux sortes de sequencer, les analogiques style korg SQ10: 3 rangs de 12 pas pouvant être bouclés séparément à des longueurs différentes ou coupler pour faire plus longs, on affecter par des câbles le paramètre du synthés qu'on voulait moduler: genre rang 1: hauteur de note boucler à douze pas - rang deux: ouverture du filtre boucler à 8 pas - rang trois fréquence du LFO boucler à six pas ( le tout se faisant par câblage du sequencer vers le synthé modulaire.

Puis les sequencers à mémoire numérique volatile genre Roland SQ 600 dit Computer Controled: 4 fois une mémoire de 150 évènements switchable à la volée genre je couple deux sequence de 150 pas pour faire 300 pas de ligne mélodique et deux fois 150 pas  de figure rythmique... (j'espère être assez clair) le sequencer pilote le synthé par les entrées sortie CV-GATE du synthé... Cela est resté vrai jusqu'en 1983 à la présentation du MIDI au Namm Show, ou étaient relié ensemble un JP 6 Roland et un Prophet 600 Sequential Circuits présenté par Dave Smith son inventeur... puis comme dit précédemment en 1985 arrive l'Atari et puis la conception de la musique assistée par ordinateur change notre monde musical pour le meilleur et pour le pire et tout ce qui existe entre deux...

Je pensse qu'on est vachement HS là, si un modo passe par là qu'il soit indulgent! Merci d'avance

Merci à toi pour ces précisions tout de même ... un peu d'histoire de la musique electronique ne fait jamais de mal ///

En ce qui concerne L'Ultranova, je suis toujours impatient de voir arriver un AVIS ... car pour le moment ...même dans les forums ...c'est assez calme !

IL m'intéresse toujours, en vue de remplacer mon Xiosynth ( que je garderais juste pour voyager )

Si il s'avère aussi efficace en sonorités, qu'en contrôleur ( sans oublier la carte son ) ...

Perso j'ai du mal avec le concept de la monotimbralité et de la justification qu'en donne Novation:

Novation à une histoire enviable dans la fabrication de machines facilement accessible en "live";

BassStation/Drumstation - Supernova/Nova - A/Kstation KS 4-5-Rack avant reconversion réussie dans les claviers et pupitres de commandes... sans compter les plugs de synthèse et d'effets(hérités du supernova) et bien sur cerise sur le gâteau; développement de l'automap...

Ce qui me fait dire qu'appeler "Ultranova" un petit clavier de commande doter d'un moteur de synthèse qui apriori n'invente rien de bien nouveau et prétend même limiter son utilisation à l'enregistrement de ses propre sons en DTD c'est un peut fumiste... bien sur je confirmerai ou infirmerai cette impression à l'écoute et l'essai de ce synthé.