Synthé moche land
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Anonyme

Je commence avec ceci :


Poussin du Ciel



kosmix

j'aimerais bien que thejarrian me dise combien ça vaut une nappe de JX.
La nappe elle-même ne doit pas coûter grand chose, par-contre la main d’œuvre pour démonter le synthé et la remplacer risque de revenir assez cher. Le mieux est de le faire soi-même.
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

sonicsnap


Poussin du Ciel


sonicsnap


Poussin du Ciel


Poussin du Ciel


sonicsnap


Poussin du Ciel


kosmix

Ben ça doit quand même être pratique en live, non? Comment intervenir sur les paramètres tout en jouant, sans ça?
On tape numériquement le nombre à deux chiffres correspondant au paramètre souhaité et on modifie la valeur avec la molette "data".

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
[ Dernière édition du message le 22/03/2020 à 19:09:11 ]

oryjen




La même sur Korg Poly800. C'est horrible!
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.

sonicsnap


Push-Pull

A ce sujet une anecdote amusante:
1982, votre serviteur est encore un ado (avec quand même un MS20 flambant neuf) qui traîne dans les magasins de musique de la région. Et justement dans l'un deux je vois LA nouveauté: le fameux Poly-61 !
Et ce jour là le représentant de l'importateur helvète de la marque est là, mais... le gars est très dubitatif ! Il m'explique que "en gros" c'est un Polysix amélioré et pour me parler de ses doutes sur l'interface il me sort: "même les ingénieurs de chez Korg ont des difficultés" ....


Du haut de mon jeune âge je n'ai rien rétorqué, mais je n'en pensais pas moins: ce mec est un vendeur, un idiot, car rien de plus simple que de taper 31 et de changer ainsi joyeusement la valeur du cutoff !

Poussin du Ciel


kosmix

Je suppose que c'est mieux sur le JX-8P avec sa molette linéaire ; j'ai eu le même système sur le D-10, là pour le coup le plus pénible était de naviguer dans les menus de paramètres mais après avec ce potard longitudinal ça allait très vite (et au passage bien plus agréable que le joystick du D-50).
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
[ Dernière édition du message le 22/03/2020 à 23:54:17 ]

oryjen

Mais quand tu en as plusieurs, lors d'une séance d'impro par exemple, voire même plusieurs du même genre avec chacun ses codes spécifiques, c'est absolument anti-intuitif.

Alors qu'avec la philosophie un bouton/une fonction, une fois habitué à la philosophie particulière de chaque marque ou de chaque instrument, on passe facilement de l'un à l'autre, parce qu'on a des repères visuels.
Raison pour laquelle, malgré une similitude d'aspect et de conception électronique (même série, mêmes circuits de base), les Kawai/Teisco SX 210 et 240 sont radicalement différents:
Sur le premier, chaque switch adresse une fonction, dont la valeur peut être modifiée avec le gros dial.
Modifier un paramètre ne demande que deux gestes consécutifs (contre un seul sur un synthé "traditionnel" à potars). Visuellement ça reste intuitif: la main se déplace sur la surface de contrôle jusqu'au "lieu" physique où se trouve accessible la fonction visée. La gestuelle peut être mémorisée par l'entraînement, c'est une sorte de gestuelle artisanale en quelque sorte.
Sur le 240, on déplace un "curseur" lumineux (leds) sur des "cases" rangées en abscisses et ordonnées à l'aide de 4 touches de localisation (haut, bas, droite, gauche) pour pointer la fonction, et ensuite on modifie la valeur avec le dial. Pour pointer la fonction, la main est toujours au même endroit. Il faut mémoriser non pas une séquence gestes, mais un cheminement intellectuel.
Je dirais assez que c'est contraire à la pratique musicale.
Le Sequential Multitrack (et quelques autres de cette époque, avant qu'on en vienne aux écrans LCD multilignes avec menus déroulants, l'horreur absolue


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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
[ Dernière édition du message le 23/03/2020 à 06:20:24 ]

Poussin du Ciel


Anonyme

Mais quand tu en as plusieurs, lors d'une séance d'impro par exemple, voire même plusieurs du même genre avec chacun ses codes spécifiques, c'est absolument anti-intuitif.
Alors qu'avec la philosophie un bouton/une fonction, une fois habitué à la philosophie particulière de chaque marque ou de chaque instrument, on passe facilement de l'un à l'autre, parce qu'on a des repères visuels.
C'est certain qu'une ergonomie à base de boutons à membranne et de 45000 sous menus c'est naze. Mais un bouton = 1 fonction c'est pas forcémment idéal non plus, déjà ca fige l'architecture de la machine (sauf cas particulié des modulaire ou semi modulaires) et ca prend beaucoup de place. En fait il faut unbon compromis entre les deux les paramètres essentiels directement accéssibles, et les paramètres les moins essentiels en sous fonction. Genre le basstation 2 semble avoir été particulièrement bien conçu sur cet aspect la (en plus du reste, j'adore ce synthé !). Tout l'essentiel est en façade, et certaines fonctions plus spécifiques sont accéssible via des combinaisons de touches.
[ Dernière édition du message le 23/03/2020 à 10:29:00 ]

Poussin du Ciel


Son aîné a quand même plus de classe
[ Dernière édition du message le 23/03/2020 à 12:53:38 ]

kosmix

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

Anonyme



kosmix

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

sonicsnap


kosmix

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

Poussin du Ciel

Perso je vois le microKorg comme étant une machine pour les ingéSon c'est pas possible autrement... J'ai jamais réussi à en tirer quelque chose.
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