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Arturia Matrix 12 V
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Test de l'Arturia Matrix 12 V

Test écrit
167 réactions
Retour dans la Matrix
7/10
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Nouvel avatar chez Arturia, la réincarnation sous forme virtuelle d’une des légendes de la synthèse, l’Oberheim Matrix-12. Voyons ce que nous propose cet instrument, par rapport à son aîné, et au milieu d’une offre de synthés toujours plus pléthorique.

Depuis quelque temps, l’édi­teur Artu­ria est sur tous les fronts, logi­ciel comme hard­ware. Ainsi les nouveaux Keylab, les varia­tions autour du Micro­Brute, les synthés iOS à peine sortis, et alors que la commu­ni­ca­tion met l’ac­cent sur l’Audio­Fuse, la V Collec­tion 4 débarque, propo­sant des versions mises à jour des logi­ciels exis­tants, un nouveau système d’au­to­ri­sa­tion et pas moins de deux nouveaux instru­ments virtuels, le Solina V, testé ici et le Matrix-12 V, objet du présent test.

Machine de test

MacPro Xeon 3,2 GHz
OS 10.10.1
Artu­ria Matrix-12 V v.1.0.1.9
Logic Pro X 10.0.7

L’édi­teur français accroche ainsi à son palma­rès une nouvelle légende, en ayant déjà fait un tour assez complet des grands construc­teurs, tout du moins ceux qui n’opèrent pas encore sous leur propre nom (Korg avec la Legacy Collec­tion et toutes ses décli­nai­sons pour iOS, Roland avec son System-1 et ses recréa­tions de SH-101 et SH-2, etc.). Déjà respon­sable d’un réussi Oberheim SEM V (test ici), Artu­ria nous présente ici ce qui est consi­déré comme le haut de gamme du poly­pho­nique analo­gique (et un peu numé­rique) selon Oberheim, le Matrix-12, sorti en 1985, fruit des évolu­tions des produits de Tom Oberheim, dans une recherche de poly­pho­nie impor­tante (depuis les TVS-1 Two-Voices), de langage de synchro et de commu­ni­ca­tion (après le Paral­lel Bus, le MIDI, réalisé deux ans avant par un regrou­pe­ment initié par Dave Smith, et auquel appar­te­nait Oberheim), des possi­bi­li­tés de filtrage surdé­ve­lop­pées (à partir du célèbre VCF multi­mode en continu), truffé de nouveau­tés et d’une archi­tec­ture de modu­la­tion qui faisait la diffé­rence, et bien plus que la simple somme de deux Xpan­der, son prédé­ces­seur.

Artu­ria reven­dique fière­ment l’im­plé­men­ta­tion totale des fonc­tion­na­li­tés de l’ori­gi­nal, auxquelles il a ajouté tout un tas d’op­tions de son cru, comme à son habi­tude.

Intro­du­cing Artu­ria Matrix-12 V

À l’oc­ca­sion de la sortie de la V Collec­tion 4, l’édi­teur/fabri­cant inau­gure un nouveau système d’au­to­ri­sa­tion, non plus basé sur le fameux e-Licen­ser (racheté par Stein­berg, et son système de clé USB ou de dongle virtuel sur le disque dur), mais sur un système proprié­taire. On télé­charge une première appli­ca­tion nommée Welco­meApp, et à partir de cette dernière on choi­sit quel instru­ment instal­ler. L’ins­tal­la­tion comprend l’Ar­tu­ria Soft­ware Center (l’équi­valent d’un Service Center chez Native, pour donner une idée) qui fonc­tion­nera de pair avec votre compte Artu­ria (obli­ga­toire), et vous permet­tra d’ins­tal­ler et acti­ver vos instru­ments sur cinq ordi­na­teurs, l’idée étant de n’en utili­ser qu’un à la fois. Un net progrès par rapport à l’e-Licen­ser…

L’édi­teur propose une version auto­nome, et des plugs compa­tibles AAX, AU et VST 2 et 3, pour les systèmes Mac (mini­mum 10.8) et Windows (mini­mum Win7). On pren­dra soin de lancer régu­liè­re­ment l’ap­pli­ca­tion Artu­ria Soft­ware Center, qui ira récu­pé­rer, si besoin est, les mises à jour.

Le plus beau, le plus gros ?

Arturia Matrix 12 V

C’est peu de dire que le Matrix-12 a fait forte impres­sion lors de sa sortie. Par son coût bien sûr (plus de 5000 dollars de l’époque), ce qui l’a dans un premier temps réservé aux joueurs de claviers (sur) profes­sion­nels et aux stars de la musique synthé­tique. Mais avant tout par ses fonc­tions, bien entendu : douze voix de poly­pho­nie, chacune d’entre elles tota­le­ment indé­pen­dante, toutes pouvant être regrou­pées par Zone (pour créer des Multis) ou trai­tées indé­pen­dam­ment (12 sons mono sur 12 canaux MIDI diffé­rents…), deux VCO par voix avec sélec­tion libre des formes d’ondes, deux VCA, un FM VCA, un VCF multi­mode et multi­pente (15 modes diffé­rents !), cinq géné­ra­teurs d’en­ve­loppes, cinq LFO, un Lag, trois Tracking et quatre Ramp Gene­ra­tors, un Matrix Modu­la­tion System (marque de commer­ce…), un clavier cinq octaves trans­met­tant vélo­cité et pres­sion, deux leviers de modu­la­tion et un des systèmes MIDI les plus perfor­mants de l’époque. Seuls les VCO, le filtre et les deux VCA sont analo­giques, tout le reste étant mis en œuvre sous forme logi­cielle.

Cette fameuse Matrix permet­tait de créer 20 assi­gna­tions par voix, à partir de 27 sources vers 47 desti­na­tions, autant dire une manne pour le sound desi­gner. Notons que le prin­cipe de program­ma­tion était aussi assez inno­vant, puisqu’il aurait été impos­sible d’im­plé­men­ter un contrôle par para­mètre dispo­nible : on passait d’un module à l’autre via boutons dédiés, et les fonc­tions dudit module appa­rais­saient sur les LCD centraux flanqués de 12 boutons et six enco­deurs (avec parfois l’obli­ga­tion de passer de page en page). Prin­ci­pales diffé­rences avec les Xpan­der (un des premiers synthés modernes à sortir direc­te­ment dans une version sans clavier), l’ab­sence de sorties sépa­rées sur le Matrix-12 (même si une option fut rajou­tée plus tard) et le retrait de CV/Gate. 

Version Artu­ria

Arturia Matrix 12 V

Si l’édi­teur prend soin de repro­duire à l’iden­tique les fonc­tions du synthé, il ajoute aussi ses propres créa­tions. Commençons par celles-ci : d’abord, l’in­ter­face graphique, même si dans l’es­prit, diffère en ce sens qu’elle propose des modules dédiés (VCO, Filter, Env, etc.) avec leurs propres écrans, boutons et enco­deurs, et des fenêtres de program­ma­tion. On dispose de deux fenêtres prin­ci­pales, Main et Voices. Indé­nia­ble­ment, la clarté y gagne, et donc la program­ma­tion. On retrouve la clas­sique barre d’ou­tils de l’édi­teur, permet­tant prin­ci­pa­le­ment la gestion des présets. Une page Voices bascule entre Single et Multi, rendant assez claires les program­ma­tions spéci­fiques à ces statuts diffé­rents. Inédit aussi, le Program Chain qui permet d’éta­blir une liste de 128 présets que l’on appel­lera via les numé­ros de Program Change corres­pon­dants.

Ensuite, ce qu’Ar­tu­ria appelle la Name­plate, donne accès à l’af­fi­chage du clavier (KBD), des effets (FX), de la page de modu­la­tion (MOD) et à la Page2, on y revient. Du côté des effets, on dispose de deux slots en inser­tion, permet­tant de choi­sir entre six effets, Analog Delay, Delay, Phaser, Flan­ger, Reverb, Analog Chorus. Les posses­seurs de Spark retrou­ve­ront graphisme et réglages fami­liers, à l’ex­cep­tion des présets, ce qui est un peu dommage.

Arturia Matrix 12 V

La page Mod offre 40 lignes (donc 40 routages possibles en mode Single, bien plus qu’il n’en faut dans la plupart des cas) avec Source, Amount, Desti­na­tion et un bouton de quan­ti­fi­ca­tion, ce qui permet­tra de modu­ler par pas plutôt qu’en varia­tion conti­nue. Deux fenêtres char­gées de symboles s’af­fichent lors d’un choix de Source/Desti­na­tion, la sélec­tion s’ef­fec­tue d’un clic, parfois deux quand le para­mètre offre plusieurs réglages (par exemple un segment d’un géné­ra­teur d’en­ve­loppe, ou fréquence, réso­nance du filtre, etc.). 

La page Voices (mélange des pages VAssign et Zone du Matrix-12) rend aussi beau­coup plus aisée la gestion des voix, en mode Single aussi bien qu’en mode Multi. On dispose d’un bouton d’ac­ti­va­tion des voix, d’un réglage de choix de la zone, d’une trans­po­si­tion chro­ma­tique, d’un detune, d’un volume ainsi que d’un réglage de pano­ra­mique sur sept posi­tions (encore une des parti­cu­la­ri­tés de l’ori­gi­nal). La section Zones offre choix du canal MIDI, mode de jeu (dont le très carac­té­ris­tique Rotate, faisant passer d’une voix à l’autre, et les diffé­rents modes Mono), Voice Stea­ling (à l’ori­gine Voice Rob, gestion de la poly­pho­nie en cas de dépas­se­ment, par arrêt de la note la plus ancienne) et tessi­ture de la zone. On y trou­vera aussi les réglages du « sixième » LFO, celui dédié au vibrato, avec vitesse, formes d’onde (les six d’ori­gine), lag et ampli, ainsi que sources de modu­la­tion sur la vitesse et le gain, avec taux de modu­la­tion.

Un petit exemple de Rota­ting avec diffé­rent Pan.

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Produc­tion sonore

Arturia Matrix 12 V

L’in­ter­face revue et corri­gée permet d’avoir une vision claire des modules du synthé (rappe­lons que sous l’ap­pa­rence épurée du synthé, le capot cache un équi­valent de modu­laire de haut vol). Les deux VCO offrent les réglages clas­siques, accor­dage, detune, volume, ainsi que trois formes d’ondes (et un Noise pour le VCO2), pouvant être sélec­tion­nées simul­ta­né­ment, et un taux de PWM. Un bouton pour la Hard Sync permet­tra d’ob­te­nir les sons clas­sique­ment asso­ciés à ce réglage. Le FM VCA est lui aussi de la partie (depuis le VCO2), avec son assi­gna­tion au VCO 1 ou au filtre, avec réglage de taux.

Arturia Matrix 12 V

Côté filtre, le multi­mode, multi­pente est bien entendu de la partie, avec ses quinze types, des diffé­rents low et high aux confi­gu­ra­tions de type deux notch plus un low, etc. Puis l’on se dirige tranquille­ment vers les deux VCA, l’un censé être clas­sique­ment modulé par une enve­loppe, l’autre destiné à rece­voir toutes sortes de modu­la­tions. Ainsi on peut recréer la forme dyna­mique précise d’un son, tout en ayant de nombreuses varia­tions expres­sives simul­ta­né­ment.

Puisqu’on parle d’en­ve­loppes, louons le modèle de celles du Matrix : si l’on retrouve les clas­siques Attack, Decay, Sustain et Release, elles disposent d’un Delay placé en première posi­tion, permet­tant ainsi de déca­ler l’en­trée en action de l’en­ve­loppe, et de donner des sensa­tions de ré-attaques multiples quand on en conjugue plusieurs. La Page2 offre des réglages supplé­men­taires, notam­ment concer­nant le mode de lecture, le trig­ger (notam­ment via LFO, option très inté­res­sante d’un point de vue sonore), la dispa­ri­tion de la partie Sustain si besoin, etc.

Arturia Matrix 12 V

On ne peut pas ne pas prêter atten­tion aux LFO et leurs sept formes d’onde, aux Tracking Gene­ra­tors, leur source de commande (14 diffé­rentes) et leurs cinq points, tout comme le Lag et les géné­ra­teurs de rampe (idéaux pour éviter de mobi­li­ser une enve­loppe sur un effet progres­sif de modu­la­tion, eux-mêmes pouvant être déclen­chés par LFO).

Mais écou­tons quelques sono­ri­tés du synthé, incluant des présets la plupart du temps modi­fiés et dont les effets ont été enle­vés (parfois on enten­dra avec, puis sans, ou vice versa, mais quand même, ce besoin de mettre de la réverbe partout…). Commençons par les basses.

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Autre domaine réputé du Matrix, les Pads.

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Quelques claviers synthé­tiques, notam­ment les « Brass » si typiques des années 80 (autre grand pour­voyeur de ce type de sons, les synthés Roland).

 

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Et pour finir, des Leads.

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Bilan 

Si l’on consi­dère la repro­duc­tion des fonc­tions d’ori­gine, leur amélio­ra­tion (notam­ment au niveau de l’er­go­no­mie), et l’ajout de nouveau­tés, Artu­ria fait avec le Matrix-12 V un (presque) sans faute. Ensuite, et pour tout vous dire, je n’ai pas de Matrix-12 hard­ware à la maison, donc la compa­rai­son sonore point par point n’a pu être réali­sée. 

Mais les souve­nirs d’uti­li­sa­tion, ainsi que les sono­ri­tés connues chez Yello, Toto, Depeche Mode, Herbie Hancock, Propa­ganda, Allan Hold­sworth avec sa Synthaxe ou Michael Brecker et son EWI, les nombreuses B.O. dans lesquelles Ian Under­wood a été impliqué, sont toujours présents et faci­le­ment compa­rables via la disco­thèque idoine. Sans comp­ter les diffé­rentes banques dispo­nibles (Nostal­gia, Retro Machines MKII, Nord, etc.), même s’il faut prendre en compte les diffé­rents maté­riels utili­sés pour le sampling, ainsi que les post-trai­te­ments.

Le son est très souvent proche de l’ori­gi­nal (on pren­dra soin de désac­ti­ver les effets…), mais il semble toujours manquer quelque chose, notam­ment dans le bas qui semble un peu léger. Est-ce un effet placebo, ou une véri­table diffé­rence ? Dans ce cas précis, diffi­cile de répondre de façon défi­ni­tive. Pour­tant, le carac­tère sonore est assez proche, la repro­duc­tion de l’ef­fet Rotate (on peut modi­fier très légè­re­ment des voix semblables, donnant une impres­sion d’in­sta­bi­lité) est concluante, les Multis permettent des confi­gu­ra­tions très créa­tives, les très nombreuses modu­la­tions et sources internes permettent de répondre quasi­ment à toutes les idées de sound design, d’au­tant que l’on dispose presque du double de possi­bi­li­tés par rapport à l’ori­gi­nal. Dommage que l’on constate aussi autant de bugs, ou de petites erreurs ici ou là (voir Points Faibles). Bref. 

Matrix-12 V n’a pas eu l’im­pact immé­diat qu’ont procuré certains synthés récents (quiconque a bidouillé le filtre Uhbie de Diva a pris une véri­table claque, par exemple, là où celui de Matrix-12 est moins impres­sion­nant), mais à force de bidouiller, de program­mer, le synthé montre son inté­rêt, et s’il n’est pas un clone sonore de son aîné, il peut quand même offrir de longs moments de recherche sonore. 

 Télé­char­gez les fichiers sonores (format FLAC)

  • Arturia Matrix 12 V
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7/10
Points forts
  • Une relecture sympathique d’un classique
  • Fidèle et différent
  • Puissance des modulations
  • Richesse du filtre
  • MIDI Learn
  • Apports de la virtualité
Points faibles
  • Le français du manuel en français n’est pas du français...
  • Pas de présets spécifiques aux effets
  • Temps de chargement de présets parfois très long
  • Pas de bypass global des effets
  • Le passage en page Voices ne permet plus l’accès aux effets, Page2, etc.
  • Certains volumes de présets à 0
  • Clics audio lors de changements de présets
  • LFO en mode Sample & Hold ne fonctionne pas
  • Saut de volume lors du chargement de présets en mode Program Chain
  • Program Chain ne répond pas aux Program Changes MIDI  !

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