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VERY OLD SCHOOL : Avec quoi avez-vous commencé vos enregistrements ?

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Sujet de la discussion VERY OLD SCHOOL : Avec quoi avez-vous commencé vos enregistrements ?

S'lut tout le monde !

On va parler d'un temps que les moins de 20 (j'arrête là pour pas avoir d'ennuis avec le super-grand Charles), donc : on va causer d'une l'époque où le GPS ou l'internet étaient strictement réservés aux armées, et le portable une douce utopie à laquelle accédaient seulement les chefs d'état, les (vraies) stars et les émirs.

Je propose ici d'énumérer nos galères ou nos réjouissances et moult autres anecdotes lors de nos premiers enregistrements amateur, époque 70-80 où il était parfaitement impensable de s'enregistrer dans de bonnes conditions at home ! Seuls les pros fréquentaient les studios, où avaient lieu des sénaces de coupe de bande tremblantes pour être certain de cutter au bon endroit sinon toute la prise était à refaire.
Enfin, toutes LES prises : rappelons en effet, pour se faire une idée, qu'il fallait avoir un nom comme les Beatles ou Presley pour pouvoir accéder aux premiers QUATRE pistes, début-milieu des années '60 si je ne raconte pas de bêtise. Avant ça, tout le monde jouait ensemble : un seul instru déconnait, et tout le monde devait reprendre.

Si l'humain est par nature de + en + exigeant (l'a pas totalement tort, du reste), il semble bon de rappeler parfois aux générations actuelles que leurs "grands frères" (modestie inside; just fraterie) ont démarré avec des bouts de ficelle sans être pour autant de la génération de Néanderthal !

... Et on y arrivait !
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Comme dans les pages précédentes, il faudrait qu'on ressorte de nos tiroirs les appareils et "effets" qui ont "vu" nos premiers pas commencer à marcher...

Pour ma part, j'ai cherché en vain une photo où l'on me voit enregistrer sur deux "magnétos" : c'est ainsi que, en rejouant "par dessus les deux magnétos" (que je décalais légèrement en temps et en distance par rapport au micro de la ouvelle prise), j'enregistrai alors la voix et la guitare principales sur un troisième magnéto ! Des magnétos à quelques centaines de francs français.

A la moindre erreur, il fallait tout reprendre, tout recaler, et tout recommencer... Tout ça, rien que pour me créer un effet d' "écho guitare" sur une chanson, ça pouvait prendre des jours entiers.

J'y ai passé je crois 3 ou 4 années consécutives à y consacrer la plus grande part de toutes mes vacances alors que la famille se barrait... Ca m'a fait mes trois premiers "albums" en cassettes, j'en écrivais/enregistrais un par an depuis l'âge de 15 ans et je jouais une partie de ces chansons au collège en fin d'année. C'était de "la promo à l'envers", si j'ose dire.

J'vous raconte pas comment ça sent la poussière chauffée; mais c'est de la poussière vraimment irremplaçable; de la poussière qui tient et à laquelle on tient.

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Alors, sortons des tiroirs nos anciens appareils... Et, pourquoi pas, nos premiers enregistrements !!
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Comme beaucoup ici, du ping-pong entre un combo Aiwa et un autre enregistreur que j'allais emprunter chez une voisine. Devant tout ce mic-mac ma chère moman avait eu pitié de moi et m'avait aidé à investir dans ce 4 pistes Cutec:

CutecRecorder.jpg

Des heures passées là-dessus ! Et déjà envoyer des sons avec un peu trop d'aiguës, histoire d'anticiper la perte de celles-ci, puisque ce Cutec n'avait pas d'EQ.

Puis Fostex 260, avec enfin des paramétriiiiques !

http://www.em411.com/blog/em411_com-blog-3789-1.jpg

Puis Atari ST avec le Pro-24, etc etc... :8)

[ Dernière édition du message le 05/04/2012 à 07:53:05 ]

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Hello !!!
alors moi mon père qd j'était gamin dans les 70s avait un magneto dont la bande faisait 10 cm de large .... elle se déroulait doucement pendant le record puis avec une lame integrée on coupait la bande pour la donner à une tiers personne... cette bande etait perforée des deux cotés.... le magneto possèdait un micro integré... je faisais mes premieres chansons musiques et autres bruitages avec....
si quelqu'un peut me donner le nom de cet appareil ^^ impossible de me rappeler de ca .....icon_facepalm.gif

Il faut toujours faire faire par un autre le jour même , ce que l'on pourrait faire soi même le lendemain...

https://www.facebook.com/Woodyboard.fr/
 






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Salut les gars et les filles,

Beaucoups d'émotion à vous lire ;)

A 15 piges, un AKAI à bande GX4000D. La rolls à coté des k7 de l'époque. A la fin et par l'usure, la vitesse du cabestan variait et la bande avec, ça me faisait un mode auto pour de la zik bien psyché.
Puis un 4 pistes bandes tascam 22-4 et une console DR200 de 6 voies (sympa).
Ensuite un fostex 80 8 pistes bande et une console sono Yam MC1204 de 12 voies (l'apprentissage du vrai multipiste)
Enfin, un fostex G16 et une Tascam M520 de 1987, un ensemble que je regrette un poil, avec lequel j'ai réalisé des choses de bien meilleure qualité que quelques 24 pistes pro de l'époque où je suis passé en me délestant de pas mal de Pascal...
Aujourd'hui, je reste dans le sillon tracé : un HD24 et une studiomaster in line P7 24 voies de 1995. L'ordi me sert à mes commandes par internet de jeux de cordes de mes grattes.
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Hello

Perso, j’ai commencé en midi avec un Qx21 de chez Yamaha 2 pistes midi avec comme matos une TR505 de chez Roland en boite à rythme un Yamaha DX100 et par la suite un CZ1000 de chez Casio en synthé le tout enregistré sur une chaine hifi et relié sur une table de mixage de dj . Ensuite je suis passé sur Atari 520 et pro24 gonflé ensuite à 1024 pour faire fonctionner Cubase 1 et là c’était la révolution à l’époque j’avais un FZ1 de chez Casio en sampler et un MS10 acheté une bouché de pain le tout enregistré sur un portastudio 4 pistes à cassettes ….. La révolution pour moi à cette époque même si je n’ai jamais sortie quelque chose de formidable ….. :-D
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Je me souviens que j'avais trouvé une ruse pour éviter d'entendre le métronome (mécanique, évidement) dans les enregistrements où il était pratiquement indispensable car, débutant et seul à tout enregistrer, j'accélérais pathologiquement mon tempo, comme si j'avais envie de finir vite ma chanson. Il faut bien dire qu'au bout de 8 prises que je réécoutait et effaçait sans la moindre copie inutilisable, ben à force, on accélère aussi et le lendemain, on est out déconfit de devoir tout recommencer...

:leçondesolitudepage1:

La ruse en question, donc, fit en l'occurrence une idée lumineuse : elle consistait à remplacer le métronome par... un vague chenillard lumineux comme ceux qu'on trouvait à trois loupiotes chez n'importe quel organisateur de boom anniversairique...

Du haut de mes 15 ans j'avais tendu une sorte de rideau noir aux fenêtres, histoire de me mettre dans les conditions nocturnes d'un vrai pro dans les conditions de concert et, tout seul, je m'apprêtais à me la jouer à la Angus, devant personne mais trois "spots" cligotants aux couleurs acidulées : un rouge, un jaune et un bleu, point !

Après avoir installé tout mon système, j'ai eu la fierté d'expérimenter ma demi-journée de travail à préparer tout ça. Restait juste, à min idée, à mettre en route l'enregistreur à cassettes et hop ! à moi la gloire...

...

Ben non, en fait :
Rentablilité : moins 20 !

D'une part, il est im-pos-sible de se caler en rythme en se basant sur des couleurs qui s'allument -c'est étrange, mais c'est comme ça !) et, chose tout aussi insurmontable qu'imprévisible : y'avait un parasite électrique (bzzzz) dans l'enregistrement à chaque fois qu'une lumière s'allumait...

:ôcombienterriblesolitude:
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Flag!

JxB

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x
Hors sujet :
Tellement pressé à la raconter à la seconde où elle m'est revenue que j'ai pratiquement laissé une faute par phraseicon_facepalm.gif

:toilbvieillit:
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Né en 1979...
J'avais 13/14 quand j'enregistrais sur ma chaine hi-fi Radiola "tout en un" (phono, radio, double cassette; une horreur) à l'aide d'un micro très étrange qu'avait mon père, un micro "sans fil", enfin avec un fil/antenne bizarre d'environ 50cm qui pendouillait au bout du micro, la chaine hi-fi sur position radio réglé sur telle fréquence -celle du micro, laquelle était notée dans la notice- et, magie, on s'entendait parler dans la chaine hi-fi, comme si on passait à la radio!!

J'avais la chance d'être déjà multi-instrumentiste à l'époque (hum, hum...)
Tout cela se passait évidemment dans ma chambre, avec les parents qui pétaient les plombs juste en dessous

J'enregistrais en premier la piste batterie, sans aucun repère, en comptant bien dans ma tête les changements et tout. Le micro était placé à l'endroit le plus approprié après de longues périodes de test. Le résultat était ultra saturé, les cymbales recouvraient absolument tout, la caisse claire sonnait comme un sac plastique qu'on fait exploser après l'avoir gonflé!
En suite, la cassette sur laquelle figurait la prise batterie enregistrée sur la chaine Radiola pourrave, passait sur une espèce de ghetto blaster Sanyo encore plus pourrave, celui qui servait à écouter NRJ dans la cuisine. A côté du ghetto blaster je mettais mon ampli guitare, un 'Daïto 20watts' sur lequel 20ans après je joue encore tous les jours dans ma chambre! (ma nostalgie sans borne m'a toujours interdit de m'en débarrasser pour un de meilleur qualité). Je faisais des balances méticuleuses, plaçais le micro entre le ghetto blaster et l'ampli guitare, et re-belote en enregistrement sur la Radiola.
Ensuite je remettais la nouvelle cassette avec batterie + guitare dans le Sanyo pour faire la prise voix, et là je me rendais compte que la batterie avait un son ultra dégueu, tout loin derrière, on entendais presque plus fort le bruit du magneto qui tournait que moi qui jouait de la batterie. Avec par dessus tout, l'horrible disto "overdrive" de l'ampli (ça par contre je ne l'utilise plus) qui noyait le tout.
Mais peu importe, j'étais un punk, un artiste habité d'une passion (voir d'une mission), je faisait la partie voix.
Résultat: du souffle, la voix bien en avant, chantée sans conviction pour pas que les parents entendent, et derrière une mélasse de souffle, de souffle, de guitare, de souffle, au loin des poum-tchaks, et puis encore du souffle, et aussi du souffle...
Plus tard j'ai ajouté des prises basses dans le processus, jouées sur une guitare classique, entre l'enregistrement de la batterie et celui de la guitare. Ça ajoutait encore plus de souffle au bordel, ça faisait encore plus disparaitre la batterie, mais moi j'y voyais un certain progrès, un certain perfectionnisme!
Mais comme l'a dit je-sais-plus-qui plus haut, ça apprend à jouer dans le temps, sans faire de pain (ou a les accepter parce que trop la flemme de tout refaire), à avoir une vision globale de ce qu'on veut faire.

Dieu a créé le multipiste, les cartes son et les ordis portables, merci seigneur, mais je continue de mettre des micros devant des enceintes pour des effets d'echos et de reverb sans plugins, merci satan!
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Ah ben si ça ce n'est pas du vécu ! :aime::aime::aime:

Malgré tous les progrès scientifiques, force est d'admettre que le pet reste quelque chose qui nous échappe...

http://www.cubamericas.com

http://www.ecoledeviolon.com

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Du bedroom punk !! :bravo:

Citation :
mettre des micros devant des enceintes pour des effets d'echos et de reverb sans plugins

Ca m'arrive encore parfois, des résultats étonnants. :bave:
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c'est la technique des micros room quoi ^^
:-D

Il faut toujours faire faire par un autre le jour même , ce que l'on pourrait faire soi même le lendemain...

https://www.facebook.com/Woodyboard.fr/
 






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Toilb> On a le même âge icon_pleure.gif

Il y a deux moyens d’oublier les tracas de la vie : la musique et les chats.
Albert Schweitzer

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Perso j'ai commencé en MIDI en 1987 avec mon ATARI mais j'ai rapidement voulu y ajouter de l'audio.

J'ai donc commencé avec un FOSTEX 4 pistes à cassettes et un boitier que j'ai toujours, qui convertit la synchro MIDI en audio et le son audio en synchro MIDI dans l'autre sens (une sorte de modem). Je préparais ma back-track avec l'ATARI STe, Pro 24, un alpha-juno II et une TR505. Ensuite, je "toppais" une des 4 pistes avec le son généré par la boiboite noire de synchro. Une fois que c'était fait, l'ATARI était esclave du fostex. Je pouvais stopper, démarrer où je voulais, le MIDI-time-code synchronisait immédiatement le séquenceur. Il me restait 3 pistes pour la basse, la guitare, le chant. Le mix final était envoyé sur un bon magnéto K7 "métal" C60, un magnéto Sony à travers une table BOSS 16 pistes qui soufflait comme une vieille jument.

 

Il y a deux moyens d’oublier les tracas de la vie : la musique et les chats.
Albert Schweitzer

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moi c'était avec un XR-5 :-D
https://fr.audiofanzine.com/studio-analogique/fostex/XR-5/
un clavier PSR-600 de chez yamaha et un multi-effet pandora de korg, prêter par un amis !

[ Dernière édition du message le 09/04/2012 à 11:43:23 ]

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Omg Pseh, j'ai le même micro que se te photo chez moi oO

JxB

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Hors sujet :
J-Luc > On a le même âge:bravo:


Sans compter que, lorsque enfin on enregistra à plusieurs, la chose étant tellement exceptionnelle que baturellement... on n'avais pas de pupitres. Le "bassiste" (enfin, celui qui avait bien voulu se dévouer à jouer de la basse, quoi) avait un micro qui descendait du plafond, retenu dans les airs au bout de son câble par je ne sais plus quel moyen d'accrochage; quant à mon texte, il était fixé au scotch sur une armoire dont le vernis se souvint -jouant en même temps la gratte, faisant donc gaffe de pas taper le manche dans le meuble- et la copine du bassiste -fallait bien qu'on en fasse quelque chose pour mettre le nom d'une fille sur la cassette- s'était vue créditée au titre de la "prise de son" pour avoir enclenché le magnéto stéréo.
Y'avait d'ailleurs qu'elle qui portait des casques, lui servant du reste à se prémunir des coups de cimbales que ne ratait qu'une fois sur quatre ou cinq de donner à 30 cm de ses oreilles un batteur devenu fou d'elle en un temps..."record"...

C'est con à dire, mais la "spontanéité" de ces enregistrements, malgré leurs innombrables imperfections -ou : grâce à elles-, jamais je ne l'ai retrouvée en avançant au fil des ans -reculer étant proprement impossible- en technique. Sauf peut-être sur quelques enregistrements "live" en radio, mais ce n'était vraiment plus la même... "chanson".
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J'ai commencé avec le même 4 pistes que toi Will bru, chez un pote, puis chez moi, je l'ai toujours mais je ne sais pas si il marche encore correctement bravo !

http://www.hifibazar.hu/sites/default/files/images/bolt%202012%2002%2003%20002.jpg

[ Dernière édition du message le 14/04/2012 à 10:11:04 ]

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:bave: Rah je me file des baffes régulièrement, je ne sais pas où j'ai mis le mien (je suis sûr de ne pas l'avoir refilé) :nawak:

In the midnight hour, she cried more, more, more, with a rebell yell she cried more more more...

Vos meilleures BO

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Ma première émotion de "technicien": 1978.
Pour la première fois je comprends à quoi sert la touche REC d'un petit magnéto cassette portable. J'enregistre Le double album "Songs in the key of life" de Stevie Wonder avec le mini micro intégré à l'appareil en le plaçant pres d'une enceinte de la chaine Hi Fi familiale dans le salon.
Plus tard je comprendrai à quoi servent les entrées auxiliaires et un fer à souder.
J'avais 6 ans.

Sinon plus tard, 1990, j'ai intégré mon premier grouep (des reprises de standard de jazz !!) mon paternel m'a passé son vieux 4 pistes TEAC à bandes 1/4", je l'ai toujours dans mon garage, et là les choses sérieuses ont commencé dans la chambre d'un pote transformée en cabine !!!;) Nous avions un homestudio sans savoir que ce terme existait.
Enfin les choses sérieuses, je me comprends, mais du coup j'étais le seul qui savait souder...
Je me souviens que je virais tout le monde hors de la "cabine" en leur disant d'aller boire un coup dans la cuisine, pour rester seul avec la chanteuse durant le prises de voix, et il fallait expliquer le pourquoi du comment...Des supers souvenirs.

Ensuite, j'ai regardé l'évolution MAO de loin, (j'avais un sampler Roland S50 à disquetters branché sur un moniteur monochrome et son séquenceur intégré !!), et j'ai assemblé un premier PC sérieux en 2000, quand la technologie était enfin mure.
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le X-26 ! C'est çuilà que j'avais !!! icon_aime2.gif

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Albert Schweitzer