Se connecter
Se connecter

ou
Créer un compte

ou

Qu'est-ce que la musique "classique" sinon de la variété pour monarques ?

  • 414 réponses
  • 54 participants
  • 21 183 vues
  • 51 followers
Sujet de la discussion Qu'est-ce que la musique "classique" sinon de la variété pour monarques ?
Afficher le sujet de la discussion
101

Hors sujet : Désolé pour le lavabo. Bézu, c'est quoi déjà ? :?!:



L'histoire n'est pas d'aimer ou ne pas aimer Mozart. Je respecte tous les musiciens, même ceux qui font de la soupe comme lui ou Joe Dassin, y'a pas de problèmes.

Tu me dis d'imiter Ravel, Debussy ou ces autres mecs morts depuis des décennies. Et là, je réponds aucun intérêt, puisque leur musique est, comme toute musique de variété, datée et obsolète rapidement (surtout quand tu me parles de Poulenc, et son style néo-classique ridicule, comme dans Le Tombeau de Couperin...)

On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel. 

102
Nan mais Joe Dassin de la soupe ???
t'es ouf là, c'était un pur lui :oo:
je déconne pas là :|
103
Tu confond pas avec l'autre electrocuté dans sa chiotte ? (ou sa baignoire)
:?!:
104
Bon, t'es compliqué Koalaman ou c'est moi ? Je n'ai jamais dit que tu devais imiter qui que ce soit, je répondais à ton post (un peu hautain) qui disait :

Citation : juste pour ton information, à l'épreuve orale de l'agrégation, il y a une partie improvisation "dans le style de...", où tu dois arranger une mélodie dans le style d'un compositeur connu (Schubert, Brahms, Mozart, Bach, Debussy, Poulenc etc). Mais bon, tu verras peut-être cela dans quelques années, si tu as le niveau de l'obtenir...



Juste pour savoir, qu'est-ce qui trouve grâce à tes yeux ? Qu'est-ce que tu écoutes en ce moment qui te fait plaisir ?

Pour moi une bonne musique reste une bonne musique, que son auteur soit mort ou vivant. Mes seuls critères de jugement sont mon rythme cardiaque et les poils de mes bras qui se dressent de plaisir.

Plaisir.... tu connais bien ce mot rassure-moi ?
105

Citation : Plaisir.... tu connais bien ce mot rassure-moi ?



Rien à battre du plaisir, on parle de choses concrètes, là, pas de savoir ce que j'aime ou pas.

On est partis sur la thèse du "classique = variété de l'époque". Jusqu'à présent, personne n'a pu me démontrer que nous avons tort.

Mais vu que je suis un gars ouvert d'esprit, je vous permets de chercher encore un peu quelques arguments pour me convaincre. Arguments auxquels je répondrai dans la mesure de mes maigres connaissances.

On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel. 

106

Citation : "classique = variété de l'époque".



... Avec un public beaucoup plus restreint, non ? La musique n'était pas aussi diffusée qu'elle l'est maintenant. Mais il doit bien y avoir un parallèle à faire entre le mescénat de l'époque, le contrôle des maisons d'édition actuelles et le contenu des oeuvres ...
107

Citation : Fa# est une note n'appartenant pas à la gamme de do, donc n'a pas de fonction harmonique;


aucune importance puisque Fa# est dans la gamme du Lydien Chromatique et qu'il s'agit de la gamme de référence.
Pas comme cette pauvre gamme majeure utilisée dans la feu-musique classique.
108

Citation : Citation :
"classique = variété de l'époque".


... Avec un public beaucoup plus restreint, non ? La musique n'était pas aussi diffusée qu'elle l'est maintenant. Mais il doit bien y avoir un parallèle à faire entre le mécénat de l'époque, le contrôle des maisons d'édition actuelles et le contenu des oeuvres ...



plus restreint oui mais avec un pouvoir d'achat incomparable à celui des consommateurs d'ajd t'écrivais de la zic au kilomètre sur commande. sur le nombre de symphonie qu'a écrit notre cher mozart combien on un minimum d'intérêt? au début du XVIIIe il y avait des dizaines de faux vivaldi à travers l'Europe qui vivait en écrivant pour les riches.
donc en résumé il avait: un marché, des produits, des plans marketing
conclusion: variet'
109
+1
110
Certaines œuvres étaient juste des commandes. D'autres des œuvres personnelles. Ces dernières étaient une démonstrations des capacités de l'artiste hors contraintes. Je crois que c'est là l'étymologie du mot "chef-d'œuvre".