Jean Michel JARRE, mort ou vif?

A propos d'Images
VHS, K7 est les deux CD officiel sortie pour cette compilation.
Edition 1991, 17titres.
Ré-édition 1997, 24 bit/97Khz, 20 titres.

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Normal c'est du CMI II, j'ai ce son sur une des mes vieilles disquettes 8"

Après dire que c'est granuleux ou pas?

Sur quel support d'écoute on se base pour comparer?

Quel version de CD, il y en a plusieurs et pour les premières ne sont pas enregistré en 16bit 44,1

Youtube ? Vu leur aglorytme de compression je doute que l'on puisse faire déjà une différence entre une conversion basse résolution et celle actuel! Ou du moins peut-être sur la dynamique, et encore....

Après le "Choir 3" du CMI a été fidèlement numérisé en PCM et on le retrouve sur la série JV1080, 2080 ect...
Donc ça me laisse toujours perplexe cette recherche de qui fait quoi?

J'ai cherché un topic sur AF comme "Crise de GASE ..." Mais sur le thème du WAF Wife acceptance factor, du soutien entre AFiens à ce sujet ou échange de trucs et astuces. J'ai pas réussi à en trouver un....

Je me permet de te rectifier encore...
Pour info tu converse avec un ingénieur en électronique.
Présentation faite,

Voilà ce qu'il en ai a propos des CD en ce début des année 1982...

"Les premiers prototypes produits par Philips mesuraient 115 mm de diamètre, avec un codage sur 14 bits et une durée de 60 minutes. Sony insista pour qu’on adopte un codage sur 16 bits et une durée de 74 min, (en réalité 72min) d'où un diamètre augmenté à 120 mm"...
Source wikipédia :
https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&url=https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Disque_compact

En 1982 quand Dreyfus à voulu édité ce CD donc , il été limité a 60min MAXIMUM, le 74min en 16 bit est présenté par SONY fin août 84.

Il a donc fallut donc ré-arrangé et de nouveau enregistrer en studio tout l'album afin qu'il tienne sur un simple CD, qui sera encodé en basse résolution (14 bit) et dont les possesseurs (comme moi) peuvent le lire QUE sur une platine Phillips de l'époque.

L'incompatibilité des premier CD avec une platine des années 90 viens de là.
Pour le pressage vinyl, étant donné que nous somme en gravure mono, nous n'avons pas ce problème de place, 30,48cm, 19min 28 max par face, soit 80 min en gros disponible pour les deux Lp.

Tu n'est plus a la page @Push-Pull je ne suis plus en blond!

Pas du tout!
J'ai un tas de CD du début des années 80 sortie entre 1982 et 1984 ( comme beaucoup je pense),
Qui se lise mal voir pas du tout sur des platine actuel ou des années 90.
Si tu est un peu curieux, tu remarqueras après les avoir inséré dans un ordinateur, que les propriétés de celui-ci sont différentes par rapport au CD édité après 1984 et la standardisation définitif de ce support.

Les différentes versions officiel (14bit/16bit) éditées par Dreyfus :

CD bords doré bleu et jaune, 1991
Edition double CD, cds bleu, 1984
Edition double CD, cds rouges, 1983
Edition double CD, cds silver 1987
Edition simple CD pochette rouge, 1997 (remasterisé)
Première édition simple CD (1982)
Edition simple CD vol 1 et 2, pochette bleue et jaune, 1992
Edition simple cd, pochette bleue et Jaune, 1997 (remasterisé)

Je ne savais pas qu'il y avait eu des "proto-CD" et les platines correspondantes commercialisés avant 1984, je suis vraiment étonné, mais allez sur wikipedia et vous verrez que thejarrian dit vrai :

Citation de Wikipedia :

Les premiers prototypes produits par Philips mesuraient 115 mm de diamètre, avec un codage sur 14 bits et une durée de 60 minutes. Sony insista pour qu’on adopte un codage sur 16 bits et une durée de 74 min, d'où un diamètre augmenté à 120 mm. Cette capacité aurait été choisie à la demande de Herbert von Karajan, afin que la version la plus lente de la 9e symphonie de Beethoven, celle enregistrée au festival de Bayreuth en 1951 sous la direction de Wilhelm Furtwängler, tienne sur un seul disque. Sony indiqua que c’était à la demande de l’épouse de son président, pour ces mêmes motifs. La vérité est moins romantique5 : au moment de lancer la production industrielle, Philips aurait eu un avantage grâce à une chaîne de production capable de fournir rapidement ces disques de 11,5 cm, ce qui ne faisait pas les affaires de Sony, la firme japonaise ayant pris du retard sur la fabrication des lecteurs. Philips ne souhaitait pas favoriser le format de 10 cm propre à Sony, pour les mêmes raisons. Le compromis fut le disque de 12 cm qui ne donnait l’avantage à aucun des deux fabricants, tout en permettant d’utiliser tous les développements techniques et électroniques mis au point précédemment. Ces décisions ont été prises par le management et ont été imposées aux experts des équipes techniques.