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Que faut-t-il utiliser quand on a un son "pourri"?

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Sujet de la discussion Que faut-t-il utiliser quand on a un son "pourri"?
Bonjour,

Je possede une paire de JBL SR4733A et le probleme est que dans certaintes salles (ou meme chez moi) le son n'est pas super: manque de basses et de precision et ça vient de la piece.

J'ai entendu dire que l'on pouvait arranger ceci avec le BEHRINGER DEQ2496 ULTRA-CURVE PRO car il permet d'analyser en temps reel le spectre de courbe des HP c'est ça? (apparemment il faut un micro expres behringer vendu separement)

Avec cet appareil je pourrais avoir un bon son dans des pieces "qui ne sonnent pas".

Si oui y-a-t-il quelque chose de moins cher et plus facile d'utilisation?

merci d'avance

DJ chris

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Pas de mode parametrique sur l'anti larsen . Je sais qu'il y a 5 parametriques au dessus des filtre feedback . Mais je parle des filtres feedback et de l'abscence de position para sur ces dernier . Vous n'avez apparemment pas vu la vidéo . Pour le limiteur , je dis de limiter en sortie de l'anti larsen à peine au dessus du point d'accrochage . Pour capter , accroché et locker les filtres . Aprés ça on vire le limiteur bien sur .

Pour la facade , oui on a intérêt à la traité aussi de la même façon , surtout pour ce fameux probléme de resonnance de la membrane dont tu fais état . Pour redessiner la courbe de l'enceinte ( en dehors de l'équalisation de la salle ) . Ce qui correspond un peu à la position 1 et 2 de la manipulation donnée dans la doc . LA correction RTA devrait etre faite en 5 points . Enceinte G enceinte D , regie , salle ariére G et arriére D . Par contre dans la doc , ils ont un peu oublié de causer de la fonction merge des 5 mesures en une seul . Memory page 2 . J'imagine que c'est comme ça qu'on somme les 5 corrections en une seule .

Par exemple ( et en gros ) la courbe de correction 1 et 2 pour corriger la courbe de l'enceinte ( elles pourrait être identique ou trés proche dailleurs la correction régie pour ameliorer la perception à ce niveau d'écoute . Et les corrections 3 et 4 pour améliorer l'écoute en zone arriére ; Enfin tout ça demande surement une philosophie de mise en oeuvre que je n'ai pas encore . J'ai juste branché sur secteur et allumé l'appareil ....

J'ai essayer d'arrêter le Coca , j'y suis arrivé . Mais AF ... non .

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Le DSP1124

Pour mon besoin, il lui manque l'analyseur de spectre et l'entrée pour le micro étalon.

Peut-être que si on possède déjà un UltraCurve, il est possible de s'en aider pour trouver les bon réglages d'égalisation. Mais refaire ça à chaque fois n'est vraiment pas pratique.

Je ne sais pas faire sans appareil de mesure : mon oreille est un instrument de mesure trop approximatif pour savoir trouver le bon réglage à chacune des 30 fréquences et à +-2dB.

Mon vendeur de matos de sono professionnelle me faisait remarquer qu'il avait tout plein d'équalos d'occase à vendre. Beaucoup de ses clients lui en avait acheté et les revendaient car ils ne savaient pas s'en servir et n'en avaient donc aucun usage. Moi aussi je lui en ai acheté et revendu pour la même raison.

Ceci dit, la fonction antilarsen du 1124 est capable de supprimer les modes propres des salles et les résonances de membranes de HP. Mais pour moi, ce n'est qu'une partie du travail nécessaire. Je préfère dépenser un peu plus et avoir un appareil qui fait tout ce dont j'ai besoin.

12 filtres, c'est du luxe

Pendant 10 ans j'ai travaillé avec la première édition de l'UltraCurve DSP8000 qui n'avait que 5 filtres et je m'en suis contenté, même si j'aurais souhaité en avoir 1 ou 2 de plus pour voir si ça pouvait servir. Quand j'ai pu disposer de 10 filtres ça m'a paru un grand luxe !

2 ou 3 filtres pour les résonances de membranes, plus 3 ou 4 pour les résonances de salle, donc 7 au maximum c'est largement suffisant pour les réglages à faire au départ. Ensuite il est bon de garder 1 ou 2 filtres de plus pour d'éventuels larsens pendant le concert. On reste toujours au-dessous de 10 filtres.

Passer de 10 à 12 filtres n'apporte à mon avis aucun avantage supplémentaire.

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la réponse de achaud est très pertinente : effectivement ce n'est pas sur une installation itinérante mais plutôt sur une installation fixe où ce processeur numérique est intéressant, car la mesure ou RTA ainsi que l'entrée micro étalon peuvent être gérés par ailleurs et être retirés ensuite ... on utilise un DEQ pour bien régler un DSP1124 ou même son successeur. Pour du live en bougeant de lieux, le DEQ est LE couteau suisse indispensable.

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Je viens de regarder la vidéo. Ça me semble très compliqué: le gars est obligé de toucher sans arrêt les boutons pour mettre en place les filtres anti-larsen.

Sur l'UltraCurve, il suffit au départ de remettre tous les filtres à zéro, puis d'appuyer sur LEARN. L'appareil va augmenter lentement le gain tout en simulant les tapes dans les mains. Les filtres anti-larsen vont se positionner automatiquement les uns après les autres, et c'est fini.

Vous remarquerez dans la vidéo que les larsens se font à des fréquences aigües (au-dessus de 1000 Hz), fréquences qui ne varient pas quand le gars déplace son micro. Il s'agit là manifestement de fréquences de résonances de membranes de HP définies par les caractéristiques des membranes des HP et non par une distance micro/enceinte critique.

Pour cette démo, le micro est disposé près des enceintes ce qui permet de faire apparaître facilement le larsen. Le micro est ainsi entièrement sous l'influence du son direct des enceintes et ne rate aucune des résonances de membranes quand celles-ci passent d'un mode de fonctionnement à un autre.

Dans une sonorisation en salle, les premières résonances correspondront aussi aux plus fortes pointes des résonances de membranes, en général la première transition quand la membrane cesse de se déplacer comme un piston homogène et commence à se désunir, le centre vibrant en opposition de phase avec la circonférence.

Après avoir supprimé 2 ou 3 de ces fréquences élevées, l'appareil va commencer à supprimer les résonances de salles qui se situent beaucoup plus bas dans le grave.

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Citation de studioame :

Pas de mode parametrique sur l'anti larsen . Je sais qu'il y a 5 parametriques au dessus des filtre feedback

En fait l'UltraCurve possède en tout et pour tout 10 filtres qui peuvent être au choix utilisés en paramétriques ou en anti-larsen.

Il existe un menu pour les configurer en Paramétrique, Single ou (me rappelle plus)

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Je suis daccord avec toi a chaud . le deq2496 n'a rien à voir avec le 1124p ( qui lui est parfait pour remplacer un eq retour , avec sa fonction anti larsen , un poil archaique à mettre en place , mais efficace ) . Le deq2496 est vraiment l'outil traitement facade / salle . Sur la vidéo , j'explique que si on ne mets pas en mode paramétrique le filtre qui s'est locké , le Q va s'élargir et tuer le son . Beaucoup d'ami utilisateur l'on mis à la poubelle pour ça . C'est donc pour éviter ce probléme qu'on le mettra en para aprés qu'il soit calé .

Pour le deq2496 , je laisserai 2 filtre en auto pour les accidents de scéne ( genre le chanteur qui descend dans le public et qui passe devant l'enceinte ) . Question à à chaud : Les fréquences de résonnance dont tu parles sont apparemment propre à l'enceinte . Une fois réglés les 2 ou 3 filtres corrrespondant , on les retrouvera toujours à l'identique ? Il seront donc mémorisés dans un gabarit de base en ce cas là .

 

Edit , il n'y a pas de mode paramétrique sur les filtres anti larsen deu deq2496 ( contrairement au 1124 p)  . C'est ou auto ou single . Et le Q est apparement modifiable . J'ai pas pu aller plus loin que lire la doc pour l'instant .

J'ai essayer d'arrêter le Coca , j'y suis arrivé . Mais AF ... non .

[ Dernière édition du message le 23/11/2010 à 14:57:15 ]

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Petit détail, les filtres, mis en mode anti-larsen ont un Q qui va au 60e d'octave...

En mode paramétrique je ne crois que l'on puisse monter au delà du 10e d'octave...

Par conséquent, tu risque de plus tuer le son en le mettant d'office en paramétrique plus qu'en anti-larsen qui même s'il augmente le Q n'ira probablement pas jusqu'au 10e d'octave ?!

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Citation de studioame :

Question à à chaud : Les fréquences de résonnance dont tu parles sont apparemment propre à l'enceinte ?

Ces fréquences de résonances sont effectivement propres à l'enceinte, ou plus exactement à la membrane du HP qui équipe l'enceinte.

Elles dépendent essentiellement de la forme géométrique et de la matière de la membrane, plus précisément de sa rigidité et de sa masse, comme pour tout résonateur mécanique.

C'est pour réduire ce phénomène que certaines membranes portent des "corrugations", ces sillons circulaires qui font que la membrane peut se déformer circulairement (par exemple dans le premier mode de vibration le centre peut vibrer en opposition de phase avec la périphérie). Sans corrugation, la membrane pourrait vibrer avec sa partie gauche en opposition de phase avec sa partie droite, produisant de fortes distorsions.

Après le 1er mode de vibration, les suivants sont plus compliqués et les corrugations ne suffisent plus à les régulariser. À chaque transition entre 2 modes de vibrations, il y a une pointe de résonance, donc une pointe très aigüe dans la courbe de réponse qui favorise le larsen.

Chaque membrane a ses caractéristiques propres, et d'un HP à l'autre il y a de très légères différences qui hélas dépassent le 1/60ème d'octave.

Aussi il est intéressant de repérer les enceintes Gauche et Droite pour les remettre sur les mêmes filtres.

Une fois ces filtres réglés, on peut les déclarer en Single ce qui fait que l'appareil ne va plus les modifier. En mode Para il élargirait le filtre, ce qui pourrait le rendre audible.

Les autres filtres sont à laisser en auto pour les accidents de scène et la suppression des modes propres à chaque fois que c'est nécessaire. Les remettre à zéro quand on change de lieu.

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Citation de : à Chaud

Une fois ces filtres réglés, on peut les déclarer en Single ce qui fait que l'appareil ne va plus les modifier. En mode Para il élargirait le filtre, ce qui pourrait le rendre audible.

 

C'est là l'erreur dans ta vision du para . Le mode para fixe TOUS les paramétres : GAIN / FREQUENCE / FACTEUR Q sur les réglages donnés . On peut toutefois les modifier manuellement .

Le mode single ( LOCK quand il est activé )  ne fixe que la fréquence . Le gain peut encore "bouger " et le Q peut s'élargir pour chopper " économiquement parlant , une fréquence proche et celà automatiquement .C'est en ce sens qu'il devient incontrilable .

1/60 eme d'octave c'est relativement sérré comme valeur . 4/60 éme , c'est un sacré trou taillé dans le spectre .Ca s'entend grave en bypassant .

De passage dans ma grotte , Je vais me faire quelque tests de l'appareil cette nuit .

PS : aurais tu des liens traitant des resonnances de membranes en rapport avec les théories avançées ? ( merci ) . J'ai réfléchi à ça entre temps , et je me dis quand même que les premiers larsens viendront plutôt des résonnaces de la salle que de " celles " de la membrane . C'est résonnances m'apparaissent plus vite excitables et croissante . Bon ca reste intéressant d'avoir plus de connaissances théoriques de tout ça ... Merçi déjà et encore pour la profondeur de l'exposé .

J'espére que l'appareil déballé va fonctionner comme il faut . Avec tout ce qu'on lit sur le forum , y a de quoi être parano . Bon déjà il s'allume ....mrgreen

J'ai essayer d'arrêter le Coca , j'y suis arrivé . Mais AF ... non .

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Citation de studioame :

aurais tu des liens traitant des resonnances de membranes en rapport avec les théories avançées ? ( merci )

Je n'ai pas de lien traitant de ce sujet.

C'est en fait un sujet dont les fabricants de haut-parleurs se gardent bien de parler. S'ils disaient ce qui se passe, peut-être que plus personne n'achèterait leurs HP...

En fait ce que j'en sais est le résultat de conversations avec des spécialistes de haut niveau, de lectures pour certaines assez anciennes montrant des photos des différents modes de déformation de membranes , de l'analyse des courbes de réponses des fabricants ainsi que de leurs méthodes de mesures pour cacher ces phénomènes, de mes propres réflexions, bref de l'étude de cette question sur toute une vie d'ingénieur mécanicien.

Comme c'est un sujet que personne n'aborde, je vais essayer d'en faire une rapide analyse.

Tout d'abord, le phénomène est masqué par la méthode de mesure normalisée des courbes de réponses des haut-parleurs.

Si l'on utilisait une fréquence unique balayant lentement tout le spectre des fréquences audio, on mettrait en relief les accidents dont je parle, et on obtiendrait non pas des courbes de réponse vendables mais des sortes d'électro-cardiogrammes pendant les concerts de hard rock !

On préfère utiliser une fréquence qui varie très rapidement d'1/3 d'octave autour d'une fréquence centrale qui elle se déplace lentement. De ce fait, on évite d'exciter les résonances à des fréquences particulières et la mesure permet de lisser les bosses et les creux qui s'annulent réciproquement.

FONCTIONNEMENT D'UNE MEMBRANE DE HP :

Prenons un HP de grave, ou de médium-aigu, bref un HP classique avec son aimant, sa bobine mobile qui déplace une membrane conique qui à son tour va faire déplacer de l'air pour nous faire entendre de la musique.

Si on trace sa courbe de réponse en commençant par les fréquences les plus basses jusqu'aux plus hautes, on peut délimiter plusieurs domaines de fonctionnement de la membrane :

1. Pour les très basses fréquences, lorsque la dimension de la membrane est très inférieure à la longueur d'onde, la membrane se déplace toute seule dans son coin sans pratiquement brasser l'air autour, et l'efficacité du HP est déplorable. On dit qu'il y a un manque de couplage entre la membrane et l'air ambiant dans la salle.

C'est pour cela que pour reproduire des sons graves il faut des haut-parleurs de grand diamètre.

2. Quand la dimension de la membrane approche la longueur d'onde elle se met à rayonner. On voit alors la courbe de réponse monter progressivement jusqu'à atteindre une certaine valeur.

3. La membrane vibre alors sans se déformer: elle pousse l'air comme le ferait un piston rigide. On dit qu'elle fonctionne "en piston".

Cela se traduit sur les courbes de réponse des HP par une zone relativement horizontale, sans accident brusque.

4. Début de la déformation de la membrane: si on oblige la membrane à vibrer de plus en plus vite, il y a un moment où elle ne pourra plus se déplacer sans se déformer. Elle va alors commencer à vibrer sur elle-même.

En général, le centre de la membrane entrainé par la bobine mobile va se déplacer en phase avec cette bobine mobile, tandis que la périphérie de la membrane va prendre du retard et pousser l'air avec un certain décalage.

Si on augmente encore la fréquence, le décalage de la périphérie va augmenter et se trouver exactement en opposition de phase avec le centre. Il y a alors une résonance: l'amplitude de vibration augmente énormément pile-poil à cette fréquence, formant un pic de résonance qui peut être très élevé et étroit si la membrane est rigide (ce qu'on souhaite, on a horreur des membranes en chewing-gum).

De part et d'autre de la pointe de résonance, il se produit ce qui se produit à chaque fois qu'il y a une résonance:

-En amplitude: une partie de la surface de la membrane pousse l'air dans un sens tandis que l'autre partie se déplace en sens inverse. La résultante tend à s'annuler et la courbe de réponse subit un creux net et très étroit (inaudible). Puis pile-poil à la résonance, les amplitudes vont énormément augmenter et la résultante sera une pointe élevée et très étroite (Mr Larsen adore!). Ensuite la membrane trouve un nouveau mode de fonctionnement relativement stable tant que la fréquence n'augmente pas trop.

Sur la courbe de réponse du HP on va voir un accident puis une zone plus tourmentée avec une amplitude inférieure à la zone horizontale précédente.

-La phase varie brutalement (d'autant brutalement que le pic est étroit) pour passer à un maximum de déphasage, puis le déphasage va diminuer jusqu'à s'annuler au sommet de la pointe de résonance. Ensuite la phase va s'inverser tout aussi brutalement, atteindre un maxi dans le sens inverse, puis retrouver une valeur faible quand on se sera éloigné suffisamment de la résonance.

On peut parfaitement mettre cette résonance en relief en prenant un générateur BF capable de balayer très lentement toutes les fréquences. Il faut un générateur analogique car les générateurs numériques sautent de Hertz en Hertz et risquent de passer au-dessus de l'accident sans le voir.

Le son varie énormément quand on arrive à la résonance: on entend nettement le timbre du son varier avec la phase, la fondamentale s'annule tandis que les harmoniques ressortent, puis la fondamentale augmente jusqu'à arriver au sommet de la pointe de résonance où elle est très renforcée tandis qu'on n'entend plus les harmoniques. Le timbre et la phase varient ensuite rapidement quand on s'éloigne de la résonance, puis tout redevient normal. Sur environ 1 Hertz on a eu un son qui varie très fortement en amplitude et en sonorité.

Le larsen se colle sur la pointe d'amplitude, plus exactement là où la phase lui permet de s'exprimer au mieux de son tempérament agressif. Quelle que soit la distance du micro à l'enceinte, la fréquence ne bouge pas, ce qui démontre qu'il s'active bien sur une pointe de résonance de la membrane.

5. Fonctionnement assez homogène entre 2 transitions: Comme dit plus haut, après la 1ère pointe de résonance, on retrouve un fonctionnement plus régulier mais avec une moins bonne efficacité à cause du déphasage centre/périphérie.

6. Nouvelles transitions: Si on augmente encore la fréquence, il va arriver un moment où la membrane sera incapable de maintenir ce mode de fonctionnement, et elle va trouver une nouvelle manière de se déformer.

Souvent on observe 2 bosses séparées par 2 creux tout autour de sa circonférence. On dit qu'elle vibre en mode 2. Le même genre d'accident marqué et pointu s'observe à une fréquence plus élevée.

Parfois ce sont des anneaux de la circonférence qui vibrent en opposition de phase, avec 2 anneaux qui sortent séparés par 2 anneaux qui rentrent.

Après cette nouvelle transition, on retrouve un fonctionnement plus calme mais avec une amplitude encore plus faible.

Quand la fréquence augmente encore, la membrane va se déformer avec 6 zones, 3 hautes et 3 basses (mode 3 assez instable), puis 8 lobes (mode 4), etc.

À chaque transition il va y avoir un accident dans la courbe de réponse avec une pointe excitant le larsen, puis un fonctionnement du HP de moins en moins bon. Les courbes de réponses des HP montrent ces accidents, très lissés par la méthode de mesure.

On atteint ainsi les limites du HP et il faut le relayer par un tweeter d'aigus.