Les gri-gris en Hi-Fi
- 24 440 réponses
- 473 participants
- 2 776 369 vues
- 441 followers

Dr Pouet

Et tout cela suite à quelques discussions entamées dans le pub d'AF.

inki999


Chris Kazvon


Chris Kazvon
-------------------------------------------------
Introduction à Hornresp et Tutoriels - Tutoriels Vidéo pour Room EQ Wizard

Dr Pouet

Will : ben ça donne l'occasion d'aborder différents sujets, avec les participants de ce fil, regarde :
en fait, ce qu'on entend lors d'une interprétation musicale à laquelle on assiste en présence directe ne peut pas être repris tel quel : au final, si c'était le cas, ça donnerait un truc abominable et inaudible.
Ben dis-donc, heureusement que j'avais mis une citation !
J'ai pas mal de disques faits comme ça. Certains sont ceux qui ont les sons les plus beaux et les plus réalistes (ni abominables ni inaudibles, au contraire ! ). Bien sûr ça implique beaucoup de contraintes, ça ne permet pas tout (la liberté des Floyd notamment), et ça n'a pas forcément d'intérêt pour toutes les musiques (celles qui ne sont pas acoustiques...)
Je t'invite à regarder ces interviews d'ingés son (Les Métiers du Classique) :
https://web.archive.org/web/20010526195212/http://www.metiers-du-classique.com/Audio/SomRencontres.html
et aussi à écouter les démos de stéréophonie sur le disque Chesky Jazz & Tests volume 3 :
https://fr.audiofanzine.com/hifi/forums/t.164072,les-gri-gris-en-hi-fi,post.7946852.html
Ces ingés-son font beaucoup de prises avec seulement 2 micros omnis, et certains travaillent uniquement comme ça :
https://web.archive.org/web/20010630031404/http://www.metiers-du-classique.com/Audio/Interview/Faulkner/Faulkner.html
https://web.archive.org/web/20010630031456/http://www.metiers-du-classique.com/Audio/Interview/Arcana/IntArcana.html
https://web.archive.org/web/20010420014816/http://metiers-du-classique.com/Audio/Interview/Erato/IntErato.html
https://web.archive.org/web/20010420015301/http://metiers-du-classique.com/Audio/Interview/Lavoix/IntLavoix.html
https://web.archive.org/web/20010630032901/http://www.metiers-du-classique.com/Audio/Interview/JMGolaz/Golaz.html
Mais pour que mes propos ne soient pas déformés, je remets cette remarque : Bien sûr ça implique beaucoup de contraintes, ça ne permet pas tout (la liberté des Floyd notamment), et ça n'a pas forcément d'intérêt pour toutes les musiques (celles qui ne sont pas acoustiques...)
[ Dernière édition du message le 01/07/2016 à 18:13:26 ]

fivesstringer

Mais la question reste ouverte: comment les ésotéristes pensent-ils que leur système d'écoute puisse reproduire des données sonores qui ne peuvent être présentes sur le support (CD,vinyle ou autre), puisque quasi aucun studio n'emploie leurs méthodes?
Tu ne réalises même plus quand tu en viens à te demander pourquoi un esotériste a un comportement ésotérique.

Zavez perdu complétement le sens des réalités dans ce bordel...
Sérieux, assez peu d'idiophiles ne basent leur argumentaire sur les données contenues (ou non) dans le support mais le basent plutôt sur la sensation procurée (ou pas) par l'écoute du dit support à travers leur système douteux et leur cerveau malade.
Bref, ce n'est pas: "J'ai entendu des bits non enregistrés ou des fréquences au dela de Niquist", mais
"j'ai ressenti des aigus fins et soyeux chez untel tandis que chez l'autre ils étaient durs et marbrés".
Pourtant il n' y a ni soie ni marbre dans le CD je te le garantis. C'est pas une question de données mais d'interprétation des données.
Bref, à partir d'un certain degrès d'autosatisfaction, un ésotériste (comme tu dis) en arrivera jusqu'à penser qu'il a ressenti à l'écoute du dit CD des sensations que même l'ingénieur du son de mastering n'a pas pu ressentir.
et pour cause:
Lui n'est pas malade. Alors si en plus il était pressé de terminer son boulot, c'est encore plus évident...


Anonyme

Mais jme rends compte que je me suis très mal exprimé.
Ce que je voulais dire : c'est que les moyens à employer doivent être conformes au souhait de résultat à obtenir, et que donner à l'auditeur un sentiment de très haute fidélité ne passe absolument pas forcément par une tentative d'être fidèle dans la prise de son et de mixage.
Je t'invite à suivre le lien que j'ai lis plus haut, et aussi à écouter les démos de stéréophonie sur le disque Chesky Jazz & Tests volume 3.
Sorry (e connaissais en fait) mais je trouve ça très mauvais, ou plutôt très daté et ultra académique. Pour moi c'est typiquement le cas d'un ensemble d'acteurs de la chaine sonore qui font et refont la même chose sans arrêt.
A l'opposé, là c'est enregistré avec des méthodes et moyens plutôt usités en zik commerciale (close miking, preamplis de type Telefunken, micros allemands vintage), la compression mise à part, ça donne un son plus actuel, plus incisif, et là c'est une reflexion personnelle, moins mou de la tige :
[ Dernière édition du message le 01/07/2016 à 18:13:28 ]

Anonyme

Ces ingés-son font beaucoup de prises avec seulement 2 micros omnis, et certains travaillent uniquement comme ça :
https://web.archive.org/web/20010630031404/http://www.metiers-du-classique.com/Audio/Interview/Faulkner/Faulkner.html
https://web.archive.org/web/20010630031456/http://www.metiers-du-classique.com/Audio/Interview/Arcana/IntArcana.html
https://web.archive.org/web/20010420014816/http://metiers-du-classique.com/Audio/Interview/Erato/IntErato.html
https://web.archive.org/web/20010420015301/http://metiers-du-classique.com/Audio/Interview/Lavoix/IntLavoix.html
https://web.archive.org/web/20010630032901/http://www.metiers-du-classique.com/Audio/Interview/JMGolaz/Golaz.html
Par ailleurs là dedans se mélangent des arguments techniques pertinents et bien réels sur la stereo, et des délires idiophiles sur l'impact des cables secteurs sur cette même stereo. Bref, bullshit non pas intégral, mais branlette d'ingés sons travaillant en vase clos pour un public conquis d'avance.
[ Dernière édition du message le 01/07/2016 à 18:21:23 ]

Dr Pouet

Pouet : Faut voir ce que t'appelles haute fidélité dans la prise de son.
Attention : je parlais de fidélité dans la restitution de la stéréophonie.
Et aussi de cohérence, dans les sons que reçoivent nos oreilles. Par exemple en tournant un bouton de pan légèrement vers la gauche, ça veut dire que le musicien est à gauche de la scène, et donc qu'il devrait y avoir un léger retard dans le son qui parvient à l'oreille droite par rapport à l'oreille gauche. Or on sait tous qu'un séquenceur ne fait pas ça. Ça devrait aussi modifier la réverb, puisque les réflexions sont impactées par l'emplacement du musicien.
Techniquement, aujourd'hui, des réverb à convolutions auxquelles on indiquerait l'emplacement du musicien sur scène, seraient capables de faire ce genre de calcul. Il faudrait aussi avoir des empreintes sonores stéréo de la salle, pour chacun des emplacements de musiciens que l'on peut sélectionner.
J'ignore s'il y a des logiciels qui permettent ça, mais ce serait un gain de réalisme et cohérence.
[ Dernière édition du message le 01/07/2016 à 18:27:18 ]

Dr Pouet

Par ailleurs là dedans se mélangent des arguments techniques pertinents et bien réels sur la stereo, et des délires idiophiles sur l'impact des cables secteurs sur cette même stereo. Bref, bullshit non pas intégral, mais branlette d'ingés sons travaillant en vase clos pour un public conquis d'avance.
Il y a effectivement un peu de bullshit. Ça eut arriver à beaucoup d'ingés-sons qui ne sont pas d'immenses experts en audio.
Ça n'empêche que leurs enregistrements peuvent être superbes, et qu'ils décrivent ici leu manière de faire.
J'ai déjà vu des gens assez compétents dire de grosses bêtises :
ce qu'on entend lors d'une interprétation musicale à laquelle on assiste en présence directe ne peut pas être repris tel quel : au final, si c'était le cas, ça donnerait un truc abominable et inaudible.

[ Dernière édition du message le 01/07/2016 à 18:27:43 ]

Anonyme

Citation :
Pouet : Faut voir ce que t'appelles haute fidélité dans la prise de son.
Attention : je parlais de fidélité dans la restitution de la stéréophonie.
Yep, me semblait bien qu'on patlait pas toutafé de la même chose.

J'ignore s'il y a des logiciels qui permettent ça, mais ce serait un gain de réalisme et cohérence.
Ca n'existe pas actuellement à ma connaissance, pour autant effectivement, l'évolutio ntechnologique fait que ça pourrait voir le jour.
Toutefois, moi ça me pose un problème contingent : je pense qu'il y a un moment où, si l'on veut écouter de la zik elle même non amplifiée par nature (orchestre à cordes et/ou cuivres) dans les meilleures conditions, bah faut se déplacer dans une salle de spectacle.
Une vraie salle je veux dire, pas un zénith ou le POPB évidemment, avec l'acoustique tiptop. Là on s'en prend réellement plein la gueule, et au final rien, absolument rien, ne permettra cette perception directe de la musique.
J'ai déjà vu des gens assez compétents dire de grosses bêtises :
Citation :
ce qu'on entend lors d'une interprétation musicale à laquelle on assiste en présence directe ne peut pas être repris tel quel : au final, si c'était le cas, ça donnerait un truc abominable et inaudible.
Ha mais ce que tu penses être des moyens naturels ne le sont pas franchement, cf ma comparaison micro de mesure/micro 'normal".
[ Dernière édition du message le 01/07/2016 à 18:30:52 ]

Anonyme


Anonyme

Si tu en as la possibilité et l'occasion est ce que tu pourrais nous faire un petit enregistrement ou on entend bien la différence ?,
Si tu parles des différences micros de mesure/micros de studio, nope pas possible, pour la simple et bonne raison que j'en ai pas (de mics de mesure).
Edit : après la comparaison micro statique large membrane et mic de mesure, sur certaines sources sonores comme du chant, sera ingrate par nature, de la même manière qu'elle le serait entre petite et large membrane, ce dernier étant le micro par excellence sur du chant ou de la voix. (la taille de la membrane et son inertie étant alors des avantages sans réel inconvénient).
[ Dernière édition du message le 01/07/2016 à 18:43:10 ]

Dr Pouet

Toutefois, moi ça me pose un problème contingent : je pense qu'il y a un moment où, si l'on veut écouter de la zik elle même non amplifiée par nature (orchestre à cordes et/ou cuivres) dans les meilleures conditions, bah faut se déplacer dans une salle de spectacle.
Une vraie salle je veux dire, pas un zénith ou le POPB évidemment, avec l'acoustique tiptop. Là on s'en prend réellement plein la gueule, et au final rien, absolument rien, ne permettra cette perception directe de la musique.
Certes, mais les techniques d'enregistrement avec peu de micros, et notamment deux, sont les techniques qui permettent de s'en approcher le plus.
Et pour ceux qui sont allés souvent aux concerts, c'est bien ce type d'enregistrement qui semble le plus naturel, car le plus réaliste et le plus fidèle. Certes c'est moins flatteur que du close-miking ; mais en concert on n'a pas les oreilles à 20cm de chacun des instruments.
C'est d'ailleurs bien l'objectif visé pa ces preneurs de son (c'est moi qui met en gras) :
Chronologiquement, il faut étudier l'œuvre et découvrir les artistes, les écouter. Ensuite, vient le choix du lieu d'enregistrement. Nous retenons le lieu qui a été choisi par le compositeur pour donner sa pièce, le type de salle qui existait à cette époque pour ce type de musique... aussi, vous ne verrez pas de quatuor dans une église, et s'il faut aller à Mantou pour trouver l'église de la création de l'œuvre, on y va !
(...)
Je souhaite restituer l'écoute du premier rang. Mon premier public est le musicien lui-même. Je dois lui restituer toutes les nuances de son jeu. Et puis, quand la prise est proche, on peut toujours baisser le son ou le monter pour entendre plus de détails. Par contre, avec les prises distantes, on ne monte que l'ambiance. Le choix des micros omnidirectionnels est déterminant dans ce rendu, même s'il est plus exigeant pour le placement.
> Vous utilisez un couple de micros omnidirectionnels. Ajoutez-vous des micros d'appoint ?
Ah non ! Jamais. Une paire de micros, des Bruel & Kjaer 4009, et c'est tout. A nous de trouver le bon emplacement pour les musiciens et les micros. Cette balance peut être stable pour tout un disque (des sonates de Mozart par exemple) ou changer à chaque morceau, comme cela nous arrive souvent avec la musique médiévale. De même nous n'introduisons aucun effet (compresseur, égaliseur ou autre).
Au passage : B&K sont bien connus pour leurs micros de mesure. Idem pour Schoeps, souvent utilisé aussi pour ce genre de prise stéréo omni.
@PT : quelle est ta question précisément ?
Pour une reproduction fidèle de la réverb, je t'invite à suivre le liens suivant, où j'ai mis des liens vers des exemples écoutables
https://fr.audiofanzine.com/hifi/forums/t.164072,les-gri-gris-en-hi-fi,post.7946852.html
[ Dernière édition du message le 01/07/2016 à 18:51:35 ]

Anonyme

Certes, mais les techniques d'enregistrement avec peu de micros, et notamment deux, sont les techniques qui permette de s'en approcher le plus.
Et pour ceux qui sont allés souvent aux concerts, c'est bien ce type d'enregistrement qui semble le plus naturel, car le plus réaliste et le plus fidèle.
Il y a toutefois un truc à garder à l'esprit : ça ne vaut que pour la zik classique ancienne, composée à une époque où le concept même d'enregistrement et d'écoute distante n'existait pas même en rêve.
Par ex ce brave Mozart, qui était tout de même meilleur compositeur que Didier Barbelivien ou Booba, devait absolument, dès l'étape de composition, prendre en compte TOUS les sons de TOUS les instruments. Evidemment, en aval, c'est carrément moins dur de ne mettre que 2 micros, puisqu'effectivement l'ensemble de l'ochestration est prévue pour 2 oreilles, et pas 25 micros et convertos AD...

Will Zégal

Chronologiquement, il faut étudier l'œuvre et découvrir les artistes, les écouter. Ensuite, vient le choix du lieu d'enregistrement. Nous retenons le lieu qui a été choisi par le compositeur pour donner sa pièce, le type de salle qui existait à cette époque pour ce type de musique... aussi, vous ne verrez pas de quatuor dans une église, et s'il faut aller à Mantou pour trouver l'église de la création de l'œuvre, on y va !
Oh la jolie sclérose !

Dr Pouet

Il y a toutefois un truc à garder à l'esprit : ça ne vaut que pour la zik classique ancienne, composée à une époque où le concept même d'enregistrement et d'écoute distante n'existait pas même en rêve.
Par ex ce brave Mozart, qui était tout de même meilleur compositeur que Didier Barbelivien ou Booba, devait absolument, dès l'étape de composition, prendre en compte TOUS les sons de TOUS les instruments. Evidemment, en aval, c'est carrément moins dur de ne mettre que 2 micros, puisqu'effectivement l'ensemble de l'ochestration est prévue pour 2 oreilles, et pas 25 micros et convertos AD...
Yep, d'où la remarque que j'ai mise 2 fois.
Un synthé est rarement amplifié, donc le seul son qu'on lui connaisse est celui de la façade.
On sait aussi qu'un chanteur sans micro, situé juste à côté d'une batterie, ne s'entend pas. Idem pour une flute traversière (Jethro Tull ou Julien Lourau Groove Gang). Etc...
Néanmoins, je ne sais pas si quelqu'un l'a déjà tenté, mais j'aimerais bien entendre des prises stéréo en acoustique naturelle en re-recording.
Méthode :
- enregistrer le morceau une première fois pour servir de guide / métronome
- mettre un musicien dans une pièce où l'acoustique permet d'avoir un son normal (donc pas une batterie dans 9 mètres carrés)
- placer à distance* une paire de micros omni directionnels ; il faut faire le "pan" à ce moment là : si on veut placer le musicien à gauche de la scène, il faut qu'il soit à gauche par rapport au milieu des 2 micros, etc... (* probablement différente pour le chant que pour la batterie, mais il faut un chanteur avec un peu de voix)
- le musicien est enregistré seul, avec au casque le morceau guide
- ça fait donc un ensemble de pistes stéréos pur le groupe
- on peut régler les eq, les volumes au mixage, par contre ça interdit tous les effets type réverb / stéréophonie...
donc plutôt pour du jazz, chanson...
Ça m'intéresserait de pouvoir écouter un délire comme ça !
Après je suis conscient que ça ne peut apporter que très peu, tout en imposant des paquets de contraintes, donc au final c'est pour ça qu'on ne le fait pas.
Will : bah c'est un choix artistique. Comme celui de jouer sur instrument anciens (démarche qui s'était perdu à une époque). Tant que tout le monde ne fait pas le même choix, pas de risque de sclérose. D'façon, c'est déjà de la musique sclérosée.


[ Dernière édition du message le 01/07/2016 à 19:13:32 ]

Anonyme

Bruel & Kjaer 4009,
Tiens tiens, on revient vers les micros de mesures la finalement.

Je ne sais pas ce qu'il en est de ceux la en particulier, mais en tous cas B&K c'est plut des appareils de mesures qu'ils font.
@PT : quelle est ta question précisément ?
Pour une reproduction fidèle de la réverb, je t'invite à suivre le liens suivant, où j'ai mis des liens vers des exemples écoutables
Non ce que je me demandais c'est la différence de son entre une prise faite par un micro "normal" que l'on va trouver habituellement dans un studio, et la même prise faite avec un micro de mesure comme celui dont youtou parlais un peu plus haut.
[ Dernière édition du message le 01/07/2016 à 19:17:58 ]

Anonyme

Je ne sais pas ce qu'il en est de ceux la en particulier, mais en tous cas B&K c'est plut des appareils de mesures qu'ils font.
C'est un peu le même type de fabriquant que Microtech : c'est le haut du panier et on est pas là pour rigoler, mais les 2 ont bien des produits de studio et d'autres uniquement destrinés à l’ingénierie acoustique, dont les micros cités ne font pas partie.

Dr Pouet


Dr Pouet

J'écoute Us And Them à fond les ballons.
Bon je baisse un peu quand le sol tremble trop pour pas que ma voisine du dessous ne martelle le plafond avec son balai.
67 à 88 dB SPL(A), mesures 'fast'
Peak 97
Sans musique : 30.
[ Dernière édition du message le 01/07/2016 à 21:22:54 ]

linn134

Pas en tant que réverb mais en tant qu'outil de modélisation. Au départ ce n'est pas fait pour de l'acoustique d'ailleurs mais le soft a été adapté.
J'ai eu l'occasion de le voir fonctionner lors d'une présentation aux professionnels et c'est impressionnant. La machine hôte est déjà un monstre mais le soft en lui-même est une sacré bestiole. Rien ne dit que les devs ne feront pas une version plus abordable et adaptée à l'audio pro.
On peut aussi imaginer qu'une banque de volumes façon IR est faisable. Pour l'instant il faut un modèle 3D hyper détaillé pour faire ces simulations et le résultat est inexploitable sur du binaural.
Instruments Kontakt gratuits / FLUIDSHELL Design
Démos Audio / Soundcloud BTS & La chaîne YouTube
"001001001111010010010010100010 !" Mireille DAC.

Dr Pouet

On peut aussi imaginer qu'une banque de volumes façon IR est faisable.
Oui, ça, ça ne serait pas très compliqué.
Cela dit j'avoue que c'est du perfectionnisme qu'on peut considérer comme de la branlette. Néanmoins ça peut s'entendre.

slave1802


Le Juniwave 2 peut être utilisé dans le domaine du bien-être et sera un partenaire très efficace des audiophiles et mélomanes ayant un système hi-fi ou home-cinéma de qualité.
Les effets ressentis quand le générateur fonctionne sont nombreux, en voici un extrait :
Sur le corps
Apaise l'esprit,
Diminue le stress et l'agressivité,
Sommeil profond,
Créativité accrue,
Limite le "coup de fatigue" après le repas,
Réduit les effets de certains phénomènes perturbants comme la nervosité liée à un vent violent soufflant sur plusieurs jours (Mistral),
Réduit les insomnies et agitation nocturnes liées à la pleine lune,
Facilite la méditation...
Sur le son
li>Message sonore moins confus,
Image sonore plus large et profonde,
Instruments détachés et stables,
Timbres plus naturels,
Les basses descendent beaucoup plus bas,
Dynamique accrue...
Y a-t-il des effets secondaires ?
Les premiers jours, vous pouvez ressentir quelques effets de somnolence qui disparaitront une fois le sommeil rattrapé.
Mise en place du Juniwave
Le Juniwave 2 n'a besoin que d'une prise secteur pour fonctionner. Il est préférable de placer le générateur en hauteur, au sommet d'une étagère stable, à l'étage pour les maisons qui en ont un. Bien que sa puissance d'émission soit particulièrement faible, il va rayonner sur toute la maison. Afin de bien ressentir les effets, vous ne devez pas le mettre trop près de vous ou des équipements audio. Evitez les pièces comme les chambres, préférez les couloirs ou pièces de vie comme le salon. Observez une distance d'au moins 2m entre votre générateur et votre matériel audio / point d'écoute. L'appareil agit autant sur les perceptions sensorielles que sur le matériel lui même.
En écoute hi-fi, il suffit de 20 secondes de mise en route pour ressentir les effets du générateur sur la musique. Coté bien-être et santé, les effets du générateurs sont ressentis à plus long terme. Le Juniwave 2 n'ajoute pas un phénomène nouveau à votre environnement, il rehausse simplement une onde qui existe naturellement et qui à tendance à être masquée par notre mode de vie moderne. Ainsi l'effet ressenti peut varier suivant les heures, les saisons et les lieux...
L'organisme a tendance à rapidement intégrer les effets bénéfiques. Peut être vous sera-t-il difficile de quantifier les effets du générateur même après deux semaines de fonctionnement continu. N'hésitez pas à arrêter le générateur une demi ou une journée entière. Il vous sera peut être plus facile, alors, de sentir monter des sensations que le corps à oublié.Caractéristique techniques
Onde générée : biologique à amplitude et fréquence glissante.
Puissance de l'onde émise : inférieur à 100nW
Consommation électrique : 1,2W
Marche/Arrêt et voyant de mise sous tension en face avant.
Technologie : Générateur sinusoïdal à faible distorsion utilisant des circuits intégrés faible bruit.
Dimensions : 20cm x 18cm x 3,9cm
Poids : 810g
Garantie : 2ans
Prix de vente : 239€

alex.d.


slave1802


samy dread

Non je ne mettrai pas de pull
- < Liste des sujets
- Charte