Dis moi ce que tu lis.
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Nantho Valentine
Point-virgule
Je dirais que c'est pas mal de commencer par ''La Reine des pommes'' puisque c'est le premier, qu'il pose des éléments sur les deux flics qui reviendront ensuite dans tous les autres et que dans mes vagues souvenirs, il est assez drôle.
Perso, je dirais qu'ils sont tous bons, et que je les ai lus en fonction de ce que je trouvais chez les libraires ou les amis et que ça ne m'a pas dérangé de procéder ainsi.
« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫
[ Dernière édition du message le 05/08/2019 à 14:39:20 ]
Dr Pouet

Point-virgule
J'ai lu aussi deux recueils de nouvelles qui sont excellents : Une messe en prison (Nouvelles I) et Le Paradis des côtes de porc (Nouvelles II) ainsi que des romans qui ne sont pas de la série Fossoyeur/Cercueil : ''Dare-dare'' et ''Qu'on lui jette la première pierre'' mais je ne me souviens que des titres et je ne savais même plus qu'ils n'étaient pas de la série. Je pense qu'ils sont tout à fait valables ceci dit, mais j'éviterais de commencer par là.
Je dirais qu'il n'y en a un à éviter, ou en tout cas à ne lire qu'après avoir bien plongé dans son univers c'est Plan B, premièrement parce qu'il est inachevé, deuxièmement parce qu'il n'y a plus aucun humour et troisièmement parce que le point de vue défendu est assez spécial, du genre Black Panther désespéré...
« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫
[ Dernière édition du message le 05/08/2019 à 14:52:20 ]
Point-virgule
Ah ben parfait, je crois bien que j’ai « La Reine des pommes » dans ma pile de livres à lire. Certainement grâce à une recommandation d’ici, voire de toi !
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Lance-toi alors, tu ne seras pas déçu.
« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫
dana12
D'ailleurs, je viens de vérifier mais La reine des pommes est le premier roman qu'il a conseillé sur ce thread.
C'est bien d'ailleurs d'avoir 2 avis qui se recoupent et qui concordent sur Chester Himes et La reine des pommes
Incrédule sur tout, sceptique sur le reste
Point-virgule
Je me disais bien qu'il y avait un thread polar...
« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫
crossroads
C'est sympa à lire, bien construit et documenté, très instructif.
Ce qui est fascinant dans ce genre d'histoires, ce sont ces hommes partis vers nul part (puisque personne n'y avait jamais été) et leur sens des valeurs et coutumes.
Les officiers qui n’apparaissent sur le pont du bateau que s'ils sont habillés avec l'uniforme qui va bien et la perruque, alors que c'est urgent qu'ils viennent et que c'est pleine tempête.
Les marins qui crèvent du scorbut en font de cale dans la puanteur et nageant dans leur merde, sans dire un mot, alors que les officiers s’empiffrent dans les pièces du haut du bateau.
Une autre époque quoi.
Instrumental/Ambient/Post-Rock : https://dzeta.bandcamp.com/
[ Dernière édition du message le 14/08/2019 à 15:15:10 ]
Dr Pouet
Agatha Christie
Ces histoires ont toujours leur charme. Pas mal de rebondissements dans celui-ci, et pas seulement un gros à la fin. Il semblerait que ce soit celui qui a lancé sa carrière.
Mais je retrouve ce que je reproche toujours aux polars de cette auteure : de grosses louches de Deus Ex Machina : au moment des révélations, le retournement de situation vient d’une information qu’on n’avait pas et qui change tout. Or j’aime mieux quand on n’avait déjà toutes les informations, sous ke nez, et qu’on se demande comment on n’y avait pas pensé.
Bon il y a quand même deux trucs particuliers dans celui-là, et qui me le rendent plus sympathiques. Attention, spoil total :
- le fait que Poirot joue un rôle actif dans l’affaire en poussant le coupable au suicide ; mais ça devient assez incohérent / irréaliste
dana12
Je l'ai relu des années après et évidemment, je connaissais le coupable. Et en le relisant, j'ai pu noté pas mal d'indices qui désignaient l’auteur du meurtre. A tel point que je me suis demandé comment j'étais passé à côté lors de ma 1ère lecture.
Souvent, dans les romans d'Agatha Christie, c'est juste une petite remarque au détour d'une phrase qui donne l'indice. Comme j'en ai lu pas mal à une période, je finissais par trouver assez souvent le nœud de l'intrigue (mais je n'ai pas découvert celui de Roger Acroyd).
Le reproche du détail qui dénoue l’enquête, je l'ai rencontré presque systématiquement chez Pierre Magnan, qui écrivait joliment, toujours sur la région Alpes du sud (Digne, Sisteron...), mais dont les intrigues sont gardées opaques jusqu'au dénouement qui sort du chapeau.
Incrédule sur tout, sceptique sur le reste
[ Dernière édition du message le 14/08/2019 à 17:44:10 ]
Dr Pouet
dana12
Tu as raison, mais il y a des tas d'indices qui permettent de mettre sur la voie, et qui sautent vraiment aux oeils quand on connait la soluce
Incrédule sur tout, sceptique sur le reste
Anonyme
Sans vouloir manquer de respect à Joeko, je crois que c'est Aztec Soviet qui a évoqué Chester Himes, et plutôt sur le thread du polar, qu'il avait créé.
D'ailleurs, je viens de vérifier mais La reine des pommes est le premier roman qu'il a conseillé sur ce thread.
C'est bien d'ailleurs d'avoir 2 avis qui se recoupent et qui concordent sur Chester Himes et La reine des pommes
Je conseille de relire toute la série d'Ed Cercueil et Fossoyeur Jones, y compris l'ultime Plan B... Mais j'suis pas très objectif, j'adore Himes, son oeuvre moins connue mais plus classique est tout aussi bonne.
L'aveugle au pistolet, S'il braille lâche le, La fin d'un primitif, Mamie Mason, etc etc...
Voir la page Wiki, j'ai des anciennes éditions des 80's et parfois les titres ont changé. Voilà.
Mais + beaucoup pour Chester Himes.
la bande des Musulmans fumants![]()
Tu m'étonnes... un nom de gang comme ça ne s'oublie pas.
[ Dernière édition du message le 14/08/2019 à 18:48:04 ]
Anonyme
et je vais en poster plusieurs dans les jours/la semaine à venir.
Je commence avec un petit lot de philosophie.

Les Présocratiques
Jean Brun
1968
Comme l'indique le titre, l'auteur brosse un tableau chronologique des personnages et mouvements Présocratiques:
Thalès de Milet, Anaximandre, Anaximène, Pythagore/Pytagoriciens, Héraclite (celui qui a le plus retenu mon attention), Parménide, Zénon, Empédocle, Atomistes.
Je ne résumerai pas l'ouvrage mais non seulement il essaye d'être complet sans perdre en synthèse mais en plus il
est très bien écrit. Seul bémol, les termes et concepts grecs sont écrits en grec sans traduction, signe qu'on a
là des auteurs d'une autre époque pour lesquels leurs lecteurs (du moins ceux que la question intéressait)
connaissaient le grec. On peut voir ça comme une forme "d'entre-soi" mais peut-être également un façon de tirer
le lecteur vers le haut.

Socrate
Jean Brun
1960
Bien que le sujet soit différent, je fais le même topo que pour l'ouvrage suivant sur le fond comme sur la forme.
De Socrate je ne connaissais pratiquement rien et j'ai trouvé cette introduction assez complète et le personnage très intéressant. Comme je le laissais entendre plus haut, c'est encore une fois très bien écrit.

La Philosophie Antique
Jean-Paul Dumont
1962
Voilà le sommaire:
I Sages, Physiologues et premiers philosophes
II Socrate et les Sophistes
IIIPlaton: l'Opinion, les Idées, le Bien
IV Aristote: la Substance, la Science, le Bonheur
V Épicuriens, Stoïciens, Sceptiques
On retrouve quelques redites des ouvrages précédents mais en plus succincts, car
ici les "nouveautés" sont les chapitres consacrés à Platon et Aristote,
les deux philosophes représentant le plus gros de l'ouvrage.
Toutefois les Épicuriens, Stoïciens et Sceptiques ne sont pas négligés
même si ils se partagent le dernier chapitre.
Si comme moi, vous avez des lacunes en platonicisme et que certains concepts aristotéliciens
vous semblent obscurs, cet ouvrage est fait pour vous. On le voit toutefois dans le sommaire,
l'auteur a choisi des notions clefs et ne fait pas donc pas un inventaire exhaustif des différents
concepts platoniciens et artistotéliciens, mais il offre un marche-pied assez confortable.
Mais attention, contrairement à Jean Brun,
le style ici est plus académique ce qui ne facilite pas la tâche pour saisir certains concepts
n'étant déjà pas toujours faciles à comprendre chez Platon et Aristote.
En effet, même si il y a encore une forme de "poésie" chez ces philosophes, l'articulation
est quelques fois ardue et on peut se sentir un peu dépassé quelques fois.
Plusieurs lectures me semblent nécessaires pour saisir certains concepts, y compris
de croiser cet ouvrage avec d'autres traitant de Platon, d'Aristote et leurs concepts.

Les Grandes Philosophies
Pierre Ducassé
1941 pour la première édition
1969 pour la troisième édition
Le très court chapitre I (4 pages et demie !) est très très rapidement consacré
aux philosophies "exotiques" de la Chine et de l'Inde.
La Mésopotamie ou le Monde Arabe Pré-Islamique?
Pas une ligne.
En fait par "Grandes Philosophies" il faut comprendre:
"La Philosophie Occidentale de la Grèce Antique au premier tiers du XXème siècle".
Nous avons donc alors quatre grandes sections:
II La philosophie grecque
III Les renaissances médiévales
IV La philosophie moderne (Renaissance - XIXème)
V La pensée contemporaine (fin XIXème - début XXème)
Ici aussi la lecture est très accessible puisque n'entrant pas nécessairement dans trop de détails
sur tel ou tel mouvement/personnalité, l'idée étant plutôt de proposer une chronologie générale de ces
grandes étapes de la philosophie.
On trouve forcément de redites sur les pensées et penseurs grecs lus dans les autres ouvrages, mais comme
ils représentent une proportion moindre ça n'est pas gênant.
Dans le chapitre consacré à la période médiévale, le Monde Arabe, islamisé entre-temps, fait son entrée.
On trouvé également quelques références à la pensée juive.
Ce chapitre témoigne d'une certaine richesse intellectuelle et de petites braises mystiques
sous un pouvoir religieux rigoriste.
J'ai lu avec moins d'intérêt le chapitre consacré à La Renaissance
(trop spéculatif à mon goût) et à peine survolé celui consacré à La Pensée Contemporaine.
Mais peut-être qu'une lecture future m'y fera remettre le nez.
Pour faire un bilan sur cette série "Que sais-je", ils constituent selon moi un excellent outils de culture générale.
Je crois que c'est vraiment bien d'avoir ce genre d'ouvrage dans sa bibliothèque,
histoire d'y jeter un oeil de temps en temps alors qu'on a un doute ou que l'on est
dans la lecture d'un ouvrage se référant à des concepts relatifs ici à ces mouvements philosophiques
ou leurs principaux acteurs.
Bien sûr on peut toujours reprocher que ça ne soit pas toujours complet ou que ça peut avoir vieilli,
mais comme je le disais plus haut, il faut plutôt prendre ces ouvrages comme des marche-pieds
et il y a dejà bien assez à faire.
Autre avantage: d'occasion on trouve ces bouquins à un ou deux euros, autant dire absolument
rien du tout en comparaison de ce que cela peut apporter.
Bref, je recommande vivement.
oryjen
Ce dernier ouvrage m'a inspiré la rédaction (en cours) d'une sorte de réfutation générale de la philosophie occidentale, dont j'ai été implicitement prié sur "Portés Disparus" de vous éviter l'épreuve.
Je ne sais pas ce que j'en ferai quand il sera terminé... Par le biais de quelques amis introduits dans le milieu de l'édition, je n'exclus pas de tenter une publication...
J'ai lu aussi (presque terminé, l'affaire de quelques soirs à présent) Les Furtifs, d'Alain Damasio, qu'on avait (presque) tous adoré pour La Horde du Contrevent...
Voici mon modeste avis à propos de son dernier opus:
C'est pas jojo... J'ai résumé ailleurs "il a trouvé sa forme"... C'est-à-dire qu'il a arrêté de chercher.
Le voici bloqué sur un truc de pure esthétique, et autant sur La Horde ç'avait été pour moi été une sorte de découverte et de salutaire renouvellement principalement du point de vue syntaxe et vocabulaire, autant là il me semble (enfin ça me fait l'effet) que c'est devenu un système qui, de ce fait, confine à la préciosité.
Pour être plus précis, je dirais que dans La Horde les inventions langagières étaient directement raccord avec le propos, le contexte mis en scène... Là on retrouve texto les mêmes procédés, sans rapport immédiat avec ce qui est raconté.
Résultat: On a une sorte d'esthétique branchouille de surface, qui n'a pas été sans me rappeler le second tome de Subbutex de Despentes, qui m'avait fort déçu, et qui, pour certainement parler à l'élite parisienne, manque clairement de sérieuse motivation artistique (à mon avis de provincial totalement déconnecté).
Corrélation/confirmation: Pépère abuse franchement du Deus Ex Machina, au point parfois de rendre tout simplement ridicules les trésors préparatoires sophistiqués déployés en amont pour mettre en place une situation qui semble, peu à peu, échapper totalement à la volonté de l'auteur...
C'est un gros "bof" pour moi, et j'en suis bien déçu, car après La Horde (et dans une moindre mesure La Zone du Dehors, antérieur), j'attendais monts et merveilles du retour de l'enfant-prodige de la littérature provinciale.
Il faut dire que par l'intermédiaire de sa maison d'éditions "La Volte", Damasio n'y était pas allé de main morte ces derniers mois, question (auto-)promotion...
Bon à côté de ça, si on met de côté la littérature, et si on consent l'effort de considérer la chose comme un essai socio-politique à peine déguisé (pas très loin de La Zone du Dehors de ce point de vue), le fond est très intéressant je pense, en ce qu'il brosse de manière exhaustive et intelligente les enjeux et chausse-trappes du siècle en cours.
Juste, je pense qu'il est assez léger dans le décompte des sommes d'énergie mobilisées par la société qu'il dépeint (vers 2050), et qu'il en sous-estime notablement les conséquences écologiques (ou environnementales comme disent les obsédés spécistes).
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
Anonyme
J'apprends à lire et je reviens aussitôt ici !
Anonyme
oryjen

Il s'agit d'une uchronie très réjouissante menée tambour battant.
Le pitch est l'arrivée, sous le second Empire, d'une civilisation extraterrestre exsangue en quête d'un refuge et d'énergie.
Les visiteurs font alliance avec Napoléon III, et à partir de là ça devient nawak, mais pas totalement nawak: Le truc est vachement cogité, et on retrouve, au fil des 3 tomes une foule de personnages connus dans un emploi plus ou moins éloigné de celui que nous leur connaissons.
Vous y croiserez Victor Hugo, Jules verne, Louise Michel, Henri Barbusse, "Badinguet", Léo Malet, Le Docteur L.F. Destouches, la smala Nazional Socialiste au grand complet, Erich Von Stroheim, Boris Vian, Lolita, Brasillach et sa clique, Pétain, Laval et Daladier, M. Hulot, etc etc etc.
Un festival!
Si vous cherchez quelques soirées de détente, je vous le recommande chaudement!
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
[ Dernière édition du message le 19/08/2019 à 16:17:38 ]
W-Addict
Vacances, plage, lecture.
J’ai choisi de la SF, j’avais souvenir de PKD, donc j’ai pris les 2 présents dans le rayon.
La vérité avant-dernière
Suite à un conflit mondial nucléaire l’humanité vit sous terre. Pour le peuple la guerre n’est pas finie, et il faut travailler dur pour que la liberté triomphe.
Un homme - chef d’une communauté - va se retrouver à braver l’Interdit : remonter à la surface pour trouver du matériel pour sauver un membre de sa communauté.
Il va découvrir un autre monde que celui décrit dans les JT ( quelle surprise
C’est un peu long à démarrer mais en tant que gauchiste immigrationniste j’y ai vu une belle description du capitalisme et de la lutte des classes.
4 Red Faction / 5
L’oeil dans le ciel
Début un peu rude pour moi, en lisant des propos misogynes et racistes, dans ce pays de la tolérance que sont les USA.
8 personnes vont être victimes d’un accident technologico-industrio-militaro-scientificique et vont vivre des expériences traumatisantes.
Comme l’autre titre un peu de temps pour démarrer puis l’histoire s’accélère une fois le secret découvert.
Assez intéressant comme oeuvre de SF, et plutôt utile à mon sens pour prendre le temps de se poser et de composer avec ce qui nous entoure plutôt que de tout modeler à notre confort.
3,5 Méditaïwane / 5
[ Dernière édition du message le 24/08/2019 à 16:58:35 ]
oryjen
Je m'étais fait tartir d'une force!
Dans Le Maître du Haut Château, j'avais senti comme l'amorce possible de quelque chose de potentiellement littéraire, puis flop...
Peut-être ces deux-là, que je n'avais jamais vu cités nulle part, me réconcilieront-ils?
Pourtant au cinéma ça le fait assez bien (Blade Runner, A Scanner Darkly...)
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
will_bru
In the midnight hour, she cried more, more, more, with a rebell yell she cried more more more...
Anonyme
W-Addict
Il me semble que Le Maitre du Haut Château est son meilleur bouquin - selon les critiques. J’attends de le trouver en magasin (j’aime pas commander les livres, je préfère choisir sur l’étal).
Dr Pouet
Déçu par contre par « Le Dieu venu du centaure ».
Anonyme
Peut-être devrais-je y rejeter un oeil aujourd'hui.
Il est important de noter que K.Dick pouvait quelques fois écrire sous l'emprise de substances
si je ne me trompe pas.
Dr Pouet
En rapport : son livre « Substance mort » et le film au look psychédélique qui en est tiré « A Scanner Darkly ».
[ Dernière édition du message le 25/08/2019 à 13:47:21 ]
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