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fairbec

Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...

Dom Janvier



minuslab

Hors sujet : billyboy mea culpa. J'ai pas saisi l'humour. Je dois être un peu sur les nerfs peut-être. N'empeche que c'était pas clair comme treizieme degré, je veux dire si c'était destiné à faire rire ça a pas marché. Pis je sais pas, je suis un peu vieux con sur certains sujets...je m'emflame (trop) vite. En plus je pense voir un peu comment tu fonctionnes je sais que t'es à deux mille lieux de penser ça. C'est pour les autres. (je m'enfonce) (à bon entendeur)

Will Zégal

Hors sujet : no soucis. ;)
Je te signale quand même que je t'ai piouté dans "alerte citations"
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* * * * =========== Le Festival Interceltique de Lorient
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minuslab

Hors sujet : pas de pb, je lis pas ce thread.


Anonyme

L'Inde de 1938 sur fond de résistance pacifique prônée par Ghandi.
Tchouya est une jeune veuve, très jeune puisqu'elle n'a que huit ans !!!
Il semblerait qu'à cette époque les veuves avaient trois solutions:
- mourir avec leur mari
- vivre une vie d'abnégation
- se marier avec le frère cadet du défunt
Le remariage? Dans une autre vie peut-être, autre vie que l'on souhaitera toujours retrouver sous la forme masculine.
Pour Tchouya ce sont ses parents qui décident et ce sera l'abnégation dans une sorte de maison exclusivement réservée aux veuves.
Une fois arrivée on lui rase la tête et on lui donne une sorte de sari blanc, comme semblait le vouloir la tradition.
Là se trouve une douzaine de veuves "boule à Z" ayant entre 40 et 70 ans, toutes sous l'autorité d'une sorte de grosse dondon genre mère supérieure.
Elle fait connaissance de toutes ces femmes et plus particulièrement de Kalyani, une ravissante jeune femme de 25 ou 30 ans qui se prends d'affection pour la petite nouvelle, petite vague de fraîcheur dans un endroit ou les femmes sont plutôt âgées, malades, revèches.
Par accident Kalyani aperçoit un jour un beau jeune homme et entre eux c'est "eul'coud'foud'"!!!
Se pose alors la tragédie de l'amour impossible entre ce jeune homme qui s'avère être de caste Brahmine et cette veuve pour qui le remariage est exclu, mais aussi des questions bien plus graves voire réellement Freudiennes.
Malgré quelques trames, "Water" est loin des "Bollywooderies" habituelles.
L'ambiance est très particulière et excellement servie par une photographie et une lumière incroyables.
On y trouve aussi cet étrange mélange de poésie et de romantisme tragique proche des productions iraniennes ou des films contemplatifs asiatiques.
La question de fond sur la choc entre la tradition et la modernité est savament distillée par de petites phrases toujours d'actualité.
Seule petite "ombre" au tableau, le choix de l'actrice "blanche" Lisa Ray pour le rôle de Kalyani.
Pourquoi ne pas avoir pris une actrice indienne avec des traits indiens? Peut-être est-ce pour être plus "visible" en occident?
Peut-être est-ce la fille d'un mécène qui acceptait de financer le film "à condition que ma fille..." et gnagnagna et gnagnagna.
Bref un film qui s'avère en fait assez difficile à raconter et à résumer, un film à voir plutôt qu'à lire.

VFred



lowweek



Anonyme



Anonyme


VFred

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