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fairbec

Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...

vodevil


Le trailer :
C'est quand qu'on va où?

le reverend


Un film zarbi, assez fun, assez cru, assez poetique, assez romantique.
Y en a qui ont vu ? Apprécié ?
Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique ! :-( :-)

cyar


vodevil

C'est quand qu'on va où?

le reverend

oui
> vodevil
en fait, le film est un court tourné par un photographe de mode. Comme il a bien marché dans les festivals, le même en a fait un film l'année d'après. Petite particularité (unique à ma connaissance), le court est completement inclus sans montage dans le film : il en est la sequence centrale.
Le reste de l'histoire a été scénarisé autour.
Etonnant
Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique ! :-( :-)
[ Dernière édition du message le 20/06/2016 à 16:04:28 ]

nobazz


PU74iN m4I2 pUI5kw3 J3 V0u2 di2 Kw3 J3 5Ui2 p42 un 933k 37 KW3 j'3n 4i h0Rr3uR, C'357 CL4IR???

cyar


Rifki

Je viens de remarquer que les deux actrices principales de cashback ressemblent pas mal à deux collègues de boulot

le reverend

J'avais trouvé ça assez fin.
Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique ! :-( :-)

Anonyme

Une sorte de La Chèvre réalisé par Katherine? C'est un peu décousu, un peu long, mais il y a des bon gags à la con.
Ah oui le pitch: Un stagiaire d'un ministère est envoyé en Guyane sur le chantier d'une piste de ski artificielle: Guyaneige. Là-bas il rencontre Tarzan, une stagiaire comme lui.

Elle de Verhoeven
Isabelle Huppert se fait violer. Il en découle tout un film.
Pour rester dans les comparaison, une sorte de Chabrol, en plus cru. Huppert rappelle pas mal son perso dans Merci pour le Chocolat (ç à d une effroyable sa..pe)
Pour ceux qui l'ont vu, une intérprétation tout à fait intéressante du personnage d'Is' Hupp', chopée sur un forum de cinémouille.
Je suis étonné de ne pas avoir lu autre chose que le présupposé selon lequel Huppert se fait violer au début du film. Cela est peut être dû à ma faible connaissance de Verhoeven (je n'ai vu que Robocop et Total Recall, le second orientant peut être trop fortement ma lecture du film), mais au fur et à mesure de la projection, il m'a semblé évident que la relation Huppert/Laffite est préexistante au viol initial. Que viol il n'y a pas, il n'y a jamais eu, comme beaucoup d'autres choses. Art Core parle de la mauvaise blague sur l'enfant noir, j'ai eu la même réaction sur le moment, mais j'ai rapidement interprété cela comme la vision de Huppert: elle voit l'enfant noir, ou elle veut voir l'enfant noir, parce qu'elle tient avant tout à blesser son fils (la scène où elle complimente son fils pour le dessert qu'il lui rapporte du Quick est par ailleurs d'un humour glaçant, l'un des seuls compliments d'Huppert du film, pour un dessert de fast-food!). Sincèrement, je ne sais pas dissocier la vérité du fantasme ou du mensonge dans ce film, dans un tout autre style ça me fait penser à Lynch.
Huppert interprète là un personnage d'un diabolisme incroyable, comme rarement. Gontrand a tout à fait raison lorsqu'il fait référence à Chabrol, je n'ai pu m'empêcher de penser à La Cérémonie. Huppert passe son temps à saborder le bonheur des autres: la naissance de son petit fils, elle cherche à faire exploser les couples des personnes qui lui sont les plus proches, de sa mère, de son ex-mari, dont on se dit finalement qu'elle l'a quitté parce qu'il ne devait pas la satisfaire dans ces jeux sado-masochistes (elle lui reproche de l'avoir frappé, probablement pas comme elle l'aurait souhaité. Son ex-mari est d'ailleurs l'attention de ses attaques répétées. Elle sait sciemment qu'elle enfonce son pare-choc, elle l'a probablement reconnu dans la Renault avant d'aller lui pulvériser du gaz dans les yeux). Je ne sais plus qui reprochait une certaine froideur au film... c'est bien son problème, Huppert ne ressent pas d'émotion (ou si peu), et n'accepte pas de voir un signe de bonheur chez les autres (le moment où elle voit Consigny heureuse lors de la fête de lancement du nouveau jeu vidéo est le moment idéal pour lui révéler qu'elle la trompe).
[ Dernière édition du message le 20/06/2016 à 18:41:54 ]

Anonyme

il est vrai que le short de la dame de l'anpe semble bien court.
et pas incompatible avec la montée en fréquentation de l'établissement.

nobazz

Tiens d'ailleurs, je sens que je vais me remater (je cfrois qu'on peut dire ça pour ce film) Cash Back
Un film zarbi, assez fun, assez cru, assez poetique, assez romantique.
Y en a qui ont vu ? Apprécié ?
Vu ce soir donc.
Des passages un peu longuets d'après moi, mais une belle photo et une jolie histoire. Romantique oui, cru non. Une odd à la femme et à ce qu'elle inspire aux artistes. Ca restera pas dans mon top films mais c'était un fort bon moment. Merci

PU74iN m4I2 pUI5kw3 J3 V0u2 di2 Kw3 J3 5Ui2 p42 un 933k 37 KW3 j'3n 4i h0Rr3uR, C'357 CL4IR???
[ Dernière édition du message le 20/06/2016 à 23:46:58 ]

Vince_

Y'avais l'équipe du film et tout, petite expérience sympa.
Content que tu aies pu apprécier, son rythme, le thème ont de quoi faire fuir bon nombre d'être humains...


Anonyme

The Eichmann show. Le film est très bon, mais puant. Ca jacte du procès d'Adolf Eichmann, nazi, saloperie, pendu, Jerusalem, pas une grande perte. Et c'est là que ça couine. le film est super bien foutu, mélengeant images d'archives et dramatisation hollywoodienne de bonne tenue, mais ça se félicite de sa pendaison.
Du coup, en quelques minutes ça devient hyper puant, j'ai eu honte de mater ça. A vomir.

Eolas


Alors forcément ça passe par Das boot, Octobre rouge, K-19, et les classiques Run silent run deep, The enemy below. Un ami m'a conseillé Hell and high water que je viens de finir et même s'il est bien c'est pas non plus génial.

"Les reptiliens Chris, les reptiliens!" Ezechiel Miller

W-Addict

Dois bien y avoir un Steven Seagall aussi.

Et en BD je te conseille Sanctuaire, même si toute l'intrigue ne se déroule pas dans un sous-marin.
Édit : lu trop vite ton post. "Octobre rouge"

[ Dernière édition du message le 22/06/2016 à 08:25:53 ]

dana12

En ce moment je suis dans les films de sous-marins.
C'est marrant ce marché de niche. Y en a t-il un qui cherche des films de Renault 12 TL ?



Incrédule sur tout, sceptique sur le reste
[ Dernière édition du message le 22/06/2016 à 08:37:53 ]

Eolas


Sanctuaire j'ai lu, c'est pas mal mais cette habitude de montrer un sous-marin en plongée avec tout sorti c'est comme les casques vikings avec des cornes, ça n'a jamais existé dans la réalité mais tous les réalisateurs et dessinateurs en mettent tant qu'ils peuvent.

Mais à part le fait qu'ils ne se sont pas documentés du tout le reste est plutôt intéressant, l'histoire est originale et visuellement ça se défend.
"Les reptiliens Chris, les reptiliens!" Ezechiel Miller

nobazz

PU74iN m4I2 pUI5kw3 J3 V0u2 di2 Kw3 J3 5Ui2 p42 un 933k 37 KW3 j'3n 4i h0Rr3uR, C'357 CL4IR???

Javier Guante Hermoso


Traumax


Djeeloo

L'esprit c'est comme un parachute: Il marche mieux quand il est ouvert.

Eolas


"Les reptiliens Chris, les reptiliens!" Ezechiel Miller

W-Addict

C'est très bien fait, ça claque. J'adore cet univers graphique qui m'a fait l'impression de jouer à Borderlands.
La Warboy est top.
Bien entendu scénario complexe et personnages profonds. Mais who cares ?

Anonyme

personnages profonds
Bah justement, la force de ce film est que les personnages sont intéressants, du reste il ne peut y avoir aucune histoire intéressante sans persos intéressants.
La force de ce Fury Road est ne pas avoir remplacé Mel Gibson poste pour poste, on est plutôt dans un duo de héros, qui fait passer la pilulle du changement amha.
En tout cas perso Fury Road a été le meilleur film d'action pure que j'ai vu depuis Die Hard 3 et de manière générale le milieu des 90's.
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