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Derniers films vus

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Sujet de la discussion Derniers films vus
Pour ma part ce w-e, c'est 'les invasions barbares' (d. arcand) et 'goodbye lenin!' (w. becker)

Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?

Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
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44301
Vu Saint Amour hier soir.

Ca m'a bien plu, je suis on client du style de scénar comme des acteurs, Poolevorde joue très bien, dans un rôle qui ne lui est pas forcément habituel.
Un bon moment.

Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier

44302
Citation de pichtrocubis :
Bu Saint Amour hier soir.

Ca m'a bien plus, je suis bon client de ce style de pinard, comme les acteurs. Poolevorde boue très bien, pour une gnôle qui n' est pas forcément habituelle.
Un bon moment.
44303
:-D :bravo:

  

"8 milliards de malades mentaux, naufragés sur le même radeau" - LOFO'

 

 

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Depardieu joue le rôle du père de Poolevorde ? En soi c'est pas super crédible, j'ai l'impression qu'il a 15 ans de plus à tout casser.
44305
16
:-D

 

l'appréciation qu'on peut avoir de la déco de Noel de ma voisine dépend de la conscience qu'on a de l'état de la société.
44306
Dans ce cas alors ça change tout.:oops2:
44307
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l'appréciation qu'on peut avoir de la déco de Noel de ma voisine dépend de la conscience qu'on a de l'état de la société.
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Si ça marche, il ont fait le fils un peu jeune.

Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier

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Mais pas à jeun, apparemment... :boire:

L'esprit c'est comme un parachute: Il marche mieux quand il est ouvert.

J'ai enregistré un peu de tout et n'importe quoi

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:bravo:

Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier

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Frank

En Irlande, Jon, un musicien amateur, rejoint un groupe de rock, mené par l'extravagant Frank, qui porte continuellement une tête artificielle.


Outre le fait que cela soit un film musical marqué par le rock expérimental, l'originalité tient du fait que l'on découvre pas le personnage de Frank par son histoire, enfance etc... mais par le biais du narrateur au fil de l'année qu'il passe avec lui.
Ce dernier, Jon, jeune zicos sans expérience bien à l'aise dans son époque (internet, mobile, RS...) tombe au milieu de Frank et son groupe, joyeuse bande de fêlés décalés, et on se demande à la fin qui à le plus apporté à l'autre.

Chouette film, très humain et très sympa.

 Instrumental/Ambient/Post-Rock : https://dzeta.bandcamp.com/

 

[ Dernière édition du message le 20/07/2016 à 14:09:53 ]

44312
Les premiers les derniers

Super ! Acteurs au top, scénar au poil, mise en scène soignée et nickel, réalisation classe.
Bon je suis super bon client de base, une fois de plus ça l'a fait parfaitement, un régal.

Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier

44313
" Circle 2015

Jamais entendu parler, je suis tomber dessus sur Netflix, le pitch a été fait pour moi.
> 50 personnes autour d'un cercle, 1 personne meurt toutes les 2min. "

hmmm ca me tente bien cette histoire ^^

Hulkshare

Soundcloud

Youtube

Audiofanzine

 

 Il vaut mieux se perdre dans sa passion que perdre sa passion

 

44314
La grande bouffe

Tragédie grecque post-moderne gastronomique.
Assez déçu dans l'ensemble. Je comprends bien le pataquès que ca a pu faire à l'époque, mais objectivement...
Les acteurs jouent pas si bien que ça, voire assez mal par moment, beaucoup de sur-jeu inutile. L'histoire ne mène pas bien loin, et ne donne pas à voir un sous-texte bien fracassant. Tiens, même Matrix a une portée philosophique. Bah là on a pas la portée philosphique, ni le bullet time.
Coté mise en scène, c'est très convenu planplan. Tout le monde est bien cadré en plein, au milieu, tout le temps. Des fois on a l'audace d'une composition en triangle quand trois personnages discutent. La caméra a tellement bouffé elle aussi qu'elle semble faire la sieste dans un coin, on s'emmerde.
Bref, tout ça monte une baudruche bourgeoise bien classique et sans folie. Dommage.
44315
commencé à mater aussi et puis j'ai zappé, pas convaincu.
Par contre il y a un truc qui a marché sur moi : ça commençait à m’écœurer de les voir se gaver sans arrêt

Et s'il le faut j'emploierai de moyens légos !

44316
Pareil. Un peu déçu de la grande bouffe. Mais je me suis bien marré en revoyant le bonheur est dans le pré pour la énième fois.
Dans le doute, le mieux ça serait quand même une ligne inox.

 

 
44317
+1 un film sympa
"à chaque fois tu me regardes comme si ma bite avait un goût" :bave:

Je vous trouve bien dur avec la grande bouffe. Si la réalisation a vieilli, le thème n'est plus que jamais actuel : des gens vivent pour manger tandis que d'autres essaient de manger pour vivre. C'est aussi la dénonciation d'une classe social, celle de la bourgeoisie, là aussi un thème très présent en ce moment. Je pense que le film ferrait eut-être plus scandale aujourd'hui que lors de sa sortie.

Je trouve les acteurs pas si mauvais, on sent leur complicité de jeu. Il y a des scènes formidables de puissance, comme celle du tas de carcasse à la fin. Le malaise est total, comme dans Salo ou les 120 journées de Sodome, et tiens à la mise en scène qui saoule et nous fait confondre les corps de prostitué et les carcasse de gibier. Le personnage d'Andrea fait rebondir le film, à la fois pute et Mère, elle dépasse la seule dénonciation de la classe bourgeoise... La scène ou Hugo meurt entre ses ... doigts est forte aussi.

Ferreri montre tout et ne raconte, rien, parce qu'il n'y a rien à dire devant cette outrance, moi je trouve ça pas mal comme point de vue là dessus. La musique de Sarde est bonne, comme souvent. Il y a bien quelques longueurs, mais c'est drôle, provocant, subversif, dénonciateur, moi j'y vois un chef d'oeuvre (ce qui n'est pas forcément un le meilleurs film du monde).

Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier

44318
Citation de Rifki :
Mais je me suis bien marré en revoyant le bonheur est dans le pré pour la énième fois.


idem, la dernière fois que je l'avais vu, ça devait être au millénaire dernier, ou alors tout au début de celui ci.
J'ai pas boudé mon plaisir :bave:

"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus

44319
J'ai regardé The Man from U.N.C.L.E. hier soir.

C'est au moins distrayant, un mélange de James Bond, OSS117, Jason Bourne et Austin Powers.

Pas un chef d'œuvre, mais regardable. Point bonus, y'a un laser (un genre de sabre).

On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel. 

44320
La Grande bouffe (revu probablement en même temps que traumax) :

Une scène résume tout le film : Michel Piccoli meurt en pétant et en chiant dans son froc plein de merde. A partir de là, on adhère ou pas.
44321
Non, je te trouve trop réducteur :oops2:

Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier

44322
Les grosses miches d'Andrea Ferreol sont aussi à mettre au crédit du film.
Sinon pour moi c'est un excellent film, la réalisation peut sembler datée, et elle l'est, le film ayant 43 ans.
44323
J'ai vu récemment le Péril Jeune, que je n'avais jamais vu avant.

Je dois dire que je ne peux pas sentir Romain Duris, qui a une tête à claques dans tous ses films. Mais là, vu qu'il joue un ado petit con à claquer, sa tête passe très bien, pour une fois :-D

Sorti de ça, le film est drôle. Par contre, le fait de ne le voir que maintenant, c'est comme tous les flims cultes : c'est bien, mais pas si folichon que ça.

Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.

http://soundcloud.com/djardin

44324
Citation :
Sorti de ça, le film est drôle. Par contre, le fait de ne le voir que maintenant, c'est comme tous les flims cultes : c'est bien, mais pas si folichon que ça.


Un film culte est amha un film qui s'inscrit totalement dans son époque, pas l'époque de déroulement du film, mais l'époque de sa sortie.
En ce sens, perso je l'ai vu dans le milieu des 90's, et alors que j'avais à peu près la même vie que les persos du film, pis avec aussi un proche tombé dans les grandes guerres de l'héroine.
Amha si on mate ce film pour la 1ere fois en étant largement plus agé que les persos du film, je pense qu'il parlera bien moins. Je vois pas comment on pourrait accrocher aux scènes débilement réalistes où ils prennent du LSD, par ex, ni aux délires de grand con de Vincent Elbaz.
44325
on peut accorder à ce film la capacité à marquer certaines personnes. Je l'ai entendu plusieurs fois comme " mon film préféré ".

Blackout ( 2006 mais ce n'est pas " Unknown ", lui aussi appelé " Black out " et sorti également en 2006 )

3 personnes bloquées dans un ascenseur pendant 1h15, le pitch était fait pour moi.
Ca aurait pu être sympathique, mais les flash back en veux tu en voilà ne sont pas ma tasse de thé.
Les changements de comportements sont assez grossièrement amenés, ce qui fait bobo à l'immersion et la crédibilité.
En short résumé, je dirais que ce film est l'équivalent audio visuel de ce que l'on appelle la " musique d'ascenseur ".

Pour tout dire, je suis tomber dessus par accident, cherchant le film " Unknown " avec Jim Caviezel ( je peux penser que le film est d'un autre calibre que la gentille bouse pré citée :-D )
Pitch > 5 personnes se réveillent dans un hangard, ne se souvenant de rien.

En film d'ascenseur je vais peut être essayer " Devil " qui bien que suintant du banal réchauffé m'intéresse pour le côté " huis clos ".

S'il y a d'autres fous qui apprécient particulièrement l'ascenseur comme unité de lieu audio visuel, je ne peux que conseiller fortement le visionnage de " Elevated ", le court métrage de Vincenzo Natali qui lui a permis de soulever des fonds pour faire son " Cube ".