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fairbec

Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...

yun_clive

Vu hier "Ouvert la nuit". Bon c'est pas le film qui va révolutionner le cinéma, mais c'était sympa. Les fans d'Edouard Baer retrouveront ses fulgurances verbales et son côté charmeur. Après, sous le déroulement plutôt simple du film et du scénar, y a pas mal de sentiments, de sous-entendus, un portrait aussi du monde du spectacle et des intermittents. On sent aussi le film fait "pour des potes, pour des coups de coeur". Mais l'humain est remis au centre des choses (comme toujours avec Baer), et ça fait du bien par les temps qui courent.

oryjen

a manière d'amener les choses est vulgaire, il se sert de la "musique". Personne ne doit se servir de la musique, elle doit intervenir, parfois, en décalé, comme dans Blow-Up ( Antonioni ). Lui, il nous propose une espèce de bouillasse à chaque moment qui devrait, si elle était absente, induire un moment de tension chez le spectateur. Il est tout le temps en train de guider, d'expliquer, il prend les gens pour des cons. C'est un républicain. Il a pas confiance, il pense que si wall street s'effondre les gens sortiront pour piller et s'entretuer dans la rue. C'est un republicain, il est fondamentalement bête. Il a pas confiance, il a besoin d'expliquer sa vision du monde simpliste de gars qui a pas confiance et qui pense que l'enfer remonte à la surface. Son premier film avait l'avantage d'être très inspiré par le Bresson de Pickpocket, on voyait pas encore trop sa bétise.

habon
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.

empism

Héui
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Will Zégal

WZ : "Qu'est ce qu'on attend" passe dans mon périmètre dans une salle sympa de ciné "alternatif". Je vais aller mater ça. Merci pour l'info
J'ai hâte d'avoir ton ressenti


Anonyme

L'île nue de Kaneto Shindo.
Poétique. Pudique. Symbolique. Des réminiscences de Jean de Florette pour le début du thème de la BOF.

empism

L'île nue, un film de 1960 tourné comme un film muet. Un doux désespoir s'installe quand on comprend qu'il ne sont que trois sur l'île. Et puis un évenement va tout chambouler... ( télé Z mars 1992 )
J'ai trouvé la musique un peu envahissante comparée à la magnificience des images et du son, je l'ai regardé une deuxième fois avec mes propres musiques, ce film est encore plus poignant avec une musique de carcasse qui s'entrechoque, de l'indus violent ( sans paroles ).
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Anonyme



Anonyme


Une forme de vie extraterrestre a été détectée dans le système solaire.
Une sonde est envoyée afin de recueillir des échantillons.
Malheureusement, cette dernière s'écrase sur terre, au Mexique plus précisément,
et on y voit se développer une race extraterrestre géante et belliqueuse qui ressemble
à des pieuvres géantes.
La fille d'un important directeur de journal s'y trouve tout comme un photo-reporter dudit journal.
Le directeur demande à son employé d'escorter sa fille jusqu'à la frontière américaine.
Bien filmé mais bien chiant.
Les acteurs je ne sais pas si ils sont bons...peut-être mal dirigés?
Le personnage du photoreporter est à baffer, c'est que finalement il est peut-être bien joué.
La fille du boss, n'a aucune consistance et ne dégage rien.
Les effets ne sont pas terribles, la mise en scène rate ses effets et les tensions sont si mal gérées qu'elles tombent à plat. Fin merdico-hilarante.
Je suis passé à côté du film (un téléfilm en fait) et je n'ai aucune idée de ce que le réalisateur a voulu montrer, raconter. Ah si !!! En fait des humains ou des monstres on ne sait pas qui est le plus monstrueux


Seul point positif: la musique ambient de John Hopkins.
[ Dernière édition du message le 15/01/2017 à 22:03:44 ]

Anonyme


will_bru


In the midnight hour, she cried more, more, more, with a rebell yell she cried more more more...

will_bru

ah tiens, maintenant je vois l'image dans le post de Kumo. Je pense avoir détecté un bug...
In the midnight hour, she cried more, more, more, with a rebell yell she cried more more more...

Anonyme


samy dread

Non je ne mettrai pas de pull

Djeeloo


qui a aussi commis le dernier Godilla US,

et s'est bien rattrapé avec Rogue One...

L'esprit c'est comme un parachute: Il marche mieux quand il est ouvert.

Anonyme

C'est bien Monsters de Gareth Edwards,
qui a aussi commis le dernier Godilla US,
et s'est bien rattrapé avec Rogue One...
Gareth Edwards, c'est ma jeunesse, c'est lui:

Godilla, c'est le film avec les chaussures mutantes ???

dana12

Gareth Edwards, c'est ma jeunesse, c'est lui:
+1

Incrédule sur tout, sceptique sur le reste

usw

Lui, il nous propose une espèce de bouillasse à chaque moment qui devrait, si elle était absente, induire un moment de tension chez le spectateur. Il est tout le temps en train de guider, d'expliquer, il prend les gens pour des cons.
Bon sang, oui ! j'ai tout de même remarqué que ce défaut était moins sensible dans Interstellar (à ma première séance la scène en voiture se fondant avec le décollage m'avait parue particulièrement gratinée et on retrouve ses verbiages explicatifs typiques plus tard dans la navette, ça m'a moins frappé la seconde fois...Inception et le prestige, en revanche :/).

Anonyme


oryjen

Il est vrai que je n'avais pas encore commencé à découvrir les histoires de Christopher Priest... Peut-on résumer les bons côtés présents dans le film à la grande qualité du bouquin dont il est inspiré?
Oui j'avais senti qqch comme ça dans Inception, cette manière de baliser très fort pour qu'on ne s'égare pas en vaines suppositions, mais j'avais bien aimé tout de même. Sur un sujet assez proche, j'avais bien mieux aimé Code Source.
Par contre les Batman m'ont semblé se tenir au plus haut point du ridicule.
Après tout ce sont des histoires pour les gosses, une certaine puérilité semble de mise. Cependant, un réalisateur avec des moyens devrait pouvoir poser sur cette histoire de "super-héros" un regard intéressant pour un public adulte...
J'avais trouvé Birdman très bon en ce sens, mais avec un tel doute (!) sur la "réalité" des pouvoirs du personnage principal que c'en est quasiment hors-sujet.
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
[ Dernière édition du message le 16/01/2017 à 08:36:03 ]

Anonyme

Il est tout le temps en train de guider, d'expliquer, il prend les gens pour des cons.
C'est vrai qu'un type faisant le pari de parler de concrétisation la théorie de la relativité et de sa limite pour un film mainstream, clairement il prend ses spectateurs pour des cons.

Pictocube

Le Rouge est mis.
On passe un bon moment.
Assez drôle le remake d'affiche pour la sortie DVD :
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier

pontchartrain

un classique Le rouge est mis par contre tu sais pourquoi ton affiche comporte le titre en néerlandais ? Dans le genre noir je préfère Le deuxième souffle, tourné qqes années plus tard, sans Gabin et avec Lino V dans le rôle principal, sans parler de l'armée des ombres, encore plus noir.

Pictocube

J'ai pris la première sur Google, pas fait gaffe.
+1 pour deuxième souffle, l'armée des ombres.
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier

Eolas


"Les reptiliens Chris, les reptiliens!" Ezechiel Miller

Will Zégal


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