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fairbec

Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...

Djeeloo

Mais au moins il est intègre avec sa vision et ne sacrifie pas le fond pour la forme,
même dans ses épisodes plus "mis en scène" du Fossoyeur.
Et il ne prend pas les gens de haut, ni ne pense que son avis est universel.
Contrairement à Durendal, à qui je filerai bien des claques parfois,
et dont je n'arrive pas à regarder ses critiques en entier,
en tout cas pas sans faire avance rapide ni passer en vitesse 1.25 voire plus!
Ses PJREVAT sont parfois bien construits et bien recherchés,
mais il faudrait qu'il redescende sur terre parfois...
Quant à Karim Debbache, je ne connaissais pas.
Je viens de regarder une de ses critiques (celle du film d'un ami

et c'est pas mal foutu et bien rythmé,
tout en restant intéressant sur le fond.
L'esprit c'est comme un parachute: Il marche mieux quand il est ouvert.

sqoqo


crossroads

Indiana Jones avec un arc, un peu de Largo Winch, un peu de Piège de Cristal, un peu de Sanctuaire (ouais la BD)... Parfois ça ressemble à du film d'action 80's, les effets spéciaux en plus.
Lara Croft survie à tellement de trucs, que quand elle fait des efforts de fou pour éviter une chute vertigineuse, t'as envie de lui dire : "Laisses toi tomber, de toute façon, tu vas t'en sortir!".
Evidemment,
Dispensable.
Instrumental/Ambient/Post-Rock : https://dzeta.bandcamp.com/
[ Dernière édition du message le 18/03/2018 à 16:12:03 ]

j-master


"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus

Anonyme

un peu de Sanctuaire (ouais la BD)...
Ça ferait presque envie du coup.


Vince_

Contrairement à Durendal
je n'ai pas omis pour rien.

Debbache tu peux y aller, même une chronique sur un yahourt nature serait passionnante de sa part.
sqoqo > belle mémoire, c'est éxactement ça.

revu Ghost Writer > mouais, belle ambiance, on est au chaud dans le film. Mais impossible de ne pas comparer avec " Un homme idéal " et là ça fait mal. Ce dernier est beaucoup plus prenant ai-je trouvé.
Mais l'intégration d'un milieu de la haute par un mec d'en bas est un thème toujours intéressant, sans doute par projection de son propre fantasme.
je recommande très fortement " Un homme idéal " pour peu qu'on n'ait pas de prescription médicale anti pierre Niney.
Il a commencé avec un aspirateur à claques en guise de tête mais à force faut reconnaître qu'il est ultra bon.
[ Dernière édition du message le 18/03/2018 à 17:28:52 ]

Anonyme

Citation :- Uranus :![]()
![]()
Le bouquin de Marcel Aymé est respecté à la lettre comme dans l'esprit. Les dialogues sont exactement les mêmes que dans le livre, pis ce casting : Noiret, Marielle, Blanc, Prévost, Luchini, Depardieu, Galabru,...
Oui, c’est énorme.
Sans dec', une scène de mort avec 2 balles dans la peau avec le gars qui fini par s'assoir sur une chaise de table d'écolier pour clamser sans que ça tourne au ridicule, je dis chapeau.

Vince_


quelqu'un aurait un avis sur " trois hommes à abattre " ?

n3m3s1s

Il vaut mieux se perdre dans sa passion que perdre sa passion

Vince_


Une aventure > bon il serait facile de dire qu'on s'est fait chier les 3/4 du film, mais ce serait un peu injuste.
Y'a de l'ambiance et de la vérité dans la relation Duvauchelle / Sagnier. Les 2 vont bien ensemble dans le sens où on comprend mal ce qu'ils disent. Peut être que ça donne un cachet " comme dans la vraie vie ", mais le manque de diction à ce point et aussi souvent, c'est faute professionnelle pour ma part.

oryjen

-Le Crime de l'Orient Express.
C'est bien fait mais je me suis fait chier.
-Blade Runner 2049.
Excellent à mon avis. Plus profond que le premier, qui avait des côtés kitsch insupportables (les décors, les bagnoles, les costumes). Une belle réflexion poétique bien menée.
-Annihilation. Pas mal. Un peu rapide et elliptique. Pas assez allusif. Les actrices, à part Portmann, ne sont pas terribles. Si vous restez sur votre faim après l'avoir vu, lisez le bouquin, qui est excellent.
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
[ Dernière édition du message le 21/03/2018 à 10:25:07 ]

Anonyme

je reste scotché de la scène de la mort de Léopold, alors je ne sais pas si Depardiou a été dirigé au cordeau par un cascadeur, si Berri a lui-même drivé, ou si il a juste dit à Gérard d'improviser, mais ouch.
Sans dec', une scène de mort avec 2 balles dans la peau avec le gars qui fini par s'assoir sur une chaise de table d'écolier pour clamser sans que ça tourne au ridicule, je dis chapeau.
Idem pour ses autres scènes, comme celles avec ses alexandrins maison (passez-moi Astyanax, on va filer en douce ! Attendons pas d'avoir les poulets à nos troussesc

J'ignore s'il a fait d'autres films avec lui.

Anonyme

Road movie/western. 1892, un soldat US doit escorter un chef cheyenne mourant vers sa terre natale.
Un beau western, assez rare pour être signalé, dur, violent, et pessimiste. Deux très beaux rôles pour Rosamund Pike et Christian Bale. Aide à comprendre pourquoi presque un peu plus d'un siècle après, la violence imprègne toujours les USA.
7/10.
[ Dernière édition du message le 21/03/2018 à 12:24:56 ]

Anonyme


Anonyme


Après j'ai juste quelques réserves quant à certains parti-pris de ressemblance à SW, dont j'ignore si c'est du pur et total hasard, ce qui est possible mais peu problable (une scène est totalement identique à une scène de SW VIII)
[ Dernière édition du message le 21/03/2018 à 18:33:10 ]

le reverend


A part la fin, fastoche
Ou alors j'ai compris et c'est trop simple. Bref je sais pas. Et pas le moindre sabre laser, décevant surtout qu'il y avait la princesse Amidala.
Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique ! :-( :-)

Vince_


Orygen > tu recommandes de lire le bouquin d'abord ou peu importe ?

oryjen

Le film se suffit à lui-même, mais c'est un peu condensé. Parfois ça gène un peu dans le déroulement du récit, ai-je trouvé (sans référence au bouquin).
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.

Vince_

En tout cas le titre sonne un peu trash et ça tranche avec l'image de Nathalie Portman...


oryjen

Elle se glisse à l'aise dans n'importe quel costume.
C'est une actrice professionnelle, contrairement à tant d'autres hélas.
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.

n3m3s1s

je vois bien l idee, mais le titre n est pas non plus "Putrefaction extreme"

ca sonne plutot comme Armageddon, un divertissement ^_^
Il vaut mieux se perdre dans sa passion que perdre sa passion

Vince_


[ Dernière édition du message le 22/03/2018 à 10:21:11 ]

oryjen

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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.

Anonyme

Bon je l'ai vu en duo comme chépluki ici le conseillait, avec Dunkirk de Nolan. Excellent conseil effectivement.
Je suis pas bon critique pour un film sur Churchill, qui avec George Mandel est le seul type de la droite dure et réactionnaire pour qui j'ai un profond et infini respect.
Bon, le film est historiquement à 99% exact, mis à part ptet la scène du métro dont j'ai jamais entendu parler.
Et c'est très bon, le film peu à peu prenant tout son sens dans le titre angliche (the darkest hours), de lol et 2ème degré, bah ça devient putain de sombre.
La scène où il parle avec le président US, Roosevelt (personnellement à 100% derrière le RU mais prisonnier d'un état de droit pas bien jojo), est super réussie : à ce moment là, ben Churchill est seul au monde.
Seul au monde contre les nazis, seul au monde contre le monde lui même, bah il a beau s'enfiler 50cl de sky dès potron minet, il en a pas moins les commissions dans le filet.
Amha ce film rend correctement hommage à une personne qui si elle n'avait pas été là pendant l'été 40, bah je préfère même pas imaginer ce que seraient l’Angleterre, l'Allemagne, la France, le monde, en 2018.
Et Gary Oldman, il joue pas, il est Winston CHurchill.

Anonyme

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