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fairbec

Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...

Traumax

Et ouais moi aussi mais ça semble totalement fortuit
J'imagine difficilement Dupieux passer a côté de hypnofli Invasion. Sans être mainstream, c'est quand même pas underground.

Silverfish Imperatrix

Dans un futur proche, lutte des classes entre les derniers survivants d'une époque glaciaire coincés dans un train qui roule à toute berzingue.
Excellent, bien réalisé, bien filmé, beaucoup d'originalité dans le traitement, une histoire qui tient la route (le rail), de bons acteurs et une réflexion sur ce qui va nous arriver si la planète continue à se refroidir.
Un bon 16/20.
M'a donné envie de voir d'autres films du même réalisateur, et décidément de me pencher plus vers le cinéma sud-coréen.
Mon thread sur le jazz, principalement bop et post bop:

sqoqo


Silverfish Imperatrix

Mon thread sur le jazz, principalement bop et post bop:

KoalaMan

Ce soir j'ai vu Shaft 2019 en faisant la vaisselle. Le plus intéressant est qu'il me faut environ 17 secondes pour laver un verre à pied. À éviter, c'est un film qui a tous les sales cotés des films des années 70-80 en y ajoutant le propos que c'était mieux avant. C'était mieux avant que je mette le film en route, oui.
On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel.
[ Dernière édition du message le 06/07/2019 à 23:43:28 ]

Pictocube

Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier

Silverfish Imperatrix


Mon thread sur le jazz, principalement bop et post bop:

Dr Pouet

S’entretenir avec Leiji Matsumoto, c’est voyager dans un univers vaste et grouillant d’idées. Il faut s’attendre à zigzaguer parmi les souvenirs, accepter de se perdre dans les confins de sa carrière de mangaka prolifique de 81 ans avant d’être ramené durement aux contraintes horaires d’un emploi du temps chargé d’un invité de marque.
Une expérience souvent déroutante qui après tout sied bien à l’imaginaire de ce maître du space opera et de la science-fiction japonaise, créateur de héros sensuels et désinvoltes : le corsaire de l’espace Albator (Harlock dans sa version originale) mais aussi son pendant féminin Queen Emeraldas ou la mystérieuse Maetel de Galaxy Express 999. L’auteur majeur de la bande dessinée des années 1970 que les Français ont découvert via les séries d’animation diffusées dans Récré A2 est revenu une vingtaine d’années plus tard, en 2003, sur les radars français en signant Interstella 5555, un long-métrage pour accompagner la musique du duo électro Daft Punk.
Chouette interview de Leiji Matsumoto :
https://www.lemonde.fr/pixels/article/2019/07/07/leiji-matsumoto-createur-d-albator-la-france-est-quelque-part-entree-dans-mon-adn_5486445_4408996.html

le reverend

Le Shaft d'origine, je l'avais trouvé extrêmement cool.
Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique ! :-( :-)

Anonyme

Mais quel tas de merde !

Les poses sont ridicules, tout semble figé, je sais pas si les autres films étaient comme ça, en tout cas autant en emporte le vent, plus ancien, ne m'a pas fait du tout cette impression...
Pis le choix du casting est assez lol : des irlandais jouent les égyptiens, des espagnols et des ritals des juifs pur teint, des sénégalais les éthiopiens.
le mec qui fait Ramses I ressemble à Raymond Barre. Ramses II c'est Yul Brynner, mais le pauvre est à c^poté de la plaque total.
J'étais persuadé que Cecil B De Mille était une influence majeure pour G.Lucas et SW, je crois que je confonds total avec le réalisateur de Ben Hur dont j'ai oublié le nom, film sorti peu après mais absolument pas du tout du même level. (et là clairement George Lucas a tout repompé de Ben Hur, depuis la course de char jusqu'au casting ricain pour la ragougnasse juive et anglais pour l'aristocratie romaine).

KoalaMan

On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel.

Anonyme


Silverfish Imperatrix

Mon thread sur le jazz, principalement bop et post bop:

Silverfish Imperatrix

U2 tu sais très bien qu'il faut pas juger les films anciens avec des critères d'aujourd'hui.
Mon thread sur le jazz, principalement bop et post bop:

Anonyme



Dr Pouet

c'est hyper empathique
Emphatique non ?

Je crois que Cecil B2000 est plus reconnu pour le nombre de ses figurants que sa direction !
Mais l’emphase était plus courante dans les vieux films que maintenant. Peut-être par habitude du muet où tout était surjoué à fond. Possible qu’il y en ait aussi dans « les enfants du paradis ». Possible aussi que ce soit mieux dirigé.

Deux remakes plus tard, c'est de la merde. Plus le temps passe, plus Samuel L Jackson donne l'impression de vouloir refaire Pulp Fiction dans chacun de ses rôles. Je veux bien un titre de film où il ne joue pas ce personnage déjanté badass imprévisible.
Souvent ce sont beaucoup plus les metteurs en scène qui emprisonnent un acteur dans un personnage, plutôt que le choix ou le souhait de l’acteur. Il y a plein de témoignages là-dessus. Celui de De Funes notamment.

Point-virgule

Du coup, ça me fait penser à Dernier train pour Busan, déclinaison du thème des morts-vivants, et qui m'avait bien fait kiffir.
J'ai vu Premier contact aussi, et c'est assez bon anéfé. J'aime bien ce plaidoyer sur le lien entre langage et existence.
J'ai vu aussi Du sang et des larmes, film d'action militaire. Ça se regarde, si on est pas trop exigeant (édit : à la gloire des Navy Seals évidemment mais de part l'histoire vraie, pas trop manichéen à l'égard des Afghans).
« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫
[ Dernière édition du message le 07/07/2019 à 13:43:53 ]

Traumax

Pour les fans de la bayday, une prequelle est sortie cette année, avec les auteurs originaux aux commandes. Ca raconte pourquoi/comment le train.

Anonyme

Emphatique non ?![]()

Mais l’emphase était plus courante dans les vieux films que maintenant. Peut-être par habitude du muet où tout était surjoué à fond.
c'est exactement ce que je me suis dit, tout en gardant à l'esprit que ça ne concernait pas tous les films pré 60's et loin s'en faut (et n'a pas forcément disparu en 1960 du jour au lendemain....)

KoalaMan

Souvent ce sont beaucoup plus les metteurs en scène qui emprisonnent un acteur dans un personnage, plutôt que le choix ou le souhait de l’acteur.
Je comprends bien, mais SLJ n'est pas obligé d'accepter les rôles où il joue le grand Noir un peu barjot où le scénario tire encore un peu sur la ficelle de la blacksploitation. Je voudrais bien le voir dans un rôle de gentil comptable séduit par une Indienne en fauteuil roulant. De leurs différences naitra leur force. Prix du public du festival du film d'auteur de Sanary-les-bains.
On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel.

Anonyme



Dr Pouet



Point-virgule

« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫

Anonyme


Dr Pouet

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