Derniers films vus
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fairbec

Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...

Polaroil

"And in the end, the love you take is equal to the love you make"

Ho'Dog

LE ROI LION 2019
Remake de celui de 1994, très fidèle au premier. Epoustouflant, magnifique, une réussite visuelle unique quand on sait (ou plutôt qu'on a du mal à croire) que tout est réalisé avec des ordinateurs
Toute la family avait déjà vu l'ancien, et bien ça n'a posé absolument aucun problème.
vu hier...
effectivement, c'est presque plus facile d'integrer le fait que des animaux parlent que de se dire que rien n'est réel

Simba petit

PK crew( à l'abandon) / Mixcloud / 3'ks
En vrai t'es Eddie Barclay avoue :oops2:

Buzzless

J'aurais mieux fait d'aller me couper les ongles des pieds.
Pour sa défense, j'ai subit ce film avec cet espèce de contraste hyper réaliste à la mode, façon filmé à la gopro, ce qui m'empêche immédiatement de rentrer dans un film :mode vieux con ct mieux avant:
Ma belle doche avait comparé ça à un Tarantino, no coment.
Je le regarderai à nouveau avec un mastering image "normal" histoire de constater ou pas les mêmes choses :
Jeux des acteurs pénible
BO chiantissime
Gros écarts dans le mastering audio.
J'en attendais peut-être trop, aimant bien les acteurs présents dans ce film.
Drôle, pertinent, ou informatif qu'y disaient ... Et sans fautes !

Alx33

Citation de usob :I don't feel at home in this world anymore
bonne BO.
C'est du Patrick Watson ? Car c'est une phrase du refrain d'une de ses chanson..
Vers la fin du film on entend une chanson folk avec ces paroles, ça doit être ça...
Nope, la chanson de Patrick Watson (Alone in this world) n'est pas dans le film. La chanson qu'on entend c'est celle-ci :
Quand je conduis pas j'ai peur.

zekragash



El Migo

De quoi voir quelques films
Alita-Battle Angel : j'ai bien aimé
Glass : Vraiment chouette
Bohemian Rapsody : j'ai lâché l'affaire au bout de 20mn, une bouse.
Le chien bleu : un court métrage primé, j'ai pas été jusqu'au bout, pourtant 17mn c'est pas long.

Frajean

C'est un peu le bordel:
149 minutes (2 h 29) version cinéma de 1981
300 minutes (5 h 0) version télévisée de 1985
209 minutes (3 h 29) director's cut de 1997
282 minutes (4 h 42) Original Uncut de 2004
J'ai le DVD sous les yeux, acheté en 99. La jaquette indique 3h36', ce qui doit correspondre à tes 3h29' ; une histoire de vitesse entre le 24 et le 25 images/secondes...
Par ta faute, je me programme un visionnage ce soir


Silverfish Imperatrix


Mon thread sur le jazz, principalement bop et post bop:

Will Zégal

C'est l'histoire d'une jeune femme, mère célibataire, qui sort de taule pour vente de drogue.
J'allais dire que la donzelle est rock'n'roll, mais non, elle est country. Avec son joli brin de voix, elle se rêve à Nashville pour conquérir la gloire.
Sauf que pour une gosse des quartiers populaires, il y a loin de Glasgow à Nashville. Surtout avec la responsabilité de deux gamins.
Je suis partagé. Côté très bon :
- l'actrice principale Jessy Buckley (apparemment remarquée dans Chernobyl), également chanteuse et d'ailleurs auteur d'une partie des chansons du film
- tous les acteurs (la mère, Julie Walters, est excellente)
- l'ambiance : on se croirait chez Ken Loach. Avec en plus un savoureux accent écossais.

- la réal. Quelques très beaux plans, parfois un peu alourdis par un plan supplémentaire à mon avis superflu
Dommage d'avoir rajouté ensuite un plan sur le visage de la mère.
Côté moins bon, une histoire sommes toutes classique avec le happy end syndical dans une scène finale qui s'étire un peu en longueur. Et si le personnage (et l'actrice) qui l'incarnent font sentir quelque chose de fort, ça ne passe quand même pas le mur de la scène. Même si l'actrice a vraiment un joli brin de voix, on ne voit pas vraiment ce qui la distingue de milliers d'autres chanteuses qui ont d'aussi jolis brins de voix et qui pourrait justifier un succès. C'est d'ailleurs un des sujets abordés par le film.
Seule scène qui va dans ce sens, c'est le moment où après sa sortie de taule, elle va reprendre sa place sur la scène du club local en virant littéralement le trou du cul qui l'avait remplacé. Dès qu'elle prend le micro, on voit le groupe qui était à deux de tension se mettre à jouer vraiment et le public se réveiller.
J'ai beaucoup aimé cette scène qui montre bien à quel point un.e vrai.e chanteur.euse peut transcender un groupe, mais le mec qu'elle remplace était tellement plat que ça ne prouve pas grand chose.
Bilan : film à recommander pour passer un bon moment. C'est du bon ciné, avec une bonne réal et de bons acteurs, mais pas un film impérissable.
[ Dernière édition du message le 24/07/2019 à 12:58:18 ]

Pictocube

C'est un sujet déjà vu, rien d'original et pourtant c'est assez bon. Pas de prouesse de caméra ou de scénario même si c'est bien fait, des acteurs d'un réalisme saisissant en revanche, ça vaut le détour juste pour ça. Les dialogues sont plutôt maîtrisés, l'histoire est vraie, on comprends, elle résonnera en chacun d'une certaine manière mais on s'y retrouve aussi forcément à un moment, personnellement ou à travers quelqu'un qu'on connait.
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier

Anonyme

8 heures d'avion
J'espère que t'étais bien couvert en descendant de l'avion en Guadeloupe ou à Saint-Martin, environ 15° de moins qu'à Paris.
Heureux homme qui va chercher le frais sous les tropiques.


Will Zégal



El Migo

Citation de youtou :Citation :8 heures d'avion
J'espère que t'étais bien couvert en descendant de l'avion en Guadeloupe ou à Saint-Martin, environ 15° de moins qu'à Paris.
Heureux homme qui va chercher le frais sous les tropiques.
C'est exactement ça en plus.
Si les températures sont assez similaires, le ressenti est bien différent, avec un alizé câlin qui souffle H24.
Et puis ici on est équipé pour tout :
ventilateurs dans toutes les pièces, clims dans la chambre.
C'est la sécheresse ici aussi (jamais vu ça à cette époque) mais comme la seule eau qu'il y a sur l'île est de l'eau de mer dessalée, no problemo.
En plus des méduses et des Chinois, il restera peut-être quelques Saint-Martinois après l'Effondrement

Anonyme

Bon, toujours probablement à cause de la canicule quo m'a rendu moitié fou, j'ai carrément apprécié en fait, y compris et même surtout les rajouts totalement absents du livre.
Depiis début juin je m'étais retapé les bouquins et les films du seigneur des anneaux, ceci explique probablement celà.
A la rigueur le 2ème film est totalement inutile, on peut passer direct du 1er au 3ème sans trembler, les 2 sont plutôt bons/très bons l'histoire, les personnages, j'ai bien accroché. Après, je crois qu'il faut être parrticulièrement bien disposé pour mater ça, et être à la base un peu fan et/ou connaitre l'univers du truc.
C'est ptet ça la différence entre la trilogie de LOTR et du hobbit : la 1ere donne envie de lire les bouquins si on y connait rien (ce qui a été mon cas), dans la 2ème, si on connait pas le lore, l'endormissement est à craindre.

dana12




Incrédule sur tout, sceptique sur le reste

Anonyme



A la rigueur le 2ème film est totalement inutile
j'ai beaucoup aimé le dialogue avec Smog et rien que pour ça je le sauve.
[ Dernière édition du message le 26/07/2019 à 12:07:49 ]

Anonyme

La bataille finale dans le troisième volet est carrément extraordinairement filmée/montée/effetspécialisée. Un must![]()
![]()
C'est marrant que tu dises ça, j'ai également été positivement impressionné par le montage, clairement identique au final de SW I, avec une multiplicité de personnages, de lieux et d'histoires différentes sans jamais qu'on soit largué, au contraire, le tout pour finir en catharsis avec la mort d'un héros. Le tout sans un seul ralenti bien sûr.
On retrouve pile ce type de montage dans rogue one.
J'ignore totalement si c'est G.Lucas qui a initié le truc, d'ailleurs lui-même ne l'a vraiment utilisé que pour le I et le VI.

Javier Guante Hermoso


Anonyme



Will Zégal

Et quitte à se faire mal, autant foutre la sauce : j'ai privilégié une extended version, genre à la base 2h50 ça faisait court.
Bon, toujours probablement à cause de la canicule quo m'a rendu moitié fou, j'ai carrément apprécié en fait
J'ai pas vu le Hobbit, mais pour LOTR, pour moi, il n'y a pas photo entre les versions courtes et longues. Les versions courtes sont au mieux sympathiques, les versions longues sont d'un tout autre intérêt.

Ninspade

Je l'ai vu hier soir. Je n'en suis pas sorti complètement indemne. Bon, si on m'avait demandé mon avis (mais personne ne le fait jamais) j'aurais plutôt donné la palme d'or à Douleur et gloire d'Almodovar.
Ce réalisateur a déjà commis Mother qui était super bien fait et plein d'humanité, mais pas drôle du tout.
Parasite part comme une farce à caractère social et s'enfonce (ce verbe est choisi rapport aux différents plans utilisé et non comme une critique) dans une satyre sanglante de nos sociétés OCDEisante. Et quels que soit les efforts que font les pauvres pour sortir de leur statut social, à la fin ils perdent. C'est du Ken Loach sud-coréen en beaucoup moins optimiste.
A la fin du film, j'ai surtout repensé à ce rapport de l'OCDE (encore ?) de juin 2018 qui énonçait qu'il fallait 6 générations pour qu'une famille française pauvre atteigne le revenu moyen. L'ascenseur social est un escargot neurasthénique.
Cela dit, les acteurs jouent juste, certains plans sont très intéressants et bien que le film soit plutôt long (2h15'), la durée ne pèse pas.
Moralité du film (selon moi) : Intelligent ou pas, capable ou pas, l'odeur de la pauvreté te colle à la peau.
http://www.reverbnation.com/approxmusic
http://ilyr.bandcamp.com/releases
http://www.soundcloud.com/ninspade

grozeil



le reverend

Ben Willis, un étudiant aux Beaux-Arts, décide de quitter sa petite amie, mais elle réagit très violemment à cette séparation et cela le trouble fortement. Devenu insomniaque à la suite de cette rupture, il se met à travailler de nuit au supermarché du coin pour tuer le temps et surtout arrêter de penser à Suzy.
Là, il fait la connaissance de quelques personnages hauts en couleur qui cultivent, chacun à leur manière, l'art de tromper l'ennui pendant les longues heures de travail.
L'art de Ben consiste à imaginer qu'il suspend le temps, ce qui lui permet d'apprécier « en mode pause » la beauté du monde et des êtres qui le peuplent. Il est particulièrement sensible au charme de Sharon, la discrète hôtesse de caisse qui détient peut-être la clé de ses insomnies
Ce film me fascine toujours autant par sa poésie (et certains plans très esthetes)
Film pas trop connu je pense.
Et l'actrice Emilia Fox qu'on peut trouver totalement quelconque au début du film y devient une vraie beauté.
Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique ! :-( :-)

wildchild666

- Vous êtes contre tout ce qui a été fait depuis la dernière guerre...
- Vous vous trompez de date. Je suis contre tout ce qui a été fait depuis Adam

Vince_

Parasite
Je l'ai vu hier soir. Je n'en suis pas sorti complètement indemne. Bon, si on m'avait demandé mon avis (mais personne ne le fait jamais) j'aurais plutôt donné la palme d'or à Douleur et gloire d'Almodovar.
tout pareil, Parasite est sympa, mais déjà vu, plein de clichés tout ça.
J'ai préféré Tel père tel fils ( Kore Eda ? ) , ce dernier meilleur que la palme d'or " affaire de famille " amha.
et Pareil pour le dernier Almodovar, un chef d'oeuvre pur et simple. Ca respire l'art à tous les plans, le jeu des acteurs est une leçon, c'est très pictural aussi.
A l'instar d'un Lars Von Trier avec son " House that Jack built " s'il termine sur un film pareil, il peut dormir tranquille.
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