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Sujet Derniers films vus

  • 58 603 réponses
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Sujet de la discussion Derniers films vus
Pour ma part ce w-e, c'est 'les invasions barbares' (d. arcand) et 'goodbye lenin!' (w. becker)

Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?

Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
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28771

Le Frelon Vert de Michel Gondry

J'avais adoré "Eternal sunshine of the spotless mind", beaucoup aimé "Be kind, rewind" et je ne suis pas déçu par son blockbuster dynamité.

Ph'nglui mglw'nafh Cthulhu R'lyeh wgah'nagl fhtagn. Iä Cthulhu. Iä Yog Sothoth.

28772
Hier, soirée débile :

Mega python vs Gatoroïd
L'histoire : après que des activistes pour les droits des animaux (décidément ils sont vraiment dangereux) aient relâché des serpents sur lesquels avaient été effectuées des expériences, ceux-ci deviennent dangereux pour le village de rednecks. Du coup, la shérif du comté à la poitrine infinie décide de donner des stéroïdes aux alligators (d'où le terme "Gatoroïd", suivez un peu) après les avoir injectés dans des poulets. S'en suit une longue guerre entre Pythons et Gatoroïds qui, en se mangeant mutuellement leurs oeufs, deviennent de plus en plus gros. Je vais pas vous raconter la suite, j'ai déjà trop spoilé...

J'ai rarement autant ri devant un tel film. Il y a tout ce qu'il faut : des incrustations foireuses, des dialogues poignants, mais surtout ce qui fait tout son charme ce sont les scènes qui s'enchaînent n'importe comment, et aussi la bande son, culte ! On passe de la techno à la country en 2 mn, puis, bien sûr la petite musique traditionnelle et mystérieuse quand l'indigène apparaît.

Du coup, fiers de notre trouvaille et dans une ambiance dithyrambique on a continué avec :
Pyranha
Et là, beaucoup moins de choses à dire, c'est pas trop nul, il faut bien entendu prendre tout ça au second degrés, mais bon ça casse pas des manivelles. Néanmoins, le côté Springbreak avec des filles à poil ou topless partout, une histoire de love dans le fond, Doc (oui oui, de retour vers le futur !) font que le film se laisse regarder, et puis le gore gratuit est pas trop mal fait j'ai trouvé.

- Vous êtes contre tout ce qui a été fait depuis la dernière guerre...
- Vous vous trompez de date. Je suis contre tout ce qui a été fait depuis Adam

28773

Source code, il passe au ciné en se moment ? c'est typiquement le genre de flim qui plairait à ma blonde.

 

Sinon vu ce week end : Walk the Line, le flim sur Johnny cash. Une idée de ma soeur : le côté country a bien plu à mon papounet, l'histoire d'amour a plu à ma mamounnette.

Après, je ne connaissais pas du tout Johnny cash, ni sa musique avant. Et même si le film est bien (quoi qu'un petit peu long), ben ça me fait pas aimer sa musique, et surtout pas sa personne (le côté alcoolique super chiant, c'est pas mon truc, mais bon). Sinon le côté Amérique profonde des années 40 à 70, les débuts du Rock'n'Roll, les 1ères tournées, etc, c'est sympa à voir.

Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.

http://soundcloud.com/djardin

28774
Voilà ce qu'il te dit, Johnny Cash :x:
1970451.jpg
28775
:bravo:

One Breath III : Find out the end of the story, piece by piece : WBBTMR - One Breath III

Y a pas à dire, dès qu'y a du dessert, le repas est tout d'suite plus chaleureux...

28776 
Marrant ça : on l'a maté hier soir avec ma blonde. icon_diablotin.gif


Ca a été un sacré personnage comme même, mais ce qui me l' a rendu le plus attachant, c'est son clip de la reprise de NIN "Hurt".


Ca fait vraiment testament cette chanson interprétée par lui, c'est poignant...


 


Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique !  :-( :-)
[ Dernière édition du message le 27/04/2011 à 01:33:31 ]
28777 
Citation de elepant stone :




 


Le Frelon Vert de Michel Gondry


J'avais adoré "Eternal sunshine of the spotless mind", beaucoup aimé "Be kind, rewind" et je ne suis pas déçu par son blockbuster dynamité.




+1


Cette fois, je crois que nous sommes complètement ça y est c'est foutu...
28778 
Citation de : Djardin




Source code, il passe au ciné en se moment ? c'est typiquement le genre de flim qui plairait à ma blonde.




Elle est donc lycéenne et par conséquent elle réfléchit vacheument beucoup ?


Ph'nglui mglw'nafh Cthulhu R'lyeh wgah'nagl fhtagn. Iä Cthulhu. Iä Yog Sothoth.
28779 
Vu "Lemmy", film docu consacré donc à Lemmy Kilmister de Hawkwind et Motörhead.



Le docu est décevant par son traitement très "lèche-bottes" du personnage, l'intervention de témoins assez peu légitimes. 

Malgré ses travers très "Rock n' roll?" (collection d'objets et vêtements nazis, consommation excessive de Jack & Co) qui sentent fort la misère sociale à l'anglaise, le personnage reste assez sympathique et il y a quelques moments de rigolade.



Le Classic Album consacré à "Ace of spades" est limite plus intéressant et instructif. Pour les fans seulement (qui n'ont pas peur d'être déçus). 

"And in the end, the love you take is equal to the love you make"


Mes annonces de matériel guitare
28780 
http://www.wildside.fr/get/medias/oeuvres/hd_1600x1280_nuages-flottants-recto-0698034001250187975.jpg,nuages-flottants-recto-jaquette.jpg



Japon 1955

Tiré du roman du même nom paru en 1950

écrit par Hayashi Fumiko .









1945. Le Japon de l’après-guerre est occupé par les américains. Le pays fait face à une grande précarité. C’est dans ce contexte que se retrouvent la jeune et belle Yukiko et l’ombrageux quadragénaire Kengo. Ils se sont rencontrés en Indochine et avaient prévu de se revoir une fois qu’ils seraient l’un et l’autre de retour au Japon. Kengo avait promis à Yukiko qu’il divorcerait pour se marier avec elle. Mais la situation du Japon étant ce qu’elle est, les choses seront un peu plus compliquées.









Au départ le film a une trame romantique classique façon ligne droite et je me suis dis que j'allais m'ennuyer, que ça avait l'air cul-cul etc etc...

Mais en fait tout ça se transforme au fur et à mesure et devient une histoire singulière avec quelques virages bien sentis.



Cela est probablement du au fait que les personnages sont non seulement complexes et forts mais qu’ils sont aussi très bien interprétés par les deux excellents acteurs principaux. 

Masayuki Mori qui joue le rôle de Kengo est une vraie gueule du cinéma. L’actrice Hideko Takamine qui joue le rôle de Yukiko offre une palette d’expressions à la fois brute et nuancée.



On s’attache vraiment à eux car le réalisateur nous fait passer du temps avec eux (un peu plus de 2h) lorsqu’ils se trouvent dans différentes périodes/situations. Nous pouvons ainsi en saisir de multiples facettes. Le couple de personnage/acteur réussi donc une alchimie rare et impressionnante qui vous tient jusqu’au bout. 

Si ce film avait été fait à Hollywood (dont il semble s'inspirer dans la réalisation) à la même époque il serait à coup sûr un grand classique du cinéma américain/occidental.