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fairbec

Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...

Ouatisit

En Inde, un homme cherche à se venger de ceux qui sont responsables de la mort de sa mère et des habitants de son village.
Une sorte de John Wick à l’indienne, survitaminé et sans temps morts, à part quelques scènes mystiques histoire de reprendre son souffle.
Le temps de mettre en place l’histoire, après ça dépote sévère !
4 bourre-pifs / 5

Point-virgule


3.5 « ondes positives » sur 5
« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫
[ Dernière édition du message le 04/07/2025 à 22:48:03 ]

kosmix


Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
[ Dernière édition du message le 04/07/2025 à 15:35:09 ]

Point-virgule

« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫
[ Dernière édition du message le 05/07/2025 à 09:26:43 ]

Ouatisit

Dans un monde similaire au nôtre, le célibat est interdit. Pour y remédier on vous envoie dans un hôtel où vous avez 45 jours pour trouver l’âme sœur, sinon vous serez transformé en un animal de votre choix et relâché dans la nature.
Un scénario original, on souri de situations absurdes, mais il y a aussi des passages sombres.
Le rythme du film est lent et, il faut le dire, il y a des parties chiantes qui donnent envie de décrocher du film.
2 fléchettes / 5

Polaroil

Une enquête dans le style Simenon/Maigret, avec un petit côté Poulet au vinaigre, sauf que c’est Noiret et Guy Marchand qui s’y collent, brillamment d’ailleurs.
Jusque-là on est dans un pur film français avec de sales histoires de bourgeoisie de province.
Mais Le film est incroyablement daté, notamment à travers le traitement des personnages féminins : toutes les femmes y sont minces, sexy dénudées, infidèles, ingénues ou salopes perfides, potiches ou transparentes, et sont clairement traitées comme telles, bien que centrales dans l’histoire.
En tous cas c’est parfaitement raccord avec le MeToo du cinéma français, où on rassemble sur le tournage un maximum de petites pépées pour les foutre à poil et les tripoter.
Je me demande si cela est parfaitement volontaire ou inconscient de la part du réalisateur à l’époque, dans la mesure où le film se regarde plutôt bien.
Je veux bien un 2ème avis vu de 2024
"And in the end, the love you take is equal to the love you make"

Point-virgule

Je veux bien un 2ème avis vu de 2024


« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫

Polaroil

"And in the end, the love you take is equal to the love you make"

kosmix

Vu Noyade interdite hier sur Arte, film de Granier-Deferre de 1987.
C'est lui qui a fait "Adieu Poulet" (1975 avec Ventura et Deware) qui est aussi très très daté au niveau société et mentalité masculine.
Sinon j'ai maté quelques films qu'un ami cinéphile (fan de SF/fantastique comme moi) m'a prêté :
Je vous ai déjà fait un retour pour Asylum (film à sketches de la Amicus, dans un asile psychiatrique) et Cruising (Al Pacino en flic infiltré dans le monde gay en 1980), j'ai depuis vu Le Caveau de la Terreur (1973, de Roy Ward Baker) également film à sketches de la Amicus (qui d'ailleurs n'a à ma connaissance produit que des films à sketches). Moins bien que Asylum, bien qu'influencé par Les Contes de la Crypte de DC Comics. Ça se veut plutôt "léger" et humoristique mais c'est quand même très moyen, beaucoup moins fun que la série du même nom. Reste que comme dans les comics la morale est toujours sauve à la fin, les méchants (qui possèdent tous les vices et sont de véritables crapules) finissent toujours mal.
Vu également une véritable pépite mais dans le mauvais sens du terme : Le Retour de l'Abominable Docteur Phibes, toujours incarné par Vincent Price. Le premier était passable, vraiment pas terrible en vérité mais avec un concept amusant : une vengeance inspirée par les 10 plaies d’Égypte. Dans cette suite, le Docteur se rend effectivement en Égypte en quête de vie éternelle pour lui et sa morte épouse Victoria (c'est elle qu'il vengeait dans le premier épisode). On a ici un film que je qualifierais de minable

- Les diverses morts (exécutions) sont peu imaginatives et surtout très mal réalisées (maquillages et effets spéciaux pitoyables au possible)
- Les décors sont kitchissimes, on n'y croit pas un seul instant : le docteur a une base secrète en plein désert, avec l'électricité pour son incontournable orgue strident et son orchestre d'automates produisant une "musique" cacophoniesque, tout cela dans une grotte qui se veut une tombe égyptienne en carton-pâte...
- La musique est insupportable, en plus d'être nulle elle pète les oreilles avec un son aigu et criard

- La jolie Vulnavia qui seconde le docteur, toujours aussi muette et mystérieuse : on n'apprend strictement rien d'elle, on ne sait pas qui elle est, d'où elle vient et d'où elle tire ses pouvoirs magiques, ce qui est décevant car concernant le docteur on sait par-exemple que c'est une ancienne star de music-hall et qu'il est expert en sciences, technologies, automates etc.
- Pour couronner le tout ce bon vieux docteur nous assène en permanence ses longs monologues indigestes et indigents (vengeance et vie éternelle répétés en boucle pendant 1h30)
En résumé vous l'aurez compris, une daube intégrale à l'esprit bien British. Finalement le seul intérêt, si on est pas trop exigeant, vient du couple de flics de Scotland Yard, une espèce de duo comique à la Dupond et Dupont.
Zéro pointé pour le docteur

Cet après-midi je suis passé à Easy Cash faire le plein de films pour les vacances et j'aurai donc d'autres pépites à raconter : L'Avion de l'Apocalypse (Umberto Lenzi responsable du - très - mauvais Cannibal Ferox), La Nuit des Vers Géants (1977), Mega Pirana (d'après la jaquette un bon nanar bien débile), La Nuit de la Mort (film d'horreur français avec Charlotte de Turkheim, 1980), L'Homme au Masque de Cire (Vincent Price, 1953, remake de Masques de Cire, 1933), The Night (2020), Captivity Le Prisonnier de Mars (SF, 2021), Butcher II ("2 fois plus gore" nous dit la jaquette

À bientôt donc !
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
[ Dernière édition du message le 08/07/2025 à 20:13:40 ]

Elemmir

Le Retour de l'Abominable Docteur Phibes
Tout à fait le genre de film qui passerait bien sur la chaîne "Drive In Movie Channel !
Quand on est entre une scéance de séries d'Elemmirette et les courses quotidiennes, on tombe souvent sur cette chaîne qui diffuse des tout vieux films, des trucs plus récent nuls ou nanars, kungfu kitsch... Regarder tout ça par morceaux, dans un ordre aléatoire, mélangés à d'autres films, c'est marrant.
La flemme est l'avenir de l'homme. Pff, jsuis fatigué je ne vais pas plus lo..
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