44,1Khz, 48Khz, 88Khz ou 96Khz en 2020 ?
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Shankar
17
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 16 ans
Sujet de la discussion Posté le 26/01/2020 à 22:13:3944,1Khz, 48Khz, 88Khz ou 96Khz en 2020 ?
Bonsoir,
Je me suis énormément pris la tête pour savoir quelle serait la meilleur fréquence pour travailler lorsque je créer, lorsque je mixe ou masterise mes morceaux.
Cette question, vous l’avez tous entendu un paquet de fois, cependant, nous sommes en 2020.
Les ordinateurs ont évolués, les plugins aussi.
Aujourd’hui la plus part des plugins prennent en compte l’oversampling, l’anti-aliasing…
La vérité d’hier est elle la même qu’aujourd’hui ?
Perso, Je boss all in the box.
J’ai un mac puissant, et je peux donc me permettre d’avoir des sessions bien chargé avec de belles emulations de Synthés, Reverbes, EQ, Compresseurs, Saturations, Tapes… pour traiter, Cleaner, ajuster ou même juste colorer le son.
Tous ces traitement génèrent aussi des artefacts qui viennent polluer mes mixes et je suis très soucieux de la qualité de mes mixes.
Je suis passé depuis peu au 96Khz, et j’ai vraiment le sentiment d’avoir gagné en définition et en largeur.
Malheureusement mon processeur à pris un un bon coup dans la gueule et mes disques dure se remplissent bien plus vite qu’avant
Je ne suis toujours pas sur de mon choix quand je met tout cela sur la balance.
Et vous aujourd’hui, vous bossez toujours comme avant ?
Je me suis énormément pris la tête pour savoir quelle serait la meilleur fréquence pour travailler lorsque je créer, lorsque je mixe ou masterise mes morceaux.
Cette question, vous l’avez tous entendu un paquet de fois, cependant, nous sommes en 2020.
Les ordinateurs ont évolués, les plugins aussi.
Aujourd’hui la plus part des plugins prennent en compte l’oversampling, l’anti-aliasing…
La vérité d’hier est elle la même qu’aujourd’hui ?
Perso, Je boss all in the box.
J’ai un mac puissant, et je peux donc me permettre d’avoir des sessions bien chargé avec de belles emulations de Synthés, Reverbes, EQ, Compresseurs, Saturations, Tapes… pour traiter, Cleaner, ajuster ou même juste colorer le son.
Tous ces traitement génèrent aussi des artefacts qui viennent polluer mes mixes et je suis très soucieux de la qualité de mes mixes.
Je suis passé depuis peu au 96Khz, et j’ai vraiment le sentiment d’avoir gagné en définition et en largeur.
Malheureusement mon processeur à pris un un bon coup dans la gueule et mes disques dure se remplissent bien plus vite qu’avant
Je ne suis toujours pas sur de mon choix quand je met tout cela sur la balance.
Et vous aujourd’hui, vous bossez toujours comme avant ?
[ Dernière édition du message le 27/01/2020 à 00:43:10 ]
Anonyme
5666
91 Posté le 29/01/2020 à 22:25:23
Citation de gulistan :
Citation de Fmarine :Nabucho : je te souhaite de faire le test pour t'apercevoir in situ ou non des différences possibles. 1 exemple chiffré : 16 bit = 65 536 valeurs vs 24 bits 16 777 216 valeurs …
Il n'y a pas plus de précision pour un signal numérisé en 24 bit sur les 16 bit les plus significatifs (MSB) par rapport à un signal en 16bit.
L'augmentation de la quantification, ce n'est pas des marches plus petites ; c'est plus de marches en bas. C'est lié aux rapports logarithmiques entre les niveaux.
En gros, entre un échantillon en 16 bit et un en 24 bit enregistré au même niveau, tout ce qui sera entre 0dBfs et -96dBfs sera identique.
Faisez l'essai.
J’espère que ceux qui mettent -1 à cela savent de quoi ils parlent et pourraient en dire un peu plus sur la quantification d'un signal audio.
J'avais déjà expliqué la chose sur un autre sujet avec test à l'appui.
Elka21
2430
AFicionado·a
Membre depuis 19 ans
92 Posté le 29/01/2020 à 22:30:44
Je sais qu'il y a une correction logarithmiques entre les niveaux, mais t'as pas répondu à ma question.
Et je peux même te dire qu'en 1975, je faisais des mesures de bruits de quantification sur des systeme MIC, Modulation a Impulsion Codée aux télécoms pour valider les codeurs ! et bin ce n'étais pas qu'une mesure de bruit, mais plutôt une mesure de distorsion que l'appareil faisait.
Et je peux même te dire qu'en 1975, je faisais des mesures de bruits de quantification sur des systeme MIC, Modulation a Impulsion Codée aux télécoms pour valider les codeurs ! et bin ce n'étais pas qu'une mesure de bruit, mais plutôt une mesure de distorsion que l'appareil faisait.
Nabucho
476
Posteur·euse AFfamé·e
Membre depuis 5 ans
93 Posté le 29/01/2020 à 22:30:58
Citation :
Mais une petite expérience que je viens de faire, et que tout le monde peut faire ici, le passage de 16 bits vs 8 bits, c'est pas un bruit de fond similaire à une cassette que je remarque, mais une compression et une distorsion indéniable sur les instruments et les voix qui deviennent nasale.
Vous avez un dither d'activé? car sans dither ça va faire de la truncation, c'est pour ça qu'on rajoute un dither. Même une truncation a 16bit est inaudible a 8 bit c'est moins
Exemple audio (ATTENTION au volume CA DEMARRE A 0DBFS)
A partir de la 20"
https://fromsmash.com/_SX-1GwGPd-ct
ce qu'on entend est qu'avec le dither la sine a 1Khz reste une sine a 1khz même si elle finit par se perdre dans le bruit
en savoir plus sur le dither page 7 première video a partir de la 11'36"
Tout bon systeme qui change le bit depth normalement a un dither, sinon il faut jeter son soft (les DAW en ont un activable ou pas)
[ Dernière édition du message le 29/01/2020 à 22:39:22 ]
Anonyme
5666
94 Posté le 29/01/2020 à 22:31:41
Citation de Elka21 :
Peux tu m'expliquer la distorsion ?
Oui : les bas bas niveaux qui ne sont pas codés. Du coup, forcément, en 8 bit, ça fait un sacré bordel qui se superpose au signal utile.
Mais les MSB n'ont pas de distorsion, pourrait-on dire.
Elka21
2430
AFicionado·a
Membre depuis 19 ans
95 Posté le 29/01/2020 à 23:42:33
Bruit de quantification => On est loin du bruit blanc d'une cassette, c'est plutôt une distorsion audible qui se rajoute au signal, le terme "distorsion de quantification" est tout aussi employé. Et ça semble cohérent avec pas mal de ce que les gens entendent ici :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Dither_(audio)
Extrait:
Lorsque le niveau varie, l'erreur est ainsi corrélée au signal, c'est une distorsion à laquelle l'audition humaine est plus sensible qu'elle ne l'est à un bruit aléatoire permanent. On peut penser cette distorsion comme une intermodulation avec la fréquence d'échantillonnage. Dans un signal audio musical, les harmoniques, importants dans la perception du timbre sont le plus souvent à des niveaux très inférieurs à celui de la fréquence fondamentale. Pour les faibles amplitudes, l'erreur de quantification est manifestement corrélée au signal.
Comme le résume l'ingénieur du son Bob Katz : « Si un signal subit une quantification, cela va induire une distorsion par rapport au signal d'entrée original, qui peut introduire des harmoniques, des harmoniques repliées dans le spectre audible, de l'intermodulation, ou n'importe quelle distorsion choisie dans une panoplie d'effets tout à fait indésirables, ressenties comme du bourdonnement, de la rêcheté, de l'âpreté, de la froideur et/ou une perte de profondeur dans le son »9.
Après, il y a des astuces décrites dans l'article pour atténuer, mais bon, s'il suffit - à notre époque - d'augmenter le bit depth plutôt que d'injecter du bruit blanc (dithering) pour couvrir celui de la fréquence parasite "disto" !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Dither_(audio)
Extrait:
Lorsque le niveau varie, l'erreur est ainsi corrélée au signal, c'est une distorsion à laquelle l'audition humaine est plus sensible qu'elle ne l'est à un bruit aléatoire permanent. On peut penser cette distorsion comme une intermodulation avec la fréquence d'échantillonnage. Dans un signal audio musical, les harmoniques, importants dans la perception du timbre sont le plus souvent à des niveaux très inférieurs à celui de la fréquence fondamentale. Pour les faibles amplitudes, l'erreur de quantification est manifestement corrélée au signal.
Comme le résume l'ingénieur du son Bob Katz : « Si un signal subit une quantification, cela va induire une distorsion par rapport au signal d'entrée original, qui peut introduire des harmoniques, des harmoniques repliées dans le spectre audible, de l'intermodulation, ou n'importe quelle distorsion choisie dans une panoplie d'effets tout à fait indésirables, ressenties comme du bourdonnement, de la rêcheté, de l'âpreté, de la froideur et/ou une perte de profondeur dans le son »9.
Après, il y a des astuces décrites dans l'article pour atténuer, mais bon, s'il suffit - à notre époque - d'augmenter le bit depth plutôt que d'injecter du bruit blanc (dithering) pour couvrir celui de la fréquence parasite "disto" !
[ Dernière édition du message le 29/01/2020 à 23:57:27 ]
Nabucho
476
Posteur·euse AFfamé·e
Membre depuis 5 ans
96 Posté le 30/01/2020 à 00:06:28
le dither ne couvre pas la distorsion ca empeche la distorsion, c'est pour ca qu'on utilise des dither, voir la video page 7 a la 11'36"
Une cassette a un bruit analogique, c'est pas comme un passage de 16bit a 8bit. Mais si on compare son SNR on peut considérer une casette comme 8bit
apres Bob Katz il dit ca sur le site PSP audioware
les shape du dither enormement de DEV le font, 16 bit result who sound the same to 24 un bruit a -96 ca change pas une tonalité d'un morceau.....
Une cassette a un bruit analogique, c'est pas comme un passage de 16bit a 8bit. Mais si on compare son SNR on peut considérer une casette comme 8bit
apres Bob Katz il dit ca sur le site PSP audioware
Citation :
I didn't think anyone could achieve what PSP has achieved with PSP X-dither: They've created a selection of noise-shapes which allow me to create a 16-bit result that sounds almost identical to the 24-bit source. With other dithering algorithms I often have to compromise, making a sound which distorts the tonality of the original source, or weakens the depth, or softens the transients. But with PSP X-dither I can easily find the perfect shape for the music I'm working with.
Bob Katz, President, Mastering Engineer, Digital Domain ; Author of the Mastering Audio - The Art And The Science
les shape du dither enormement de DEV le font, 16 bit result who sound the same to 24 un bruit a -96 ca change pas une tonalité d'un morceau.....
[ Dernière édition du message le 30/01/2020 à 00:07:38 ]
Sarakyel
2800
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 12 ans
97 Posté le 30/01/2020 à 00:29:59
Je peux me tromper, mais à ma connaissance, il existe chez les ingés son anglophones (et plus largement dans le monde scientifique) un consensus sur les faits suivants :
- Les pré-amplis et les convertisseurs A/D sont plus enclins à saturer lorsqu'on approche du niveau maximum de leur plage dynamique, même sans l'atteindre. C'est pour cette raison qu'il est conseillé d'enregistrer ses sources avec un niveau "raisonnable", c'est à dire des pics qui tapent entre -18 et -12 dbFS, et JAMAIS au dessus de -9 dbFS.
- Dans l'absolu il est possible d'enregistrer n'importe quelle source en 16 bits avec des pics à -18 dbFS max sans avoir de bruit de fond audible. Le problème vient de l'empilement des pistes effectué au mixage : à partir d'une douzaine de sources "clean" enregistrées en 16 bits, ce bruit peut commence à devenir audible et ne fait que gagner en présence avec la multiplication des pistes.
- Pour éviter de devoir gérer ce bruit de fond, il est recommandé d'enregistrer, de mixer et de masteriser au moins en 24 bits, ce qui permet de capturer et traiter les signaux audio à un niveau raisonnable (pics à -18 dbFS) sans risque que le bruit de fond ne devienne audible. La conversion en 16 bits se fait seulement - si besoin - lors du master final, si requis par la plateforme de diffusion ciblée (i.e. CD).
- Concernant la fréquence d'échantillonnage, il est impossible de discerner à l'oreille un signal enregistré en 44.1 kHz d'un signal enregistré en 384 kHz. En revanche, cela peut changer drastiquement la qualité de traitement de certains plugins (particulièrement ceux qui impactent la phase sans avoir d'oversampling interne).
- De nombreux formats de compression conçus pour la vidéo numérique gèrent mieux les fréquences d'échantillonnage basées sur des multiples de 24, le principal standard vidéo étant une vitesse de 24 images par secondes et les données audio étant généralement encodées dans les frames vidéo. Comme l'audio est de plus en plus souvent lié à la vidéo sur le net (YouTube = plateforme principale d'écoute de musique), et le resampling étant plus rapide et précis entre les puissances de 2 d'un échantillonnage, il est conseillé d'enregistrer avec une fréquence d'échantillonnage qui sera une puissance de 2 de 24 kHz (donc 48, 96, 192, ou même 384 kHz).
- Il est toujours possible de downsampler un signal enregistré avec une fréquence d'échantillonnage élevée, mais il est impossible de recréer les données absentes d'un signal enregistré avec un échantillage bas en faisant de l'oversampling. De ce fait, il est conseillé d'enregistrer avec la fréquence d'échantillonnage la plus élevée permise par son matériel (généralement 96 ou 192 kHz, en fonction de l'espace de stockage à disposition). Comme pour le bit depth, une éventuelle conversion à un taux d'échantillonnage de 44.1 ou 88.2 kHz interviendra seulement lors du master final, si requis par la plateforme de diffusion ciblée (i.e. CD).
Avec tout ça en tête, je fais la même chose que ce que je vois en studio pro depuis 10 ans :
- J'enregistre en 24 bits/96 kHz (j'ai même bossé sur 2 gros projets enregistrés en 192 kHz).
- Je mixe en 24 bits/48 kHz, mais je favorise les plugins qui ont un oversampling interne.
- J'exporte mes mixs finaux pour mastering en 24 bits/96 kHz.
- En plus des masters destinés à diverses plateformes, je demande toujours à l'ingé mastering une piste lossless en 24 bits/96 kHz.
Just my 2 cents.
- Les pré-amplis et les convertisseurs A/D sont plus enclins à saturer lorsqu'on approche du niveau maximum de leur plage dynamique, même sans l'atteindre. C'est pour cette raison qu'il est conseillé d'enregistrer ses sources avec un niveau "raisonnable", c'est à dire des pics qui tapent entre -18 et -12 dbFS, et JAMAIS au dessus de -9 dbFS.
- Dans l'absolu il est possible d'enregistrer n'importe quelle source en 16 bits avec des pics à -18 dbFS max sans avoir de bruit de fond audible. Le problème vient de l'empilement des pistes effectué au mixage : à partir d'une douzaine de sources "clean" enregistrées en 16 bits, ce bruit peut commence à devenir audible et ne fait que gagner en présence avec la multiplication des pistes.
- Pour éviter de devoir gérer ce bruit de fond, il est recommandé d'enregistrer, de mixer et de masteriser au moins en 24 bits, ce qui permet de capturer et traiter les signaux audio à un niveau raisonnable (pics à -18 dbFS) sans risque que le bruit de fond ne devienne audible. La conversion en 16 bits se fait seulement - si besoin - lors du master final, si requis par la plateforme de diffusion ciblée (i.e. CD).
- Concernant la fréquence d'échantillonnage, il est impossible de discerner à l'oreille un signal enregistré en 44.1 kHz d'un signal enregistré en 384 kHz. En revanche, cela peut changer drastiquement la qualité de traitement de certains plugins (particulièrement ceux qui impactent la phase sans avoir d'oversampling interne).
- De nombreux formats de compression conçus pour la vidéo numérique gèrent mieux les fréquences d'échantillonnage basées sur des multiples de 24, le principal standard vidéo étant une vitesse de 24 images par secondes et les données audio étant généralement encodées dans les frames vidéo. Comme l'audio est de plus en plus souvent lié à la vidéo sur le net (YouTube = plateforme principale d'écoute de musique), et le resampling étant plus rapide et précis entre les puissances de 2 d'un échantillonnage, il est conseillé d'enregistrer avec une fréquence d'échantillonnage qui sera une puissance de 2 de 24 kHz (donc 48, 96, 192, ou même 384 kHz).
- Il est toujours possible de downsampler un signal enregistré avec une fréquence d'échantillonnage élevée, mais il est impossible de recréer les données absentes d'un signal enregistré avec un échantillage bas en faisant de l'oversampling. De ce fait, il est conseillé d'enregistrer avec la fréquence d'échantillonnage la plus élevée permise par son matériel (généralement 96 ou 192 kHz, en fonction de l'espace de stockage à disposition). Comme pour le bit depth, une éventuelle conversion à un taux d'échantillonnage de 44.1 ou 88.2 kHz interviendra seulement lors du master final, si requis par la plateforme de diffusion ciblée (i.e. CD).
Avec tout ça en tête, je fais la même chose que ce que je vois en studio pro depuis 10 ans :
- J'enregistre en 24 bits/96 kHz (j'ai même bossé sur 2 gros projets enregistrés en 192 kHz).
- Je mixe en 24 bits/48 kHz, mais je favorise les plugins qui ont un oversampling interne.
- J'exporte mes mixs finaux pour mastering en 24 bits/96 kHz.
- En plus des masters destinés à diverses plateformes, je demande toujours à l'ingé mastering une piste lossless en 24 bits/96 kHz.
Just my 2 cents.
Anonyme
3602
98 Posté le 30/01/2020 à 00:40:46
Citation :
- J'enregistre en 24 bits/96 kHz (j'ai même bossé sur 2 gros projets enregistrés en 192 kHz).
- Je mixe en 24 bits/48 kHz, mais je favorise les plugins qui ont un oversampling interne.
- J'exporte mes mixs finaux pour mastering en 24 bits/96 kHz.
Ça fait deux étapes de conversion qui me semblent inutiles voir même destructives.
Sarakyel
2800
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 12 ans
99 Posté le 30/01/2020 à 00:44:22
Citation de bNoir :
Ça fait deux étapes de conversion qui me semblent inutiles voir même destructives.
Sauf que je ne convertis rien : mon DAW est configuré en 24/48, mais les sources restent en 24/96. C'est juste pour alléger le CPU pendant le processus de mixage.
kosmix
46418
Ma vie est un thread...
Membre depuis 19 ans
100 Posté le 30/01/2020 à 00:49:24
Citation :
Je mixe en 24 bits/48 kHz
Du coup du convertis tes fichiers d'origine du 96 au 48kHz pour mixer ? Je ne comprends pas trop l'intérêt d'autant plus qu'ensuite tu exportes en 96
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Hors sujet :Citation :le principal standard vidéo étant une vitesse de 24 images par secondes et les données audio étant généralement encodées dans les frames vidéo.
Petite imprécision : si la cadence de 24 ips se généralise en vidéo c'est parce que le Bluray l'a permis (c'est donc très récent). Historiquement 24 ips c'est le cinéma. Les cadences vidéo sont 25 ips (50 Hz) en PAL/SECAM et 29,97 (60 Hz) en NTSC.
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
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