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réactions au dossier [SONDAGE] Le top des séquenceurs audionumériques les plus utilisés en 2017

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3217 vote(s)
1 réponse(s) maximum Fin du sondage : 17/09/17
1 Posté le le 09/09/2017 à 14:12 Sondage Clos
Quel est la STAN que vous utilisez le plus en 2017 ?
  • 1 Ableton Live (643 - 20%)
  • 2 Cubase (596 - 19%)
  • 3 Logic Pro (568 - 18%)
  • 4 Reaper (395 - 12%)
  • 5 Pro Tools (309 - 10%)
  • 6 Studio One (197 - 6%)
  • 7 SONAR (117 - 4%)
  • 8 FL Studio (77 - 2%)
  • 9 Reason (56 - 2%)
  • 10 Samplitude (44 - 1%)
  • 11 Bitwig (32 - 1%)
  • 12 Ardour (30 - 1%)
  • 13 GarageBand (26 - 1%)
  • 14 Digital Performer (25 - 1%)
  • 15 Nuendo (23 - 1%)
  • 16 Tracktion Waveform (21 - 1%)
  • 17 Harrison Mixbus / 32 C (18 - 1%)
  • 18 Mixcraft Acoustica (14 - 0%)
  • 19 Usine Hollyhock (5 - 0%)
  • 20 LMMS (4 - 0%)
  • 21 Sequoia (4 - 0%)
  • 22 Acid / Acid Pro (4 - 0%)
  • 23 Rosegarden (3 - 0%)
  • 24 Samplitude Music Studio (3 - 0%)
  • 25 Mulab (2 - 0%)
  • 26 iZ Session (1 - 0%)
Sondage réalisé du 09/09/2017 au 17/09/2017 - 3217 participants - 1 réponse par participant
Sujet de la discussion [SONDAGE] Le top des séquenceurs audionumériques les plus utilisés en 2017

4 ans après notre premier sondage, les STAN historiques ont bien évolué et de nouvelles sont arrivées sur le marché. Votre choix est-il toujours le même ? Avez-vous, vous aussi évolué dans vos outils d’enregistrement et/ou de mixage ?

Afficher le sujet de la discussion
1101
1102
Citation de Hakim+K :
C'est subjectif et émotionnel ça, car du point de vue bande passante et plage de dynamique les enregistrements des années 60 sont de très très mauvaise qualité... même les Beatles... Heureusement qu'aujourd'hui on fait mieux avec 3x rien.

Eh oui... On oublie souvent que tout ce matos sert à faire de la musique, pas du son !
Alors, sans vouloir dire qu'il n'est pas important d'avoir un son propre, je préfère écouter une bonne compo des Beatles et consorts avec leur son que tu juges approximatif, plutôt que la dernière bouse à la mode qui n'a rien à dire ni musicalement, ni dans le texte, mais qui a un son de ouf quand tu l'écoutes sur une installation avec 15 paires d'enceintes...

[ Dernière édition du message le 01/10/2017 à 12:02:49 ]

1103
Ça a peut-être déjà été dit plus haut, ce dont je cause ci-dessous, mais bon, j'ai pas vu.

Quand j'ai vu passer des posts concernant la démocratisation de la musique grâce à la mao, stans y compris, je me suis dit que la vraie démocratisation obtenue grâce à ces softs résidait dans le fait qu'un utilisateur ne pratiquant pas un instrument pouvait enfin devenir tout de même compositeur.
Avant, rien à faire, avec un magnéto, fallait en général quand même savoir jouer de quelque chose.

Autre conséquence énorme : puisque grâce aux séquenceurs, on pouvait enfin composer, du coup on avait aussi envie d'apprendre à jouer d'un instrument, car on percevait bien la finalité de la chose : si j'apprends à pratiquer, ce n'est pas stérile, j'en vois le bout, car grâce à ça, je vais pouvoir composer encore plus, et mieux, sans forcément utiliser un sampler, par exemple. Combien de gens se sont tapés 10 ans de piano et ont abandonné ensuite ? Car apprendre sans but, avec des difficultés assez rudasses constamment présentes, ça décourage vite !

La création devenait aussi richesse multiple avec apaisement intégré, grâce à l'option "je ne corrige qu'une note, que je déplace là ou là, waow, génial". Ayant possédé de gros magnétos, je peux affirmer que la création restait un tantinet anxiogène parfois, quand on voulait poser ça sur le ruban.

Autre aspect étonnant : les daws ont ouvert l'espace créatif par des apports autres que le solfège, par exemple le codage plus visuel du séquenceur et de son piano roll.
Cela a permis encore, toujours dans ce possible élargissement d'un potentiel créatif, d'aborder la culture musicale sous un angle universel, car comme on ne peut pas trop faire venir dans son home-studio un violoncelliste vénitien, ou un chinois excellant dans le jeu de l'ehru au Xème siècle, et si on veut créer dans cet esprit-là, on est bien obligé de se renseigner sur ce qu'est un ehru ou la pratique du violoncelle à l'époque de Vivaldi.
En gros, vu que, gonflés à fond, on compose sans limites, on apprend à mieux respecter les autres civilisations. Eh ouais.

Enfin, le stans et internet ont permis l'échange universel par des fichiers compréhensibles, interprétables par d'autres utilisateurs habitant à des dizaines de milliers de kilomètres de chez soi. D'où échange, partage et respect des différences.

Tous les daws permettent ça, désormais, on a un choix de ouf. Et c'est tellement positif. Un inventaire des différents daws grâce à un petit sondage permet de toute façon d'ouvrir le panel, et donc, ça vaut le coup de lister tout ça et de voir les réactions des autres, vraiment.

Voilà, un peu hs, mais pas complètement.




[ Dernière édition du message le 01/10/2017 à 12:21:35 ]

1104
Citation de ben :
Citation de Hakim+K :
C'est subjectif et émotionnel ça, car du point de vue bande passante et plage de dynamique les enregistrements des années 60 sont de très très mauvaise qualité... même les Beatles... Heureusement qu'aujourd'hui on fait mieux avec 3x rien.

Eh oui... On oublie souvent que tout ce matos sert à faire de la musique, pas du son !
Alors, sans vouloir dire qu'il n'est pas important d'avoir un son propre, je préfère écouter une bonne compo des Beatles et consorts avec leur son que tu juges approximatif, plutôt que la dernière bouse à la mode qui n'a rien à dire ni musicalement, ni dans le texte, mais qui a un son de ouf quand tu l'écoutes sur une installation avec 15 paires d'enceintes...

Et puis c’est totalement faux, comme on en a discuté sur un topic que Hakim n’a pas dû lire (dommage, il en était « à l’origine »). Tout le problème du son des années soixante vient des contraintes de diffusion, notamment des limitations du vinyle. Il a été démontré, enregistrements à l’appui, que les prises de son de l’époque étaient déjà excellentes.
1105
La qualité d’enregistrement en tant que telle ne s’est pas vraiment améliorée par contre on n’est aujourd’hui plus limité par la qualité des re-recording en enregistrement multipistes. À l’époque on devait premixait, on couchait sur 2 pistes du 4 pistes, pour pouvoir recupérer 2 pistes libres etc... donc oui la qualité sonore a changée, on a plus de problème de diaphonie. Et on peut simplement en mix toujours reprendre à zero et ne pas dépendre du prémix antérieur, qui masque par exemple le nouvel enregistrement qu’on est en train d’enregistrer...
1106
Mais sinon je trouve que les Beatles ça sonne super aussi :bravo: et même que j’adore les premiers enregistrement d’Elvis,je trouve ça vraiment très beau, ce sont des performances incroyables, et la dynamique est tellement bien gérée. :bave:
1107
Ce qui a progressé, c'est 1. La miniaturisation et 2. Les systèmes de diffusion.
1108
3. Le coût et l'accessibilité (grâce à internet notamment) 4. La qualité et la diversité des sonorités produites 5. la facilité d'utilisation

Existe-il quelque chose de plus chiant que la musique ?

[ Dernière édition du message le 01/10/2017 à 15:53:29 ]

1109
Et le nombre de pistes...
1110
La polyphonie aussi.

Existe-il quelque chose de plus chiant que la musique ?

1111
Personne n'a parlé de l'une des premières grandes géniales inventions des sequencers MIDI : la quantification (ou quantisation) qui a permis aux "claviéristes" médiocres comme moi de corriger magiquement les boulettes de leur jeu minable. Bon évidemment il a y aussi l'enregistrement pas à pas et l'astuce de baisser le tempo pour jouer plus propre ; bref que d'inventions merveilleuses :-D

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

[ Dernière édition du message le 01/10/2017 à 16:36:50 ]

1112
x
Hors sujet :
Citation :
Et puis c’est totalement faux, comme on en a discuté sur un topic que Hakim n’a pas dû lire (dommage, il en était « à l’origine »). Tout le problème du son des années soixante vient des contraintes de diffusion, notamment des limitations du vinyle. Il a été démontré, enregistrements à l’appui, que les prises de son de l’époque étaient déjà excellentes.

Je veux bien l'adresse de la discussion pour aller voir les "preuves", parce que je m'étonne quand même que dans des trucs comme l'anthologie des Beatles, on ait une telle différence de qualité sonore selon les époques.
Après, peut-être que les bandes studio ont été perdues et donc que ça a été refait à partir de vinyls commerciaux, mais là aussi, j'aimerais comprendre pourquoi un vinyl des années 60 sonne moins bien qu'un disque récent.
1113
A cause (entre autre) de la technologie des disques à sillon qui est allée en s'améliorant. Mais le disque vinyle a quand même pas mal de défauts : une dynamique trop forte pouvait faire sauter la tête de lecture (d'où l'emploi d'un limiteur pour réduire la dynamique), des aigus en retrait, du bruit, des imprécisions...

Ceux qui racontent que le vinyle est qualitativement de meilleure qualité que le CD pour diffuser le plus fidèlement possible un master se mettent les doigts dans le nez.

En ce qui concerne les nouveaux mastering de vieux albums, ils passent soit par les bandes analogiques des enregistrement de l'époque qu'ils nettoient numériquement (après les avoir numérisé) puis qu'ils mixent et masterisent à nouveau.

Soit, ils reprennent des vieux vinyles qu'ils traitent numériquement (nettoyage du bruit et des imperfections, EQ, compression multibande, etc.).

Quelle est l'adresse du topic crée par Hakim ?

Existe-il quelque chose de plus chiant que la musique ?

[ Dernière édition du message le 01/10/2017 à 17:32:51 ]

1114
Citation :
Personne n'a parlé de l'une des premières grandes géniales inventions des sequencers MIDI : la quantification (ou quantisation) qui a permis aux "claviéristes" médiocres comme moi de corriger magiquement les boulettes de leur jeu minable. Bon évidemment il a y aussi l'enregistrement pas à pas et l'astuce de baisser le tempo pour jouer plus propre ; bref que d'inventions merveilleuses :-D


cette idée est totalement fausse.

Je connais un pianiste hyper talentueux qui m'a demandé pourquoi les rythmes complexes ne passaient pas en midi. Et pourtant il joue comme un dieu et est hyper solide techniquement. tant que ce sera le protocole midi et qu'il y aura de la latence, la saisie de notes au clavier midi restera toujours approximative sur des rythmes complexes.
1115
Citation de Will :
x
Hors sujet :
Citation :
Et puis c’est totalement faux, comme on en a discuté sur un topic que Hakim n’a pas dû lire (dommage, il en était « à l’origine »). Tout le problème du son des années soixante vient des contraintes de diffusion, notamment des limitations du vinyle. Il a été démontré, enregistrements à l’appui, que les prises de son de l’époque étaient déjà excellentes.

Je veux bien l'adresse de la discussion pour aller voir les "preuves", parce que je m'étonne quand même que dans des trucs comme l'anthologie des Beatles, on ait une telle différence de qualité sonore selon les époques.
Après, peut-être que les bandes studio ont été perdues et donc que ça a été refait à partir de vinyls commerciaux, mais là aussi, j'aimerais comprendre pourquoi un vinyl des années 60 sonne moins bien qu'un disque récent.

Un sujet déraillé et remis sur pieds par la modération à lire ici : https://fr.audiofanzine.com/techniques-du-son/forums/t.647193,son-d-hier-et-d-aujourd-hui.html
L'idée n'était pas de dire que rien n'a évolué, loin de là, mais que les enregistrements des années 60 et surtout 70 (puisque les Beatles ont été pionniers en la matière) pouvaient être aussi bons qu'aujourd'hui. Après c'est sûr qu'un DAW moderne fera mieux du multipiste que des enregistreurs à bande et pour beaucoup moins cher...
1116
La grosse limitation à cette époque étaient qu'ils avaient très peu de pistes et étaient obligés de repiquer des pistes sur une piste vierge afin d'avoir des pistes supplémentaires disponibles.

Existe-il quelque chose de plus chiant que la musique ?

1117
Certes, mais sur un Tepaz ou à la radio en mono, ils s’en foutaient royalement :-D
1118
Citation :
cette idée est totalement fausse.

Je connais un pianiste hyper talentueux qui m'a demandé pourquoi les rythmes complexes ne passaient pas en midi. Et pourtant il joue comme un dieu et est hyper solide techniquement. tant que ce sera le protocole midi et qu'il y aura de la latence, la saisie de notes au clavier midi restera toujours approximative sur des rythmes complexes.


Alors là, soit je comprends pas ce que tu veux dire, soit il y a quelques confusions...

La latence dans les stans n'a pas grand chose à voir avec le protocole MIDI et aujourd'hui, si on configure correctement son interface audio, sur les ordis actuels, il n'y a pas de raison pour que la latence soit perceptible et puisse gêner la précision, même dans les rythmes les plus complexes.

Par contre quantifier des rythmes complexes peut en effet être extrêmement problématique, mais un un claviéristes qui a un "niveau hyper solide" n'a de toute façon pas besoin à priori de quantification...

Et encore une fois ça n'a strictement rien à voir avec la norme MIDI.

x
Hors sujet :
Après, je sais pas si c'est le cas ici, mais j'imagine assez bien le pianiste qui se la pète et qui se croit plus fort que tout le monde, qui joue un truc hyper complexe et puis ouvre le piano roll, s'aperçoit que y'a pas une note en place et explique que c'est la faute de la norme MIDI si il sait pas jouer droit :tourne:
1119
Autre hypothèse possible : c'est une prise audio et tu demandes à la DAW de te sortir un fichier MIDI d'après ce fichier audio.
J'ai déjà pratiqué la chose et le résultat est assez folklorique :mdr:
Si le clavier a une connection midi, il n'y a aucune raison technique pour que la saisie ne soit pas retranscrite fidèlement. On ne peut pas parler de latence pour du MIDI.
1120
Oui c'est très étrange.

En tous cas je confirme: la latence et le MIDI n'ont rien à voir.
Et le MIDI retranscrit plutôt fidèlement ce qu'on lui donne à manger

Ton pianiste avait peut-être fait ses prises MIDI avec une valeur de quantification à l'enregistrement réglée à son insu, ce qui peut parfois donner des résultats surprenants! :-D

Accepter qu'on n'sait pas, c'est déjà l'premier pas.

 

MUSICIENS ET PUBLIC, PROTEGEZ VOS OREILLES!

1121
je connais la différence entre le protocole midi et la latence en général/ drivers, merci.

Quand au fait qu'il se la pète, pas vraiment...........c'est pas le style.

il a dû essayer ça sous finale et du coup, ça ne marche pas bien, c'est sûr, en tout cas moins bien que dans une stan.

[ Dernière édition du message le 01/10/2017 à 20:39:49 ]

1122
Ou alors le pianiste se croit super balèze et sa lui plaît beaucoup quand il s'écoute jouer en direct, mais quand il réécoute un enregistrement, ça lui semble tout pourri.

Moi ça m'arrive souvent, mais je n'accuse pas le séquenceur :-D
1123
Citation :
Ou alors le pianiste se croit super balèze et sa lui plaît beaucoup quand il s'écoute jouer en direct, mais quand il réécoute un enregistrement, ça lui semble tout pourri.



non, on parle juste de simplifier la saisie de notation musicale, c'est tout, pour gagner du temps pour écrire des partitions. Pas d'audio dans ce cas là.

[ Dernière édition du message le 01/10/2017 à 20:43:37 ]

1124
Pour être efficace la grille de quantification doit être bien réglée sans quoi ce sera grossier ou sans effet ; mais je reconnais que parfois ça ne fonctionne pas dans le sens ou si l'enregistrement était trop mauvais les notes seront déplacées au mauvais endroit (je sais de quoi je parle, ça m'arrive tout le temps :-D) ou j'imagine pour un bon pianiste que la quantification peut dénaturer la prise et lui ôter tout son naturel.

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

1125
Sans même parler du rubato naturel qui participe à l'expressivité du jeu du pianiste et qui serait ruiné par une quantification, le simple fait d'avoir des doubles croches et des triolets oblige à quantifier au 12ème de temps. Ajoutez des quintolets, (ce qui n'a rien de rare) et dans ce cas, la quantification minimale est au 60ème de temps.
Imaginons la noire à 100, ça nous fait une quantification au 100ème de seconde. Ca ne veut plus rien dire. Il faut abandonner l'idée de quantifier un piano dès que la pièce possède la moindre complexité rythmique.

[ Dernière édition du message le 01/10/2017 à 21:22:19 ]