réactions au dossier [SONDAGE] Le top des séquenceurs audionumériques les plus utilisés en 2017
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- 1 Ableton Live (643 - 20%)
- 2 Cubase (596 - 19%)
- 3 Logic Pro (568 - 18%)
- 4 Reaper (395 - 12%)
- 5 Pro Tools (309 - 10%)
- 6 Studio One (197 - 6%)
- 7 SONAR (117 - 4%)
- 8 FL Studio (77 - 2%)
- 9 Reason (56 - 2%)
- 10 Samplitude (44 - 1%)
- 11 Bitwig (32 - 1%)
- 12 Ardour (30 - 1%)
- 13 GarageBand (26 - 1%)
- 14 Digital Performer (25 - 1%)
- 15 Nuendo (23 - 1%)
- 16 Tracktion Waveform (21 - 1%)
- 17 Harrison Mixbus / 32 C (18 - 1%)
- 18 Mixcraft Acoustica (14 - 0%)
- 19 Usine Hollyhock (5 - 0%)
- 20 Sequoia (4 - 0%)
- 21 Acid / Acid Pro (4 - 0%)
- 22 LMMS (4 - 0%)
- 23 Rosegarden (3 - 0%)
- 24 Samplitude Music Studio (3 - 0%)
- 25 Mulab (2 - 0%)
- 26 iZ Session (1 - 0%)
Banshee in Avalon
4 ans après notre premier sondage, les STAN historiques ont bien évolué et de nouvelles sont arrivées sur le marché. Votre choix est-il toujours le même ? Avez-vous, vous aussi évolué dans vos outils d’enregistrement et/ou de mixage ?
Anonyme
Citation de Toubib
C'est pas sur ma MAO mais seulement les instruments, et plutôt plus ancien, mais voilà un truc qui se lit comme un roman et qui est tout à fait excellent :
Je plussoies avec énergie !
De plus je recommande son émission cet été sur France Culture et qu'on doit pouvoir trouver en podcast. Un incontournable.
[ Dernière édition du message le 28/09/2017 à 22:08:21 ]
Anonyme
Je vois qu'en faite la MAO existe depuis perpète avec tout ces utilisateurs d'Atari et compagnie
Sympa la phrase
Tout ça ne me semble pas si loin que ça
newjazz
Oui, exact le Falcon! Je n'y pensais plus mais c'était une sacrée belle bête!
Krouik
1. Nuendo
2. Reaper
DiZ69
Darkmoon
J’ai d’ailleurs eu un débat sensiblement similaire avec un pote récemment, concernant Internet : Oui, ok, moi et lui l’utilisions dès le milieu des années 90, oui, il fut inventé dans les années 60 pour l’armé (Arpanet), mais avant les années 2000, à part les geeks d’informatique et certains gamers (non « pro console ») qui, dans nos familles élargies utilisais couramment un PC et s’intéressait vraiment à internet? À part quelques geeks?

La démocratisation, au sens « mondial du terme », au sens où cela fait maintenant partie des mœurs et au sens où, dans n’importe quel reportage grand public/vidéo YT, nous pouvons voir, aujourd’huis, des jeunes de 16 ans, P. Ex. (et pas des « bidouilleurs » de 30 ans férus d’informatique et/ou des gamins au QI plus élevé que la moyenne, comme dans les années 80/90), s'amuser avec un DAW, c’est surtout depuis les années 2000 et l’avènement des réseaux sociaux, etc. Ça c'est de la « démocratisation » (= accessible au plus grand nombre, à toutes les classes sociales, mettre à la portée de tous.)!
"Si t'enregistres à Poudlard, avec l'ingé son Dumbledore, les lois physiques tu peux t'en foutre. Mais dans l'monde réel, les lois physiques, les mesures, le dBFS, tout ça existe bel et bien." youtou
Tonka
Quand je suis parti on utilisait le Minitel et Internet était un truc mystérieux. On s'enregistrait sur des 4 pistes en programmant du midi sur Cubase. Quand je suis revenu tout le monde envoyait des mails et on pouvait enregistrer de l'audio sur un ordinateur de bureau. Avec ma modeste tour, ma carte home studio pro et ma licence Cubase vst, offertes sur mon petit salaire de maître aux, je pouvais enregistrer 40 pistes si je voulais, coller des effets et des vsti partout : j'avais l'impression de faire de la musique dans un monde de sf !
newjazz
À part quelques musiciens qui devaient simultanément (et impérativement) êtres geek d’informatique, ce n’était quand même pas très courant.De plus, le MIDI avec la prog de code (03 00 16 00), les sysex, tout ça, n'avait rien à voir avec aujourd’huis où n’importe quel gamin qui n’a jamais eu à programmer du MIDI, à monter le workbench sous Amiga ou utiliser le DOS, à configurer les IRQ de sa machine dans le BIOS, etc., n’a qu’à se procurer une carte son USB à 100$, télécharger la démo de Live ou FL et débuter en visionnant 2, 3 vidéos sur Youtube. Pour moi, ça n’a rien à voir!
Bah écoute j'ai commencé la MAO en 92 avec une Sound blaster (1000 francs de l'époque, soit environ 150 euros) et l'ancêtre de Sonar, Cakewalk (avant que cela ne devienne le nom de l'éditeur) livré avec la carte, et franchement, il n'était pas nécessaire du tout d'avoir fait polytechnique pour s'en sortir à 15 piges et s'amuser!
2-3 jumpers à configurer sur la carte et roule ma poule!
[ Dernière édition du message le 29/09/2017 à 08:37:32 ]
Anonyme
alex.d.
Bah, les années 80/90, c’était surtout le début ou la « naissance ». À part quelques musiciens qui devaient simultanément (et impérativement) êtres geek d’informatique, ce n’était quand même pas très courant.De plus, le MIDI avec la prog de code (03 00 16 00), les sysex, tout ça, n'avait rien à voir avec aujourd’huis où n’importe quel gamin qui n’a jamais eu à programmer du MIDI, à monter le workbench sous Amiga ou utiliser le DOS, à configurer les IRQ de sa machine dans le BIOS, etc., n’a qu’à se procurer une carte son USB à 100$, télécharger la démo de Live ou FL et débuter en visionnant 2, 3 vidéos sur Youtube. Pour moi, ça n’a rien à voir!
Dans les années 90, c'est là que tu as commencé à avoir tout ça sous Windows, éditeur de partition graphique, carte son plug & play (ah, ma première Sound Blaster Pro !), bref, une ergonomie assez similaire à ce qui se fait aujourd'hui.
Tu confonds peut-être avec les trackers, apparus un peu avant, et effet destiné à un public barbu.
Rephlx PAK
slyooney
(Un VCN)
___________________________
https://soundcloud.com/slymooremusic
Donnel
Ça y est la discussion se transforme en topic de vieux cons nostalgiques.![]()
![]()
Haha t'as le droit de me blâmer haut et fort lol je pensais pas qu'en lancant le sujet on en arriverai à ici ^^
Si tu ne connais pas, je t'invite à t'intéresser à la scène "demomaker" du début/milieu des années 90, où des devs de génie (souvent des petits djeun's dans leur chambre) poussaient les machines de l'époque dans leurs derniers retranchements graphiques et sonores.
En se rappelant que ça tournait sur des machines qui ne tournaient qu'à quelques MHz avec 512 ko ou 1 Mo (oui, Mo) de RAM.
Nop je ne connais pas je vais checker ça j'ai pas mal de temps libre en ce moment ! Merci pour la découverte, yep les histoire de 1mo de RAM, même si je n'étais qu'un enfant à ce moment là je m'en souvient. Je crois que c'était véritablement le début de mon introduction à tout ce milieu qu'est l'informatique musicale en voyant mon oncle bidouillé ses machines !
C'est pas sur ma MAO mais seulement les instruments, et plutôt plus ancien, mais voilà un truc qui se lit comme un roman et qui est tout à fait excellent
ça m'a l'air archi intéressant des que je rentre en France je vais voir si je ne peux pas choper ça chez Gilbert Jeune ou en ligne ! J'avais déja lu quelque ouvrages sur la synthese soustractive et compangnie.
Sympa la phrasej'ai 63 ans... tu me donnes l'impression d'avoir vécu au crétintacé supérieur. J'ai toujours mon Atari et son écran énorme et il marche correctement. C'est bizarre, personne n'a parlé du Falcon, digne successeur de l'Atari mais qui coûtait la peau des fesses, on pouvait enregistrer de l'audio avec.
Tout ça ne me semble pas si loin que ça
Haha nop promis ce n'était pas le but, je voulais dire que je m'étais pas plus renseigné que ça sur les premiers séquenceur audio numérique de l'époque. Comme je suis plutôt passionné de synthé, j'ai passé mon temps à fouiner comment fonctionnait les synthé de l'époque, lequel était les plus "famous" et compangnie.
Mais dans ma tête j'étais persuadé que tout ce qui touche au séquenceur était arrivé au début des années 2000, je pensais que personne ne calculait les premiers Atari avec Notator et Cubase en me disant à mon avis avec les habitudes de l'époque ça devait être un peu relou de tout se réapproprier avec le début de l'informatique !
En tous cas chapeau au gens qui ont connu l'époque du multi-bande et compagnie ou tu devais jouer ton synthé en une prise sans faire de fausse note et sur la bonne vélocité pour chaque note, non vraiment vous avez tout mes respects. Fallait être pile poile dans les temps, pas de quantification, pas d'écran pour raccourcir les notes, comme on dit ou j'habite "ça devait être le feuuuuu!"
freesax
Il fallait surtout être musicien pour pratiquer la MAO dans les années 80 débuts 90
Nul besoin d'être geek en informatique pour travailler sur Atari ou Amiga... Mais en revanche, les Pro 24 puis cubase Notator puis Logic etc... Étaient exclusivement dans leur conception même, réservés au monde la musique et du son.
Quel intérêt poiur qui n'était pas dans cet univers, d'aller traîner sur des logiciels dans lesquels il n'y avait aucune aide pour le profane ou le curieux ?
Il y avait sûrement de très rares exceptions, mais au départ ces programmes n'étaient pas du tout, mais alors pas du tout démocratisés, ni vulgarisés pour un public large
Fussent des geeks en informatique, ils n'auraient pas pu en tirer grand chose...
Mais bon c'est une apartée, revenez au monde d'aujourd'hui, et je vous souhaite de bonnes discussions dans ce monde plus largement accessible et ouvert
[ Dernière édition du message le 29/09/2017 à 10:30:06 ]
Anonyme
Haha t'as le droit de me blâmer haut et fort lol je pensais pas qu'en lancant le sujet on en arriverai à ici ^^![]()
en fait, on en est arrivé là -> https://fr.audiofanzine.com/sequenceur/forums/t.650777,bien-debuter-timeline-les-stan-et-sequenceurs-logiciels.html
Bernadette Michelle
Existe-il quelque chose de plus chiant que la musique ?
[ Dernière édition du message le 29/09/2017 à 10:46:12 ]
Will Zégal
Pour en revenir à nos DAW, quelqu'un ici est passé par l'époque des toutes première version de Cubase et Logic sur ATARI?
Moi. Atari et Amiga. Mais c'était très embryonnaire. D'abord parce que je n'en possédais pas (j'allais chez des potes), ensuite parce qu'on avait pas des masses de synthés à contrôler, vu le prix de ces joujous à l'époque. Quand on arrivait, en se mettant à plusieurs, à regrouper 3 synthés (certains empruntés) dans la même pièce avec un ordi pour les séquencer, c'était une expérience exceptionnelle. Dans tous les sens du terme.
je n'étais pas né à cette époque et je regrette de ne pas avoir vécu l'évolution de tout ça et les sortie de classique comme le DX7, l'ARP 2600 et autres synthétiseur du genre ^^
Ne regrette rien. Tout était très peu accessible, coûtait très cher, était difficile à mettre en oeuvre, compliqué à enregistrer, etc. Quand j'étais ados, les rares d'entre nous qui avaient un enregistreur multipistes, c'était un Fostex 4 pistes sur K7 standard. Je te dis pas la qualité audio !
Faute de web, l'information circulait peu. Sauf pour les rares personnes ayant la chance d'être dans des milieux plein de synthétistes, la seule source d'information grand public était des magazines dont les articles étaient essentiellement des publi-reportages (mais sans le dire).
Le moindre apprentissage était long et difficile. Dans mon adolescence, j'ai fréquenté de près deux synthés dont aucun n'était à moi (pas les moyens).
L'un (dont je ne parviens pas à retrouver ce que c'était), appartenant à un ami de la famille, était une sorte d'orgue qui mélangeait des sons de cordes et de 2-3 autres trucs qui genre. On avait bien des enveloppes et des choses comme ça, mais c'était facile à utiliser, mais très sommaire dans les possibilités sonores.
L'autre fut un DX-11 (un DX-7 à 4 opérateurs seulement) acheté par un copain qui a vécu quelques mois chez moi. On a passé des heures et des heures à comprendre comment faire des sons avec ce machin de l'espace à la polyphonie très limitée. Passionnant, mais pas très productif.
Le moindre synthé coûtait plusieurs mois du salaire minimum.
J'ai retrouvé le prix du DX-7 à sa sortie. Attention à l'équivalent euros indiquée ici. En 1983, un smic équivalait à 485 € et on vivait pas mal du tout avec.
Enfin, dernier argument, le prix. Face à un Memorymoog qui se vendait 40 000 francs (environ 6000 Euros), un PPG Wave 2 ou un Prophet T8 qui montaient à 70 000 Francs (environ 14 000 euros) et des échantillonneurs (comme l’Emulator II) qui dépassaient les 100 000 Francs (15 000 Euros), le Yamaha DX7 était vendu… 14 000 Francs (environ 2100 Euros).
Faute de VPC, le seul matos auquel tu pouvais accéder était celui proposé par le magasin du coin. S'il ne vendait (cher) que des casques pourris, tu avais un casque pourri. De toutes façons, rien ne te permettait de comparer et l'offre était de toutes façons restreinte.
Aujourd'hui, on a des putains de synthés hardware qui coûtent moins d'un demi-smic. Avoir un ordinateur est accessible à tout ménage qui ne soit pas pauvre et la MAO permet d'avoir chez soi une puissance d'enregistrement dont n'ont jamais bénéficié les Beatles et une palette de création sonore dont JM Jarre ne disposait pas quand il a créé Equinoxe. Les enceintes et les casques ont connu des améliorations de dingue et une chute de prix spectaculaire. Je serais très curieux de mettre face à face une paire d'enceintes de monitoring à 1000 € la paire face aux enceintes de salon qu'utilisaient la plupart des gens dans les années 80. En tous cas, mis face à des NS-10, c'est tout vu.
Bref, il ne faut pas croire que ces années ont été un âge d'or. En tous cas certainement pas pour les ados et les jeunes adultes non fortunés.
Moi qui approche la cinquantaine, je n'ai aucune nostalgie pour cette époque, en tous cas d'un point de vue matos.
[ Dernière édition du message le 29/09/2017 à 10:48:17 ]
Rephlx PAK
Ça m'a rappelé un après midi chez des voisins qui étaient un peu plus vieux et qui avaient de l'Atari et de l'Amstrad chez eux.
Et en voyant ces démos et les jeux sur ces machines, j'étais fou. Mon père avait un PC qui tournait en turbo pascal et des jeux en monochrome dégueulasse. Heureusement qu'il y avait la Master System pour se rattraper. Mais ça, c'est une autre histoire.
Tonka
Anonyme
Je plussoie Will Zegal : point tu de vue matos, pas de regret à avoir de ces années. ..
+1
Et j'aime toujours saluer la Marque Behringer, qui malgrès qu'elle soit très souvent (et injustement) critiquée, à été un acteur important de la démocratisation de la musique.
Combien de sondier en herbe n'ont pas posé leur main sur une table behri?
Combien de home studiste n'ont pas profité de leurs patch bays, leur imitations d'enhancer, leur préamps, leurs amplis casque?
Les pédales de grattes, les enceintes, ...
Grebz
Bon, cela dit, à part faire quelques reprises minimalistes à partir de quelques partitions classiques trouvées dans la chambre de ma frangine, je n'ai pas fait beaucoup de musique à l'époque. J'écoutais surtout celles des jeux, assez fabuleuses pour l'époque, comme celles-ci :
Après, je suis passé à l'Amiga. On passait à 4 voies simultanées, ce qui n'est pas extraordinaire, mais dans la norme de cette 2e partie des années 80 et début 90. L'Amiga n'avait pas de prise MIDI intégrée, contrairement à son concurrent l'Atari ST, mais on pouvait lui adjoindre une extension. Mais comme l'Amiga était déjà plus cher de base que l'Atari, lui adjoindre une prise MIDI en plus augmentait encore le coût. Et l'Atari était sorti environ 2 ans plus tôt que l'Amiga, donc les fans de musique étaient déjà tous sur Atari, et c'est pour ce dernier qu'ont été développés l'immense majorité des logiciels de musique MIDI à l'époque. Si Atari ou Commodore (pour l'Amiga) n'avaient pas été des sociétés gérées par des chèvres (pas le temps de développer ici), elles auraient très bien pu prendre la place des Mac d'Apple, car leurs ordinateurs étaient de la même trempe et bien moins chers que les Mac.
Bref, on ne va pas refaire l'histoire. Sur Amiga, j'ai composé mes premières musiques vers 1989, non pas avec des trackers (dont je ne comprenais pas vraiment l'intérêt à l'époque, à vrai dire), mais avec les sons du logiciel Sonix d'Aegis Software, dont certains étaient "digitalisés" (samplés).
Will Zégal
spark972
Moi qui approche la cinquantaine, je n'ai aucune nostalgie pour cette époque, en tous cas d'un point de vue matos.
Moi qui suit un poil plus jeune mais déjà dans la 40aine je ne suis pas du tout d'accord avec toi. Ca me vendait du rêve de voir un Fairlight dans un magazine, je passais des après midi dans les magasins de musique (à bidouiller un SY-77 ou une BAR) et les librairies à voir les nouveautés en terme de matériel.
Faire de l’édition audio avec un pc familial, des remixes, piloter une BAR + synthé + expander ça impressionnait les potes, fallait fouiller, persévérer, bricoler pour pouvoir faire des trucs, cette contrainte permettait de voir les passionnés, ceux qui avaient vraiment envie de s'y mettre à coup d'économie, d'argent de poches, de petits boulots.
Je ne regrette nullement cette époque (sans non plus souhaiter la revivre) mais je ne cracherai pas dans la soupe qui était très bonne et se méritait à l'époque.
Et puis surtout quand tu parles d'ergonomie douteuse, du coût du matériel et autres, il faut se remettre dans le contexte de l'époque ! Même pour jouer en réseaux avec ses potes fallait que les parents t'emmène avec ton pc, chez machin-truc qui avait assez de place pour recevoir 4-5 pc pendant une après midi ou une soirée.
Alors oui, hors contexte tout parait moche (comme les performances des voitures du passé) mais avec les yeux de l'époque c'était THE truc. Ma fille de 10ans me parlait récemment du clip de Thriller de MJ : "Ca fait vieillot mais à l'époque ça devait être le top du top des fx pas vrai ?" Elle a tout compris.
Will Zégal
2Rmusic
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