réactions à la news Le Minimoog Model D fait son grand retour

...on peut faire deux fois la même note en essayant d'avoir le même coup d'archet mais forcément çà ne sera jamais la même note à cause de la pression sur l'archet...

Sauf que sur la souris que tu appuis fort ou pas fort çà ne change rien

Demande à la souris, elle en souffre, paix à son âme...

Heu! Encore un rien de Popcorn...

Ce qui fait la chaleur de ces synthés vintages ce sont les composants avec lesquels ils sont fabriqués. Si je ne m'abuse sur la vidéo qui montre les entrailles du model D je n'ai pas vu de "puce" ? En fin de compte toutes ces imperfections, temps de chauffe etc etc donnent une dimension, une profondeur qui n'existe pas ou qui est atténuée ou qu'il faut programmer sur des instruments plus modernes ou complètement numériques. On parle de chaleur dans le sens de rayonnement, comme le rayonnement d'une source de chaleur, par essence "pulsante" à travers l'air ambiant. C'est un peu comme sur un violon, on peut faire deux fois la même note en essayant d'avoir le même coup d'archet mais forcément çà ne sera jamais la même note à cause de la pression sur l'archet, la position de l'archet, le vibrato dans la main qui joue la note, la pression du doigt sur la corde etc etc, il y a une profondeur qui fait qu'on ne se lasse jamais d'un violon (d'un certain point de vue). Avec ces synthés vintages en fin de compte c'est la même problématique des composants qui fonctionnent pour une part de manière "aléatoire" et forcément cela se ressent sur le son, sur le jeu aussi, çà n'est pas seulement quelque chose de subjectif, c'est bien réel et cette profondeur est saisissante, "c'est le même preset mais pas vraiment le même son" ... çà donne de la vie et pour çà les vieux analogiques ont un côté hypnotique.

Ce qui fait la chaleur de ces synthés vintages ce sont les composants avec lesquels ils sont fabriqués. Si je ne m'abuse sur la vidéo qui montre les entrailles du model D je n'ai pas vu de "puce" ? En fin de compte toutes ces imperfections, temps de chauffe etc etc donnent une dimension, une profondeur qui n'existe pas ou qui est atténuée ou qu'il faut programmer sur des instruments plus modernes ou complètement numériques. On parle de chaleur dans le sens de rayonnement, comme le rayonnement d'une source de chaleur, par essence "pulsante" à travers l'air ambiant. C'est un peu comme sur un violon, on peut faire deux fois la même note en essayant d'avoir le même coup d'archet mais forcément çà ne sera jamais la même note à cause de la pression sur l'archet, la position de l'archet, le vibrato dans la main qui joue la note, la pression du doigt sur la corde etc etc, il y a une profondeur qui fait qu'on ne se lasse jamais d'un violon (d'un certain point de vue). Avec ces synthés vintages en fin de compte c'est la même problématique des composants qui fonctionnent pour une part de manière "aléatoire" et forcément cela se ressent sur le son, sur le jeu aussi, çà n'est pas seulement quelque chose de subjectif, c'est bien réel et cette profondeur est saisissante, "c'est le même preset mais pas vraiment le même son" ... çà donne de la vie et pour çà les vieux analogiques ont un côté hypnotique.

soit tu es sur les forums, soit tu fais de la musique