réactions au dossier [Bien débuter] Les gammes et les modes
- 259 réponses
- 67 participants
- 57 010 vues
- 84 followers
newjazz
Lire l'article
Ce thread a été créé automatiquement suite à la publication d'un article. N'hésitez pas à poster vos commentaires ici !
Jimbass
Musikmesser 2013 - Bullshit Gourous - Tocxic Instruments - festivals Foud'Rock, Metal Sphère et la Tour met les Watts
patrick_g75
citation de granch'
Citation :...la discussion. Il me semble aussi qu'elle est séminale: ce que constate Jimbass c'est comment la théorie musicale est entièrement tributaire du nominalisme de la notation et de sa traduction dans le format adapté du clavier. ...
Le diatonique tient le chromatique en esclavage et apprendre la théorie musicale, c'est se plier à cette souveraineté, apprendre sa grammaire. ...Faut-il plier mon oreille à la théorie, ou la théorie à mon oreille? J'ai l'impression que la théorie musicale se cantonne à un "commun" (le Logos, dirait le vieil Héraclite) historiquement restreint, presque victorien ou bourgeois pourrait-on dire.xHors sujet :
Faut-il plier son oreille à la théorie, ou la théorie à son oreille?
A vrai dire, à observer les choses telles qu'elles sont allées, la question ne se pose pas vraiment ainsi.
L'oreille (et la vision aussi par ailleurs) sont pliées, non par la théorie, mais par la "culture" - par la pratique, donc !
Par ailleurs (et laissons de côté la vision - la peinture etc. - qui serait hors-sujet de mon hors-sujet... quoique...)
en tout cas dans l'histoire de la musique pratique, c'est un fait : la théorisation est toujours arrivée en retard - souvent d'au moins une génération - par rapport à la pratique, et en particulier pour ce dont nous parlons ici (la musique "tonale").
Les musiciens qui ont fait avancer le schmilblick (je veux dire : ceux qui ont inventé quelque chose), c'était en faisant des "trucs"... Ils expérimentent, ils cherchent... ils trouvent - et les trucs qu'ils trouvent, en pratiquant, d'autres viennent ensuite pour les étudier de façon à en découvrir, et révéler (et enseigner à ceux qui veulent) les tenants et aboutissants, en théoriser la logique interne, etc.
Mais ça, ce n'est pas très important.
Ce qui important, c'est que "l'oreille est pliée la 'culture'" - c'est-à-dire, pour ce qui nous concerne ici, par les "médias dominants" (pour dire les choses rapidement).
Et ceux qui prétendent qu'ils n'ont jamais besoin d'aucun recul "théorique", et qu'ils font tout ce qu'ils font "à l'oreille", ils ne font, la plupart du temps, que régurgiter (en pâles resucées) ce qu'ils entendent partout tout le temps ailleurs...
Sauf, s'ils font partie de ces quelques génies, exceptionnels, capable de réinventer l'histoire sans rien en savoir ? Allez savoir...
"Le jugement est un outil à tous sujets, et se mêle partout... " (Montaigne / Essais I / chap L)
http://patrickg75.blogspot.fr/
https://patrickg.bandcamp.com/
granch'
Puisque la discussion continue, hors / dans le sujet, j'avancerai deux points en réponse à Patrick (moi, c'est Philippe):
1/ il semblerait que ce soit une pratique orchestrale de l'interprétation, pratique orchestrée par un clavier qui en fait la synthèse qui, même en retard, à formé et contraint la théorie musicale: sur un manche de guitare ou un Linnstrument (pour ne pas parler des instruments fretless), il me semble que des schémas associés à l'énonciation des écarts suffit pour se repérer, c'est le privilège nominaliste des touches blanches sur les noires qui semble obliger à toute cette énonciation des modes depuis le nom des sept notes diatonique - je suis pour une théorie et une musique demi-tonale!
Je suis bien d'accord qu'il faut à un moment ou un autre aborder les questions de fond, mais, justement: c'est le chromatique, qui s'explique physico-physiologiquement, qui fait le fond à mes yeux et la séparation diatonique en sept degrés qui lui dispute ce rôle et nie d'autre solutions comme le pentatonique. Bien sûr, je suis d'accord avec toi, ce renversement est un fait historique.
2/ Peut-être que la théorie musicale, rigide et sûr d'elle-même, est un obstacle à franchir en la comprenant et en la détournant, c'est pas mal de boulot mais beaucoup y sont parvenu tout en restant tributaires de cet écart (je ne vois pas comment comprendre la musique contemporaine sans justement connaître l'historicité, ou au moins la colère, de cet écart). D'un autre côté, nous avons déjà "les oreilles pleines", nous sommes déjà chantés par la musique et de nombreux groupes de musique populaire semblent recréer une théorie idiosyncratique qui leur est propre (il faut bien composer, fixer des morceaux pour les rejouer), au point que lorsqu'ils se démembrent, aucun des participants n'arrive à recréer "la magie", c-à-d. la théorie fabriquée juste pour l'occasion depuis les talents de chacun et qui présidait à leurs morceaux.
(Bien sûr, il faudrait aussi parler de comment la musique répète le déjà connu de façon absolument surprenante ou ennuyeuse, comment un accent peut faire pleurer ou rire par sa richesse ou sa pauvreté, dans le plaisir comme dans l'ennui et vice-versa.)
Sinon, pour revenir sur la question du séminal qui semble tous nous travailler, elle me semble aussi liée à la théorie musicale: à force de faire des allers et retours (gammes) sur une structure rigide, quelque-chose en sortira-t-il?
patrick_g75
Eh bien, Philippe, j'en suis sincèrement désolé, mais je me vois dans l'impossibilité de répondre à ton message, n'ayant pas réussi à en démêler le sens, aussi bien (ou aussi mal) pour son point 1 que pour son point 2.
Sans rancune ?
"Le jugement est un outil à tous sujets, et se mêle partout... " (Montaigne / Essais I / chap L)
http://patrickg75.blogspot.fr/
https://patrickg.bandcamp.com/
the bubble
le jeu de mot était entre "séminal" et "c'est minable", évidemment. trop ambigü; désolé!
je ne me serais jamais permis de parler de cette façon au premier degré. Ce n'est pas du tout mon style. Comme globule, je dirais même "peace" (et non pas "je dirais même plus " comme les dupondts).
Ah, pardon, les jeux de mots, c'est plus fort que moi, mais tout est sincère (sauf la parenthèse évidemment).
Alors, justement, je la ferme, la parenthèse.
Sinon, pour revenir sur la question du séminal qui semble tous nous travailler, elle me semble aussi liée à la théorie musicale: à force de faire des allers et retours (gammes) sur une structure rigide, quelque-chose en sortira-t-il?
Je m'abstiendrai de toute réponse à cette question pour éviter de passer, excusez moi l'expression, "pour un gland". ce n'est pas que je m'en "batte les c" mais bon, c'est peut être au prépus...;euh pardon, au préposé de répondre. j'ajouterais simplement et en deux mots:
dans la vie, et ce n'est pas du séminal (pardon, du cinéma je déraille encore), toute tension engendre une résolution. Tonale ou pentatonique selon le "cri de la bête". Il reste cependant un bémol; si plaisir (de jeu) il manque, de chant il n'y aura pas. Donc toute tension n'engendre pas de musique, mais engendre tout de même une résolution. cette résolution peut aussi amener une nouvelle tension, si la première n'a pas suffit.Ainsi va la musique et la vie.
[ Dernière édition du message le 07/08/2015 à 22:17:32 ]
granch'
Pour finir sur les intervalles plus que les gammes, une petite vidéo sur laquelle je suis tombé il y a quelques temps et qui me donne envie de pratiquer l'exercice à la revoir (la ratio simplicité théorique, richesse sonore me semble pas mal, d'autant que je ne suis pas fan d'exercice, je suis un gland qui s'assume):
patrick_g75
Citation de granch'Citation :J'ai l'impression de produire une salade (je n'ose dire yaourt) avec des morceaux de vrais dedans, juste que je ne sais pas tout à fait où ils se trouvent. Si ce qui ce conçoit clairement s'énonce clairement et si ce dont on ne peut parler, il faut le taire, alors on ne raconterait finalement pas grand chose
...
Peut-être, Philippe, que celui qui a dit ça, que "ce qui ce conçoit clairement s'énonce clairement",voulait dire : c'est justement pour penser clair, pour s'éclaircir ses idées (et mieux qu'à moitié si possible), qu'il est un bon moyen : faire l'effort de les énoncer clairement (et pas seulement pour les autres, mais d'abord à soi-même)...
Tu vois, comme une espèce d'exercice...
Enfin, ce que j'en dis, ce n'est sans doute qu'une interprétation.
Celui qui a dit ça, il y a un peu plus de trois siècles (pas Wittgenstein, donc, mais un autre), ne voulait pas dire, je crois, qu'il faut la boucler quand on se trouve aux prises avec des pensées dont on croit ne pouvoir rien (se) dire qui soit clair. Mais, je crois qu'il aurait été d'accord avec moi pour te dire (hé, il n'est plus là pour me contredire !), pour te dire, donc :
"Vas, mon fils, vas-y, cherche, et tu trouveras !"
"Le jugement est un outil à tous sujets, et se mêle partout... " (Montaigne / Essais I / chap L)
http://patrickg75.blogspot.fr/
https://patrickg.bandcamp.com/
patrick_g75
...
Pour finir sur les intervalles plus que les gammes, une petite vidéo sur laquelle je suis tombé il y a quelques temps et qui me donne envie de pratiquer l'exercice à la revoir (la ratio simplicité théorique, richesse sonore me semble pas mal, d'autant que je ne suis pas fan d'exercice....
Ah oui, je n'avais pas bien retenu que tu te présentes "comme un gland qui s'assume"...
et moi qui t'invitait justement à faire de l'exercice !
Ça a l'air bien cette petite vidéo... dommage que ce ne soit pas raconté en gallo-romain actuel...
Bon, pendant que les tôliers sont en vacances... juste une remarque : je n'ai pas bien compris ta restriction "sur les intervalles plus que sur les gammes" ?
Les gammes ne sont rien d'autres que des systèmes d'intervalles, non ?
C'est à dire, non seulement comme des 'séries' d'intervalles (celles qui servent à décrire les modes) qui ont été présentées ici, mais bien aussi comme la structure des relations entre leurs différents degrés...
Exemple : une gamme est définie par l'intervalle entre le premier et le second, le second et le troisième, etc. OK. Mais elle est aussi définie, cette 'gamme', par exemple par l'intervalle ('intervalle') particulier entre le degré nommé "tonique" et le degré nommé "dominante"... et, par exemple, le demi-ton (intervalle) placé pour caractériser le mode majeur entre les degrés III et IV, n'a pas la même fonction que le même intervalle ('intervalle') d'un demi-ton placé entre le VII, la sensible, et la tonique.
Bref : pas d'intervalle qui s'entende (se comprenne) en dehors d'un système - nommé 'gamme' ; et pas de gamme qui ne soit faite d'intervalles - pas de système qui ne soit fait de relations.
(Bon, je retourne à ma sieste...)
"Le jugement est un outil à tous sujets, et se mêle partout... " (Montaigne / Essais I / chap L)
http://patrickg75.blogspot.fr/
https://patrickg.bandcamp.com/
granch'
J'ai trouvé ce schéma où quelqu'un habitué au piano cherche à adapter le clavier au manche de la guitare:
http://egalo.com/guitar-fretboard-visualization-chart-with-note-names.pdf
Je trouve que ça fonctionne que très moyennement, et pour cause: le plus simple pour apprivoiser un manche (on en revient toujours là) de guitare, c'est le schéma pentatonique (le problème des guitaristes, ensuite, est de ne pas rester enfermé dedans dans un blues sans fin): on ne joue que les touches noire, celles qui n'ont pas de nom propre!
Et remarque comment on appelle ce schéma le pentatonique mineure ("naturel" si j'ai bien suivi la seconde leçon du dossier), ce que je que je trouve un peu abusif puisqu'on peut tout autant "commencer" trois "cases" plus haut et on ne jouera que des notes naturelles qui appartiennent à la gamme majeur (avec ce vocabulaire, au lieu de commencer par "voir la carte" des intervalles, on commence par la "récitation" d'une gamme avec sa racine dont on suivra l'ordre restreint, pour l'échanger pour un autre, à la rigueur, au moment d'un changement de tonalité).
Mais tout cette discussion est enrichissante, puisqu'elle suggère qu'il faut négocier l'opacité d'une théorie qui va s'imaginant transparente: je commence à comprendre depuis quelles prémisses je vais pouvoir suivre les leçons (au demeurant fort bien exposées!) de ce dossier.
didas_94
Bonjour,
une excellente petite synthèse de la théorie musicale, à boire sans modération.
http://academic.udayton.edu/tobyrush/theorypages/pdf/complete.pdf
https://soundcloud.com/boba77
Pretextat
azertyvince
Oui et bien applique le à toi-même et tu seras soulagé .
Oh bah oui, c'est bien ce que je fais.
et ça me va bien,
ce qui ne m'empêche pas de m'intéresser à la théorie pour élargir mon horizon.
Learn, learn, learn.
[ Dernière édition du message le 21/08/2015 à 23:54:06 ]
didas_94
Bonsoir,
pour celles et ceux qui souhaitent entre plus d'un millier de style musicaux différents.
http://everynoise.com/engenremap.html
une excellente idée
https://soundcloud.com/boba77
francesd
mirak63
Je crois que le truc est juste une question d'ordre. Savoir si l'on commence par "voir" les intervalles et leur schémas, ou la gamme, et son énoncé (déjà orienté) directement traduit sur le clavier. Si on commence l'histoire avec Pythagore ou Bach (en dehors même de la question bien réelle du tempérament).
Là tu restreinds trop à une vision décorélée de l'écoute.
Le problème n'est pas tant de voir, que d'entendre.
Or à l'écoute, ce qu'on entend en premier ce sont des intervalles par rapport à la tonique, plus que des intervalles entre notes consécutives.
En effet, la base de la musique, et c'est ce que la théorie explique, c'est la gravitation du morceau de musique autour d'une note qui s'appelle la tonique.
La présence de la tonique est ressentie même quand elle n'est pas jouée à un instant T donné.
Par exemple sur une cadence II V I, quand on est sur le II, la tonique I n'est pas jouée et audible physiquement, mais on l'attend, car sa présence persiste dans notre esprit.
J'ai trouvé ce schéma où quelqu'un habitué au piano cherche à adapter le clavier au manche de la guitare:
http://egalo.com/guitar-fretboard-visualization-chart-with-note-names.pdf
Je trouve que ça fonctionne que très moyennement, et pour cause: le plus simple pour apprivoiser un manche (on en revient toujours là) de guitare, c'est le schéma pentatonique (le problème des guitaristes, ensuite, est de ne pas rester enfermé dedans dans un blues sans fin): on ne joue que les touches noire, celles qui n'ont pas de nom propre!
Et remarque comment on appelle ce schéma le pentatonique mineure ("naturel" si j'ai bien suivi la seconde leçon du dossier), ce que je que je trouve un peu abusif puisqu'on peut tout autant "commencer" trois "cases" plus haut et on ne jouera que des notes naturelles qui appartiennent à la gamme majeur (avec ce vocabulaire, au lieu de commencer par "voir la carte" des intervalles, on commence par la "récitation" d'une gamme avec sa racine dont on suivra l'ordre restreint, pour l'échanger pour un autre, à la rigueur, au moment d'un changement de tonalité).
Mais tout cette discussion est enrichissante, puisqu'elle suggère qu'il faut négocier l'opacité d'une théorie qui va s'imaginant transparente: je commence à comprendre depuis quelles prémisses je vais pouvoir suivre les leçons (au demeurant fort bien exposées!) de ce dossier.
La racine de la gamme c'est la tonique, autant utiliser le bon terme.
Si il y a une penta mineur et une penta majeure qui ont les mêmes notes, mais qui s'appellent différement, c'est bien parceque la tonique est différente, et donc que le rôle de chaque note est différent.
Ce rôle différent engendre une perception radicalement différente.
L'une sera plutot triste, l'autre plutot joyeuse.
Tout ça est conditionné à quel note est prise comme note centrale.
D'où l'importance de considérer les gammes de façon verticale, avec les intervalles par rapport à la tonique.
lodeli
Or à l'écoute, ce qu'on entend en premier ce sont des intervalles par rapport à la tonique, plus que des intervalles entre notes consécutives.
parfaitement d'accord.
personnellemnt je n'ai jamais compris comment on pouvait gerer les intervalles par rapport à la note precedente alors que par rapport à la tonique (ou la fondamentale) ça tombe sous le sens.
Anonyme
Or à l'écoute, ce qu'on entend en premier ce sont des intervalles par rapport à la tonique, plus que des intervalles entre notes consécutives.
Pas forcément.
[ Dernière édition du message le 21/12/2015 à 20:25:01 ]
didas_94
Pour ceux qui souhaite un memento de la théorie musicale (en Anglais), très bien fait (AMHA), et gratuit.
https://soundcloud.com/boba77
Anonyme
est-ce que quelqu'un connait le nom de la gamme suivante :
do ré# mi fa sol la# si do
didas_94
Bonjour,
cela ne serait pas plutôt
Sib et Mib pour la tonalité de Sib Maj
https://soundcloud.com/boba77
didas_94
Voici un excellent petit soft à 10€. Qui permet de se faire une idée de l'harmonie tonale à travers une map. C'est un outil qui demande un peu de travail d'apprentissage, mais très puissant. Il a la possibilité de détécter les enchainements d'accord, blufant...
Mapping Tonal Harmony Pro
https://soundcloud.com/boba77
Anonyme
cela ne serait pas plutôt Sib et Mib pour la tonalité de Sib Maj
j'ai utilisé "l'orthographe" ré# la# parce que cette gamme de 7 notes contient également mi et si, mais on pourrait en discuter !
Roland utilise cette gamme "do ré# mi fa sol la# si do" dans les Jupiter 50-80 pour le réglage de molette de pitch-bend des cuivres et saxos Super Natural. Cela produit une montée discontinue à l'octave plus réaliste qu'un bend mais pas forcément jouable facilement par un vrai instrument !
Peut-être que cette gamme est juste une astuce pour faire une montée rapide "mineure-majeure" qui sonnerait mieux qu'un chromatisme complet de 12 notes ?
globetrottet
https://itunes.apple.com/fr/book/guitare-kine/id1065479192?mt=13
didas_94
Un très bon article en 4 parties sur les modes avec des exemples.
https://matthieugilot.wordpress.com/2013/04/03/comprendre-les-modes-premiere-partie/
https://soundcloud.com/boba77
jouf
Bonjour,
est-ce que quelqu'un connait le nom de la gamme suivante :
do ré# mi fa sol la# si do
(NB Ce mode n'est issu d'aucun des systèmes diatoniques), je l'appellerais Ionien #2#6.
En effet il a les deux degrés harmoniques augmentés sinon c'est un Ionien.
#2,3,4,5,#6,7
[ Dernière édition du message le 05/05/2016 à 18:07:32 ]
- < Liste des sujets
- Charte

