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Des photos de vos home-studios et les discussions qui vont avec

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Sujet de la discussion Des photos de vos home-studios et les discussions qui vont avec

Aaaaah merci mon gars !!! :D::aime::D::aime::D::aime::D::aime::D::aime::D::aime::D::aime::D::aime::D::aime::8)

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68001
En fait c'est justement l'intention, suite au fait que Cage s'est rendu compte que même dans une chambre anéchoïque, il était impossible d'être dans le silence.
68002
Personne n'entendra donc jamais cette œuvre dans des conditions idéales..
68003
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Hors sujet :
Citation :
Cage recounted, “You could hear the wind stirring outside during the first movement. During the second, raindrops began pattering the roof, and during the third people themselves made all kinds of interesting sounds as they talked or walked out.” Cage saw silence as a way to attune audiences to the soundtrack of everyday life, to bring them to consider all the sounds around them as music, thus undoing the idea of a hierarchy of sound, opening up the infinite possibilities of ambient sound, and rethinking the very notion of what music is. As a piece of music that cannot be controlled by the composer and which is necessarily different every time it is performed, 4'33" also exemplifies Cage’s interest in using chance as a compositional strategy.



Traduction :
Spoiler - Cliquer ici pour lire la suite

« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫

[ Dernière édition du message le 20/10/2023 à 18:32:00 ]

68004
Si par idéales tu veux dire dans un silence parfait, ce n'était pas l'intention de Cage justement : il postulait que les bruits "parasites" sont justement ce qu'il y a à écouter pendant cette œuvre silencieuse, au même titre qu'on entend notre propre pouls ou diverses fréquences nerveuses s'invitant dans notre oreille interne dans une chambre anéchoïque. (et des acouphènes assourdissants, si on a la chance d'être comme moi :facepalm:)
68005
Merci Iky mais on sait lire :mrg:

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

68006
Dans un registre comparable, Debussy écrivait que la musique n’est pas dans les notes, mais dans l’espace entre celles-ci.
Le grand Miles disait lui-même « it’s not the notes you play, it’s the notes you don’t play»
:idee2:

It don't mean a thing if it ain't got a swing !

68007
J'ai rédigé alors que le post de Point-virgule n'était pas encore apparent, et comme une fois validé, la page ne montre pas les posts avant celui que tu viens d'envoyer, je ne l'ai pas vu après non plus... (sinon je ne me serais pas embêté en effet)

[ Dernière édition du message le 20/10/2023 à 20:15:09 ]

68008
:langue:

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

68009
68010
Mais fuck, Cage n’a jamais été qu’un branleur

On the internets, nobody knows you are a dog

I try

68011
Hé ho ! Tu n'imagines pas la quantité de Bovis qu'il a fallut générer puis dépenser pour coucher cette partition silencieuse sur le papier ! :oops2:
68012
Je ferais bien un petit plagiat de 4'33". Mais discret, quoi, que ça ne se remarque pas..
68013
:mdr:
C’est bien, vous n’avez pas cédé à ma provoc à deux balles

On the internets, nobody knows you are a dog

I try

68014
68015
Il y a d'autres patronymés "Cage" qui souffrent de critiques par ailleurs. :mrg:
(cinéma, JV...)
68016
Oui, a chacun ses références, donc. Et la conviction que si on en dit du mal, on parle sûrement d'un autre..
68017
Citation de kosmix :
Le Wavestation c'est des wavetables + du vectoriel. De très grandes possibilités mais pour l'édition c'est l'usine à gaz. N'étant pas sounddesigner et plutôt limité à la synthèse soustractive, cela ne ma pas convenu, à moins d'utiliser des banques toutes faites en effet.


C'est sûr que dès qu'on descend au niveau des Patches et des Wavesequences, l'édition devient compliquée et peu intuitive même sur les versions à grand écran.
La machine souffre d'une structure mémoire difficile à appréhender, et d'une puissance de calcul un peu chiche. L'éditeur logiciel de SoundTower est gratuit mais son ergonomie est également d'un autre âge. Le WS/SR, avec ses nombreuses banques RAM, ROM et ses slots pour cartes mémoire est un peu l'aveu que personne n'a vraiment envie de programmer la machine soi-même.
Heureusement, outre la version VSTi de Korg, et un certain héritage avec le Wavestate (usine à gaz moderne) réel ou virtuel, il y a pléthore de banques disponibles pour les machines originales, notamment - et surtout - dans le style Ambient où le WS fait encore des merveilles.

De mémoire, les premiers albums de Max Corbacho étaient faits avec un Korg WS/EX (dont on reconnaitra la couleur), un Akai S2000 et une Yamaha REV-500.

https://maxcorbacho.com/vestiges/
https://maxcorbacho.bandcamp.com/

« What is full of redundancy or formula is predictably boring. What is free of all structure or discipline is randomly boring. In between lies art. » (Wendy Carlos)

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Les "Wavesequences" sont une des principales choses qui m'avaient attiré quand j'ai acquis le WS/AD, mais je n'avais pas réalisé à quel point c'était compliqué à gérer. Autre problème, c'est qu'il n'y ait pas de mémoire user vierge. Du coup, quand on modifie un patch, on doit en écraser un autre pour le sauver et tous les sons de l'appareil contenant cet "autre" vont se trouver modifiés. C'est assez agaçant.
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Citation de sonicsnap :
quand on modifie un patch (...) tous les sons de l'appareil contenant cet "autre" vont se trouver modifiés. C'est assez agaçant.


Effectivement, les WS n'ont pas de buffer d'édition temporaire couvrant l'ensemble Wavesequences, Patches et Performances, dont on pourrait capturer un instantané en SysEx, comme on peut le faire avec - par exemple - un JD-990 de la même époque. Défaut corrigé par les éditeurs logiciels, qui gèrent de manière externe la cohérence de ces éléments puisque la machine n'est pas en capacité de le faire faute d'une quantité de RAM suffisante.

40 ans après, Roland a d'ailleurs réussi à reproduire cette logique intemporelle avec les ZEN-Core, dont la gestion de la sauvegarde des patches s'offre le luxe d'être variable selon les modèles : individuelle, par référence, en bloc ou même carrément absente. Mais toujours en binaires non documentés. :mrg:

« What is full of redundancy or formula is predictably boring. What is free of all structure or discipline is randomly boring. In between lies art. » (Wendy Carlos)

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Citation de sonicsnap :
Les "Wavesequences" sont une des principales choses qui m'avaient attiré quand j'ai acquis le WS/AD, mais je n'avais pas réalisé à quel point c'était compliqué à gérer. Autre problème, c'est qu'il n'y ait pas de mémoire user vierge. Du coup, quand on modifie un patch, on doit en écraser un autre pour le sauver et tous les sons de l'appareil contenant cet "autre" vont se trouver modifiés. C'est assez agaçant.


Une petite carte RAM et c'est réglé :clin:
C'est un problème récurrent dans la majorité des machines aujourd'hui et pourtant la mémoire n'est plus une limite technique en terme de coût.

Quand je vois que mon System 8 n'a que 64 emplacements (par moteur certes mais c'est pingre) et qu'ils ne sont même pas foutu de faire des performances avec les patches associés intégrés (c'est possible, le Summit le fait) ou encore qu'on ne puisse pas faire une pré-écoute des sons stockés sur la carte mémoire (ce qui se fait aussi ailleurs), c'est frustrant.
Même avec mon D50 de 1988 j'ai 2 fois plus de patches accessibles...

Et au sein d'une même marque, tu as des gestions différentes, le JDXA c'est une clé USB avec une banque user supplémentaire en accès direct, le S8 c'est une SD et uniquement pour le stockage...

Et ne parlons pas de la Tr8s, les kits sont enregistrés séparément des patterns, pourquoi pas. Mais que ces derniers ne puissent pas prendre en compte les éditions de kits sachant que tout est déjà presque plein, bof...
Et la gestion des samples ne se fait pas par le même menu et ils sont enregistrés en vrac par ordre alphabétique.

Nippon, ni mauvais.

[ Dernière édition du message le 23/10/2023 à 11:44:35 ]

68022
Citation de ToonSpirit :
Même avec mon D50 de 1988 j'ai 2 fois plus de patches accessibles...


Mmh... le D-50 c'est 64 patches en interne et 64 patches sur la carte mémoire (pour ceux qui en ont)...
Le Juno-106 offrait 128 mémoires user ce qui était bien pour l'époque.

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

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Quand j'ai acheté le WS/AD d'occaze en 1995, je n'avais pas trouvé de cartes mémoire..
68024

S'il n'y a pas de solution, c'est qu'il n'y a pas de problème.

68025
Merci Beatless. Je savais bien que maintenant on en trouvait sur le net, mais pour ce que j'utilise maintenant le WS/AD, je peux m'en passer.