Des photos de vos home-studios et les discussions qui vont avec
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Whynot
Aaaaah merci mon gars !!! ![]()
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iktomi
sonicsnap
Point-virgule
Citation :Cage recounted, “You could hear the wind stirring outside during the first movement. During the second, raindrops began pattering the roof, and during the third people themselves made all kinds of interesting sounds as they talked or walked out.” Cage saw silence as a way to attune audiences to the soundtrack of everyday life, to bring them to consider all the sounds around them as music, thus undoing the idea of a hierarchy of sound, opening up the infinite possibilities of ambient sound, and rethinking the very notion of what music is. As a piece of music that cannot be controlled by the composer and which is necessarily different every time it is performed, 4'33" also exemplifies Cage’s interest in using chance as a compositional strategy.
Traduction :
Spoiler - Cliquer ici pour lire la suiteCage racontait : "Vous pouviez entendre le vent souffler à l'extérieur pendant le premier mouvement. Pendant le second, des gouttes de pluie commencèrent à crépiter sur le toit et pendant le troisième les gens eux-mêmes firent plein de sons intéressants en parlant ou en sortant". Cage vit le silence comme un moyen d'amener les publics vers la bande-son du quotidien, de leur faire prendre conscience de tous les sons autour d'eux comme d'une musique, de défaire ainsi l'idée d'une hiérarchie des sons, ouvrant les infinies possibilités du son d'ambiance, et de repenser ce qu'est la notion même de musique. En tant que morceau de musique qui ne peut être contrôlé par le compositeur et qui est nécessairement différent chaque fois qu'il est joué, 4'33'' illustre l'intérêt de Cage pour le hasard en tant que stratégie de composition.
« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫
[ Dernière édition du message le 20/10/2023 à 18:32:00 ]
iktomi
kosmix
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
SmoothWax
Le grand Miles disait lui-même « it’s not the notes you play, it’s the notes you don’t play»
It don't mean a thing if it ain't got a swing !
iktomi
[ Dernière édition du message le 20/10/2023 à 20:15:09 ]
kosmix
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
iktomi
roth weiler
On the internets, nobody knows you are a dog
iktomi
sonicsnap
roth weiler
C’est bien, vous n’avez pas cédé à ma provoc à deux balles
On the internets, nobody knows you are a dog
sonicsnap
iktomi
(cinéma, JV...)
sonicsnap
.: Odon Quelconque :.
Le Wavestation c'est des wavetables + du vectoriel. De très grandes possibilités mais pour l'édition c'est l'usine à gaz. N'étant pas sounddesigner et plutôt limité à la synthèse soustractive, cela ne ma pas convenu, à moins d'utiliser des banques toutes faites en effet.
C'est sûr que dès qu'on descend au niveau des Patches et des Wavesequences, l'édition devient compliquée et peu intuitive même sur les versions à grand écran.
La machine souffre d'une structure mémoire difficile à appréhender, et d'une puissance de calcul un peu chiche. L'éditeur logiciel de SoundTower est gratuit mais son ergonomie est également d'un autre âge. Le WS/SR, avec ses nombreuses banques RAM, ROM et ses slots pour cartes mémoire est un peu l'aveu que personne n'a vraiment envie de programmer la machine soi-même.
Heureusement, outre la version VSTi de Korg, et un certain héritage avec le Wavestate (usine à gaz moderne) réel ou virtuel, il y a pléthore de banques disponibles pour les machines originales, notamment - et surtout - dans le style Ambient où le WS fait encore des merveilles.
De mémoire, les premiers albums de Max Corbacho étaient faits avec un Korg WS/EX (dont on reconnaitra la couleur), un Akai S2000 et une Yamaha REV-500.
https://maxcorbacho.com/vestiges/
https://maxcorbacho.bandcamp.com/
« What is full of redundancy or formula is predictably boring. What is free of all structure or discipline is randomly boring. In between lies art. » (Wendy Carlos)
sonicsnap
.: Odon Quelconque :.
quand on modifie un patch (...) tous les sons de l'appareil contenant cet "autre" vont se trouver modifiés. C'est assez agaçant.
Effectivement, les WS n'ont pas de buffer d'édition temporaire couvrant l'ensemble Wavesequences, Patches et Performances, dont on pourrait capturer un instantané en SysEx, comme on peut le faire avec - par exemple - un JD-990 de la même époque. Défaut corrigé par les éditeurs logiciels, qui gèrent de manière externe la cohérence de ces éléments puisque la machine n'est pas en capacité de le faire faute d'une quantité de RAM suffisante.
40 ans après, Roland a d'ailleurs réussi à reproduire cette logique intemporelle avec les ZEN-Core, dont la gestion de la sauvegarde des patches s'offre le luxe d'être variable selon les modèles : individuelle, par référence, en bloc ou même carrément absente. Mais toujours en binaires non documentés.
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sonicsnap
ToonSpirit
Les "Wavesequences" sont une des principales choses qui m'avaient attiré quand j'ai acquis le WS/AD, mais je n'avais pas réalisé à quel point c'était compliqué à gérer. Autre problème, c'est qu'il n'y ait pas de mémoire user vierge. Du coup, quand on modifie un patch, on doit en écraser un autre pour le sauver et tous les sons de l'appareil contenant cet "autre" vont se trouver modifiés. C'est assez agaçant.
Une petite carte RAM et c'est réglé
C'est un problème récurrent dans la majorité des machines aujourd'hui et pourtant la mémoire n'est plus une limite technique en terme de coût.
Quand je vois que mon System 8 n'a que 64 emplacements (par moteur certes mais c'est pingre) et qu'ils ne sont même pas foutu de faire des performances avec les patches associés intégrés (c'est possible, le Summit le fait) ou encore qu'on ne puisse pas faire une pré-écoute des sons stockés sur la carte mémoire (ce qui se fait aussi ailleurs), c'est frustrant.
Même avec mon D50 de 1988 j'ai 2 fois plus de patches accessibles...
Et au sein d'une même marque, tu as des gestions différentes, le JDXA c'est une clé USB avec une banque user supplémentaire en accès direct, le S8 c'est une SD et uniquement pour le stockage...
Et ne parlons pas de la Tr8s, les kits sont enregistrés séparément des patterns, pourquoi pas. Mais que ces derniers ne puissent pas prendre en compte les éditions de kits sachant que tout est déjà presque plein, bof...
Et la gestion des samples ne se fait pas par le même menu et ils sont enregistrés en vrac par ordre alphabétique.
Nippon, ni mauvais.
[ Dernière édition du message le 23/10/2023 à 11:44:35 ]
kosmix
Même avec mon D50 de 1988 j'ai 2 fois plus de patches accessibles...
Mmh... le D-50 c'est 64 patches en interne et 64 patches sur la carte mémoire (pour ceux qui en ont)...
Le Juno-106 offrait 128 mémoires user ce qui était bien pour l'époque.
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
sonicsnap
Beatless
S'il n'y a pas de solution, c'est qu'il n'y a pas de problème.
sonicsnap
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