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fairbec

Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...

Neveud

aujourd'hui je reste couché / tout a déja été fait / rien ne disparait / tout s'accumule (dYmanche)

will_bru

On va faire quoi maintenant ??
Réécouter du rocK ?? Bordel c'est censé être mort depuis les 80's... On est mal barrés les gars...
In the midnight hour, she cried more, more, more, with a rebell yell she cried more more more...

Anonyme


Anonyme


Polaroil

"And in the end, the love you take is equal to the love you make"

will_bru

In the midnight hour, she cried more, more, more, with a rebell yell she cried more more more...

Neveud

aujourd'hui je reste couché / tout a déja été fait / rien ne disparait / tout s'accumule (dYmanche)

kosmix


Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

Rifki

Pas mieux

will_bru

In the midnight hour, she cried more, more, more, with a rebell yell she cried more more more...
[ Dernière édition du message le 19/11/2024 à 08:50:52 ]

kosmix

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

Neveud


Entendu parler nulle part, pas vu passer, pas sorti dans ma ville...qu'en est-il, ça vous parle?
Zemeckis, quoi (retour vers le futur, Forrest gump, Seul au au monde, Flight etc etc)
même si c'est possiblement pas très bon, très étonné du silence complet.
aujourd'hui je reste couché / tout a déja été fait / rien ne disparait / tout s'accumule (dYmanche)
[ Dernière édition du message le 21/11/2024 à 16:32:27 ]

kosmix


Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

Anonyme

Ni chaines ni maitres comme ex récent, n'a fait aucun bruit, pourtant je le trouve intéressant.

will_bru

même si c'est possiblement pas très bon, très étonné du silence complet.
J'en ai entendu parler par des critiques youtube cinema, et de l'avis quasi général, c'est excellent, mais tous se désolent que le bide est assuré. Pas de comm, sorties rares en salles, fenêtre de sortie super réduite... On a l'impression que le film est sabordé.
In the midnight hour, she cried more, more, more, with a rebell yell she cried more more more...

Anonyme

j'ai tenu 45 min.......après the substance, ça fait mal de s'enfiler ça......pas pu.


Pictocube

Vu Perfect days ce week-end.
Très contemplatif, très peu de dialogues, tout est sujet à l'interprétation du spectateur, jusqu'au propos global illustré par la scène finale, mais c'est une petite perle. La réalisation est très belle, une leçon de cadrage magnifique, en plus en format 4:3... Et la bande son est utilisée avec soin dans la mise en scène. Quelques pointe d'humour très fine. C'est très en profondeur, très soigné, le montage, les choix de prises de vues. Je l'ai regardé deux fois de suite.
J'ai beaucoup apprécié ce film.
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
[ Dernière édition du message le 25/11/2024 à 13:44:52 ]

kosmix

Session 9 (2001 mais sorti en direct to video en... 2006) : nanar minable avec David Caruso (les experts Miami) et Paul Guilfoyle (les experts tout court


Conseillé par un ami qui avait lu de bonnes critiques. Ahahah. "Fear is a place", ahahah ! Une équipe de désamianteurs va en baver dans un hôpital psychiatrique désaffecté. Les mecs sont 5 et ils ont 1 semaine pour désamianter ça (hihihi


Matériel : une espèce de chariot qui arrache les dalles du sol. Des bennes ? Non. Des camions-bennes ? Non. Ils ont le van de la boîte


Alors ça bosse ? Bah non pas vraiment. Ça discute surtout. Et puis il y a un gars de l'équipe qui ne branle strictement rien niveau taf. Il préfère enquêter sur le complexe en écoutant des vielles bandes magnétiques. Bah les autres y arriveront bien à 4

Alors c'est quoi ce film qui fait peur ? Il y a des monstres ? Genre zombies ou pestiférés ? Des fantômes ? Bah non strictement rien. L'idée il me semble c'est que tout le monde va devenir fou, mais en fait ils sont juste très très cons et passent leur temps à se fritter pour savoir qui aura la plus grosse entre Caruso (le rebelle) et son "pote" qui est le chef de l'entreprise.
Voilà.
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
[ Dernière édition du message le 25/11/2024 à 17:06:53 ]

Anonyme


Neveud

aujourd'hui je reste couché / tout a déja été fait / rien ne disparait / tout s'accumule (dYmanche)

Anonyme

ok je sort


Ouatisit



kosmix

Sublime Gate et Neveud : ouais j'assume le film de désamiantage, par-contre je vais arrêter d'écouter mon pote pour ce qui est des films à mater. Pour info on l'a vu ensemble (genre : OK tu me dis que c'est bien mais tu ne l'as pas vu, voyons-le ensemble) et il était bien vénère lui aussi

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

Will Zégal

Rien à dire, un vrai régal. Dans le premier, on voit surtout ses relations avec les musiciens avec lesquels il travaille. Très axé sur sa période jazz. Beaucoup de musique, des vannes... On se régale. Un flamboiement de musique et de création.
Dans le second, on le voit surtout travailler avec un trio à cordes sur un morceau plus contemporain. Plus de lenteur, plus de profondeur Sans doute grâce aux mots et réflexions de Zorn qui accompagnent le film.
Le troisième, encore différent, est surtout centré sur le travail de la cantatrice Barbara Hannigan (avec le pianiste Stephen Gosling) sur une pièce piano-voix pour laquelle Zorn l'a sollicitée et qui lui pose de grosses difficultés.
Celui-ci est tout petit un peu long (surtout quand on s'est bouffé les deux autres, et il est aussi un peu plus long), mais c'est passionnant de voir, et les relations (épistolaires d'abord) que les deux entretiennent, et le difficile travail et les doutes de Hannigan, les encouragements bien sentis de Zorn (toujours par mail "les parties où tu galères ne représentent qu'une minute sur une oeuvre de 22 mn"), puis à l'approche du spectacle l'arrivée de Zorn et comment en réglant de menus détails, il libère la cantatrice et améliore grandement l'oeuvre en vue de sa représentation.
A chaque fois, beaucoup d'humanité, de l'exigence, de l'amitié voire de l'affection et de l'audace musicale...
5 altos sur 5.
Un article où Amalric parle de la genèse et de la réalisation de ces films
https://www.citizenjazz.com/Trilogie-John-Zorn-Amalric-se-confie.html
[ Dernière édition du message le 26/11/2024 à 22:18:52 ]

Neveud


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