Le Pub de l'écologie
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Anonyme
en dégrossissant vulgairement la chose je me suis rendu compte que comme sur pas mal de sujets, on à pas tous les mêmes idées. et c'est ca qui est super :petitnicolas:
pour eviter de pourrir tous les sujets avec nos bio-conneries, je vous propose juste de nous dire si vous pensez:
1/ que la planète court un réel danger.
2/ que c'est pas si catastrophique que ca et qu'on à le temps de voir venir les choses sans paniquer.
Anonyme
- habitat dense (cente-ville)> réseau de collecte des eaux pluviales
Là il te faut une citerne de la taille d'un très grand lac, pourquoi pas de toutes façon on n'a déjà plus de possibilité de remettre l'eau à la terre.
- avec des intermédiaires > puisard d'absorption et trop-plein vers réseau de collecte.
Là tu peux chier dans le trop plein
- habitat diffus > puisard d'absorption
Pourquoi pas, ça ne ferra pas un grand manque pour la terre
[ Dernière édition du message le 29/03/2018 à 23:08:21 ]
oryjen
60 millions de personnes livrées à elles-mêmes, c'est une masse sans meneur, où chacun part dans la direction qu'il veut, inspirée par les media et la mode du moment, tout simplement.
Non, car on mesure mal combien les média, la mode et toutes ces fariboles sont les fruits blets d'un système vertical basé sur l'existence de meneurs, justement.
Ils leur sont un outil indispensable.
Une société sans meneur ne serait peut-être pas plus intelligente, ni plus apte à "prendre de bonnes décisions", ni plus "efficace", mais voyons bien que c'est l'efficacité elle-même, la réussite de ce système vertical qui nous ont conduits à la catastrophe sur le seuil de laquelle nous nous tenons.
Et même, il me semble évident que sans meneur, et la redoutable organisation inhérente à sa présence à la tête du troupeau aveugle, nous n'aurions pas été en mesure de proliférer comme nous l'avons fait.
Je pense comme toi que les masses sont aveugles, et que si nous pouvons mettre au crédit de l'homme individuel parfois certain génie, l'intelligence collective est une fable, et n'existe pas.
Au mieux, il y a quelquefois des meneurs brillants et visionnaires -dans certains domaines.
Prolifération, voilà le mot: Poussés par une sorte de tropisme naturel, émanant nous-mêmes de mécanismes naturels, nos actions animées de principes naturels, nous proliférons, et notre appétit insatiable en désire toujours davantage.
Affolés par la puissance, le potentiel d'action que nous avons atteints, et ayant par conséquent massivement renoncé à toute sagesse et à toute modération, nous réalisons automatiquement tout ce que nous pouvons réaliser, nous emparons automatiquement de tout ce dont nous pouvons nous emparer, au seul motif que ça nous est possible.
Aveugles et bêtes au sens premier, les sursauts de conscience ne sont qu'individuels, et désormais noyés dans l'immensité du nombre régi par le principe de prolifération, n'ont plus aucun impact sur le déroulement global des évènements.
Vus de l'espace, nous nous présentons comme une sorte de maladie fulgurante.
Normalement, on ne devrait pas trop tarder à voir se présenter les anticorps.
A moins qu'ils ne soient déjà à l'oeuvre et que nous refusions de les considérer pour ce qu'ils sont vraiment.
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
[ Dernière édition du message le 30/03/2018 à 07:28:15 ]
j-master
la redoutable organisation inhérente à sa présence à la tête du troupeau aveugle,
.... où les lectures ressortent, en filigrane
"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus
j-master
la redoutable organisation inhérente à sa présence à la tête du troupeau aveugle,
.... où les lectures ressortent, en filigrane
"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus
j-master
la redoutable organisation inhérente à sa présence à la tête du troupeau aveugle,
.... où les lectures ressortent, en filigrane
"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus
oryjen
Peut-être même pas un bouquin que j'aurais lu, mais dont j'aurais entendu parler...
J'ai une (grande) citerne d'eau de pluie dans ma maison des années 1930, c'était très courant. Tout comme le jardin potager (forcément) bio à la place du gazon. Il n'y avait pas non plus de chauffage central et une ou rarement deux pièces chauffées avec un poêle. Faut des lois pour réinventer l'eau chaude?
- Un potager? T'es fou!? Le boulot que c'est! Comment sortir de l'habitude d'aller flâner, gorgé de moderne supériorité, dans les allées climatisées du supermarché? On va pas retourner à l'âge des cavernes!!!
- Une seule pièce chauffée dans la maison? Mais qu'est-ce que tu fais du confort moderne? des avancées sociétales?? On va pas retourner à l'âge des cavernes!!!
Citation :
Non, il est tout simplement en train de dire que ça ne va pas assez vite et il a raison.
Il a carrément et entièrement raison, mais en attendant on fait quoi (je suis chiant je sais ) ?
Chacun dispose encore du droit (pour l'instant) difficilement aliénable de trouver le bonheur, qui consiste, pour nous comme pour tous les vivants, à tâcher de fonctionner correctement dans un milieu adéquat.
S'il reste des étincelles de justesse ici et là, c'est peut-être pas si mal finalement, même au niveau collectif.
De toute manière la pression du nombre et l'immensité des désirs déraisonnables sont devenus si lourds et si déterminants, qu'il n'est guère possible d'espérer mieux désormais.
En tout vas, n'attendons pas des meneurs du système qu'ils mettent fin aux conditions de leur réussite.
On n'aura que des mesurettes symboliques à visée électoraliste.
C'est comme revenir aux fosses septiques et les problèmes qui vont avec.
Par contre les stations d'épuration où aboutit le tout-à-l'égout ne posent, elles, aucun problème...
Ha si: Mais comme le problème est collectivisé, c'est vrai que les individus ont la paix avec ça: Ils ont payé (euh... ceux qui ont une fosse ont payé aussi d'ailleurs, et deux fois: Une fois pour leur fosse (et les emmerdements qui vont avec), et une deuxième fois chaque année car ils contribuent aussi à l'assainissement dans la commune qu'ils habitent, qu'ils soient reliés ou non au réseau collectif, au titre de la taxe d'habitation).
Je peux chier sereinement dans de l'eau potable alors.
Oui vas-y pépère. Quoi que tu fasses, et quelle que soit la solution d'assainissement (y compris pisser au fond du jardin), les médocs dont ton corps est saturé finissent dans les rivières et empoisonnent les autres vivants.
C'est la loi du plus fort (qui est généralement celle du plus con).
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
[ Dernière édition du message le 30/03/2018 à 07:29:33 ]
boulooban
Aujourd'hui, on isole, on calfeutre, on change les huisseries et sans un chauffage et une vmc adapté, ça moisi de partout dans ces vieilles bâtisses.
Et à l'époque, soit ils avaient froid, soit ils avaient les moyens de cramer du bois et de la ouille. Et ils fallait en cramer certainement + pour une pièce que pour 130m2 modernes.
[ Dernière édition du message le 30/03/2018 à 07:29:30 ]
boulooban
Mais ne prévoyant pas d'acheter pour l'instant et encore moins de m'éloigner pour avoir du terrain mais dépendre d'une voiture, je n'ai pas creusé la question.
Mais apparemment il ne faut pas une grande surface pour filtrer l'eau de toute une famille et fonctionner en circuit "fermé".
j-master
En l'écrivant il me semblait bien que cette expression avait déjà du traîner qqpart, mais je ne me rappelle plus où...
Peut-être même pas un bouquin que j'aurais lu, mais dont j'aurais entendu parler...
ouais
"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus
W-Addict
On peut fermer le sujet, merci.
[ Dernière édition du message le 30/03/2018 à 08:32:57 ]
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