Désormais sous la bannière inMusic, Moog présente le quatrième synthé polyphonique de son histoire, le Muse. Après l’inaccessible Moog One, jusqu’alors fleuron de la marque, voyons comment le Muse se positionne…
La vie des fabricants de synthés analogiques américains n’est décidément pas un long fleuve tranquille, si l’on s’en réfère à l’histoire assez récente, comme si un nouveau cycle était en train de s’achever 40 ans après la première vague de disparitions/rachats : d’abord la reprise de la société Sequential et de la marque Oberheim par le groupe britannique Focusrite en 2021, puis le rachat de Moog Music par son compatriote inMusic en 2023. Mais une acquisition se fait rarement sans casse. Si les choses semblaient bien préparées côté Sequential, cela a été plus compliqué pour Moog Music, alors détenue par son personnel et son président refondateur. Les équipes ont été remaniées, certains produits ont été arrêtés, d’autres mis en standby… mais quelle ne fut pas notre surprise de découvrir, en live, en février, par une 
Une construction exemplaire de l’emballage au bout des potentiomètres


Une ergonomie réfléchie qui simplifie la vie du programmeur


Un gros son typiquement analogique polyphonique



- Muse_1audio 01 Push split00:55
- Muse_1audio 02 Poly synth00:36
- Muse_1audio 03 Play house00:22
- Muse_1audio 04 Moog modular00:36
- Muse_1audio 05 Love power01:11
- Muse_1audio 06 Strings attack00:32
- Muse_1audio 07 View stack00:40
- Muse_1audio 08 Dead Ben00:46
- Muse_1audio 09 Silence LA00:57
- Muse_1audio 10 Vos gueules00:42
- Muse_1audio 11 Push-Pull – Patriarch PWM00:39
- Muse_1audio 12 Push-Pull – Pénélope Split01:12
- Muse_1audio 13 Push-Pull – Zen Garden Split01:03
Des VCO modifiables en continu


Deux VCF en échelle légèrement combinables


De sérieuses possibilités de modulations matricielles


Un délai diffuseur stéréo pour embellir le son en sortie

Des arpèges et séquences globaux pour les deux timbres





























