Wave Alchemy est une marque anglaise encore peu connue dans nos contrées, spécialisée dans le sound design et la création d'instruments samplés pour Kontakt. Ils se sont lancés depuis peu dans le plug-in, avec une refonte remarquée de leur instrument Triaz, dédié aux batteries en général façon BAR.
Dan Byers a fondé Wave (sans S) Alchemy en 2008 au Royaume-Uni, qui est très fortement spécialisée depuis ses débuts dans les sons de batterie électronique, et qui a vendu nombre de librairies de sons, disponibles sous forme de samples ou d’instruments pour Ableton Live, Reason, Kontakt, Halion, Battery, etc., classés par machines, types de sons ou par genres musicaux (assez électroniques on ne va pas se mentir), et quelques incursions extérieures telles que des présets pour Massive ou des boucles basse/guitare. La boîte propose aussi régulièrement du contenu gratuit, que ce soit avec la présence systématique de démos de leurs créations, telles que des versions plus légères, mais consistantes des produits commerciaux, ou des productions données régulièrement à sa communauté, faisant ainsi régulièrement bonne figure dans les rubriques freeware d’AudioFanzine. On vous recommandera par exemple, chers lecteurs, de jeter un œil et une oreille aux échantillonnages de la fameuse MFB Tanzbär, de kicks issus du Korg MS-20 et de l’Elektron Analog Rytm, avec parfois des articles dédiés au making of et au sound design plutôt intéressants.
Dans le catalogue de Wave Alchemy, on remarque un intérêt particulier à sampler des synthétiseurs pour en faire des sons percussifs, à les mélanger avec de l’acoustique, une esthétique organique, la présence de bruits et d’effets spéciaux, pour les passer ensuite dans des traitements software et hardware tels que des enregistreurs à bande magnétique ou de vieux sampleurs, du matériel hardware dédié aux studios de mastering, présentés avec du round robin et proposés enregistrés avec différents réglages de saturation. Il y a une recherche de caractère qui concerne le son lui-même, mais aussi les fonctionnalités de leurs instruments Kontakt de Native Instruments (toujours compatibles Player) qui ne sont pas de simples lecteurs d’échantillons sonores. Ainsi, dès 2013, ils proposaient sur la plateforme Kontakt avec leurs séries Transistor et Digital Revolution des émulations de drum machines iconiques via le sampling (Roland, mais pas que) agrémentées d’un design graphique sophistiqué, d’une batterie (!) d’effets sur le master bus et sur les pistes séparées dont une émulation de tape machine, du délai, du compresseur et de la réverbe, et même des séquenceurs. Ils ont donc naturellement réalisé des partenariats avec Native Instruments, Apple, Roland et d’autres pour leurs compétences en sound design, pour étoffer les banques de sons des autres, et ils ont même reçu de nombreux prix avec leurs banques de samples dans des magazines anglophones.
Quelques années plus tard, les développeurs de Wave Alchemy ont continué à être aventureux en matière d’instruments Kontakt, leur Basssynth en particulier étant un sacré joujou (à base de synthèse, de séquences, de cuivres et basses acoustiques et de TR-808), avec la sortie de la dernière itération de leur drum machines Révolution (dédiée aux drum machines vintage) et Drumvolution (sur des sons plus produits). Les formules se sont affinées sur le design graphique, sur les fonctionnalités des séquenceurs et les possibilités d’édition. Puis ils ont commencé à s’aventurer sur le chemin du plug-in classique et natif, avec des plug-ins de réverbération affichant là aussi des préférences sur le vintage, dont très récemment la sortie de leur Tapewave dédié à la simulation d’enregistreur à cassette. Mais aujourd’hui, nous allons vous parler de Triaz, qui est sorti initialement comme un instrument Kontakt (début 2022), sorte d’affinage du concept de Drumvolution, devenu natif depuis mars 2024 et qui a eu récemment sa première extension.
La loi de l’échange équivalent
Triaz, actuellement en version 1.1.1, est donc un plug-in disponible au tarif de 119 £ hors promotions (NDLR Mais à 59 £ au moment de la publication avec le Black Friday !), aux formats VST3, AudioUnit et AAX pour Windows et macOS, compatible NKS2. C’est un instrument virtuel dédié aux sons percussifs « produits », avec 12 pistes d’instruments, des effets, et un onglet séquenceur dédié avec des banques de patterns et de nombreux contrôles en tout genre. Il est accessible aussi dans une version gratuite dite Player (depuis septembre 2024), qui n’a pas de séquenceur et une partie seulement du contenu sonore, mais qui est tout à fait fonctionnelle sans limitation de temps, ce qui est fort appréciable, et compatible avec les extensions. Il n’en existe qu’une seule pour le moment, intitulée Drift (69 £) et dédiée aux genres musicaux lo-fi.
Triaz est la deuxième itération d’un instrument Kontakt du même nom, avec au chapitre des nouveautés en plus de la plateforme native du contenu brut supplémentaire (5000+ nouveaux samples pour un total de 15 000, 700+ présets en tout…), des améliorations du séquenceur, une interface redimensionnable, une fonction d’export assez intéressante dont on va reparler, des effets DSP dédiés pour remplacer ceux de Kontakt, des améliorations dans l’ergonomie et le navigateur de présets, le tout proposé gratuitement aux possesseurs de la version précédente, ce qui était là encore assez généreux.
L’installation se fait en téléchargeant un gros fichier de 2.1 gigaoctets (1.8 pour Drift), en lançant un installeur pour le plug-in et un pour le contenu et par extension, puis l’activation se fait via internet. Le logiciel complet peut d’ailleurs être utilisé en version démo pendant 14 jours.
Transmutation du sampling
À l’ouverture, comme souvent avec ce genre d’outils, la question initiale qui se pose est par quel bout prendre le logiciel ! L’interface du plug-in semble assez chargée en fonctionnalités, mais heureusement on peut retrouver facilement ses petits. Ce qu’il convient de comprendre dès le départ est que les fonctionnalités sont globalement réparties dans deux sections, la partie appelée « Sound » et celle appelée « Sequencer », accessibles en cliquant sur les labels idoines. Le moteur sonore donne donc accès à jusqu’à 12 pistes, chaque piste pouvant cumuler jusqu’à 3 samples associés, sur lesquels on peut traiter des paramètres de lecture de l’échantillon (enveloppe de volume, choke, drive, lecture à l’envers, saturation, etc.), des paramètres sur le pitch (valeur centrale, enveloppe, LFO, etc.) et des paramètres sur un filtre (enveloppe, LFO, type, fréquence centrale, résonance, etc.). Un petit pad en deux dimensions permet de régler la quantité que l’on veut de chaque son, qui peut être puisé parmi la librairie du logiciel ou vos propres samples.
Ces 3 couches de sons vont ensuite dans des effets « insert » et « send » par piste, avec de l’effet varié (EQ, compresseur, transient designer, OTT, saturations analogiques à tubes ou à bande, émulation de sampler SP-1200, bitcrusher, délai, réverbe algorithmique et réverbe à convolution du plus bel effet), puis les pistes sont mixées et vont encore dans des effets master supplémentaires. Une aide contextuelle un peu envahissante, mais toujours utile peut nous donner des informations conséquentes sur chaque élément. À noter que le plug-in peut bien sûr sortir en multipistes plutôt que sur une piste stéréo seule avec une simple option.
À ce stade, outre l’exhaustivité des commandes de personnalisation du son disponibles, nous constatons déjà deux choses. Premièrement, il existe des « randomizers » à tous les étages, définis comme « intelligents », qui peuvent être utilisés pour obtenir d’autres sonorités, et sur lesquels on peut choisir ou non de chercher plutôt des résultats similaires à ce qu’on a déjà avant de cliquer. Lorsque ce genre de fonction est bien réalisé, en allant plus loin que de simplement mettre des valeurs aléatoires partout, il peut constituer un bon moyen d’étendre le territoire d’exploration sonore, et c’est manifestement le cas ici, d’autant qu’on peut choisir d’agir uniquement sur certaines pistes ou certains samples.
L’autre bonne surprise est le système de navigation de présets, avec des tags classés par genre et divers adjectifs, la pré-écoute, qui sont disponibles pour la totalité du contenu du plug-in, les réponses impulsionnelles pour la réverbe B, et les échantillons sonores pour les trois layers par piste. Étonnamment, il n’existe pas de présets ou de système de navigation dédié pour une piste, même s’il est possible via un menu de sauvegarder ou de lire des fichiers préalablement enregistrés à la main. Il est possible aussi de placer ses autres samples Wave Alchemy ou autres dans le dossier User Samples pour qu’ils soient reconnus et parfois tagués automatiquement, ou glissés-déposés dans l’interface au besoin pour les utiliser tout de suite. Mais surtout le navigateur général nous a impressionné, car il est facile à utiliser, peut charger au choix les patterns, les sons ou les deux, et se balader dedans nous donne un très bon aperçu des possibilités de la bête.
On apprécie particulièrement le soin apporté pour couvrir un certain nombre de genres musicaux assez simplement et avec goût (ah, ces rumbles) dans des endroits qui nous sont familiers. On se rend compte également que les sons inclus dans le logiciel sont assez variés en termes de nature, avec du très traditionnel et du moins conventionnel, du type sons vocaux, SFX.
- Démo présets Core Triaz03:45
- Démo présets Drift Triaz02:57
Ne plus souffrir pour faire briller ses beats
Parlons à présent de la partie séquences de Triaz. Déjà, précisions que le plug-in possède une barre de transport classique, qui peut être synchronisée avec celle de la STAN ou pas (deux notes MIDI peuvent d’ailleurs lancer la lecture ou la stopper), avec un métronome et des options d’enregistrement classiques telles que la quantification. On peut également locker le contenu du séquenceur pour qu’il ne soit pas affecté par la navigation dans les présets généraux. De plus, Triaz est pourvu d’une fonction d’export audio & MIDI assez sophistiquée, qui permet de glisser-déposer le contenu en cours du séquenceur dans votre STAN sous forme de données MIDI ou de rendu audio, en sélectionnant les pistes qui nous intéressent, des options pour faire varier la vitesse de lecture ou la longueur des clips, enregistrer en audio les stems ou les one shots au lieu du mix… Et Triaz affiche une barre d’événements, quel que soit l’onglet en cours, qui permet d’ajouter ou de supprimer rapidement des notes sur la piste en cours.
Le séquenceur en lui-même affiche les 12 pistes organisées horizontalement. Il dispose sur chaque piste de jusqu’à 32 pas, chaque piste pouvant avoir une longueur différente (polyrythmie nous voilà), avec les pas pouvant avoir différents niveaux de vélocité. De plus, chaque piste dispose d’un réglage de swing, mais aussi de vitesse de lecture, du mute/solo, et d’un niveau d’humanisation qui peut défini également de manière globale. Et surtout, différents onglets permettent d’assigner aux pistes d’autres paramètres, qui vont permettre de rendre la séquence plus vivante ou plus sophistiquée en entrant à nouveau des pas : chance pour que l’événement se produise entre 0 et 100 % (merci, comme vous le savez je peste régulièrement sur l’absence de cette fonctionnalité dans certaines STANs ou grooveboxes !), hauteur de pitch variable, répétition de l’événement, offset sur la grille pour gérer les enregistrements non quantisés, et un paramètre appelé Motion qui dispose de 12 lignes par piste et qui permet de faire l’automation de n’importe quel paramètre de la partie son via un clic droit pour qu’il s’affiche dans son onglet.
Ajoutons à cela des boutons permettant de dupliquer facilement des parties, un système de randomisation des séquences par piste et dans chaque onglet ou global sur les pas avec notamment la sélection du degré de randomisation et même du genre musical, qui va donc s’inspirer des séquences présentes dans les présets de Triaz, et vous avez un moteur de création de séquences pour la production ou pour le live assez puissant et en même temps très accessible. Et comme si cela ne suffisait pas, Triaz dispose de 12 slots pour stocker ses patterns, ce qui permet en live de passer d’une séquence donnée à une autre, soit déjà enregistrée, soit fabriquée au fur et à mesure.
Enfin, précisons qu’il est possible de faire un certain nombre de choses dans Triaz juste avec des notes de votre contrôleur MIDI. En plus de jouer les sons sur chaque piste, des notes permettent de lancer ou de stopper la lecture des patterns, de sélectionner un des 12 slots de patterns, ou de jouer chromatiquement les présents dans la piste sélectionnée.
La panacée des boites à rythmes ?
Triaz est un compagnon de qualité pour la création de beats, dans la limite des registres qui peuvent être couverts par une boite à rythmes qui fonctionne par patterns évidemment, avec néanmoins tout ce que peut apporter une vision moderne de la chose, que ce soit avec la qualité des sons accessibles, les possibilités du séquenceur pour leur amener de la variation, le fait de pouvoir faire de la polyrythmie. L’interface du plug-in est très accessible, avec les niveaux de complexité qui ne vous sautent pas à la gorge, mais qui peuvent s’apprécier et être utilisés progressivement, et les différents moyens d’agir sur ce qui se passe. J’ai beaucoup apprécié notamment tout ce qui permet de formuler de nouvelles propositions, que ce soit en parcourant le contenu en présets, en jouant avec des paramètres très précis agissant sur le son, avec l’intégration de la randomisation, la pré-écoute des formes d’ondes ou l’usage des samples à la volée dans la navigation, navigation qui encore une fois se fait de manière très simple et engageante. Le plug-in est d’ailleurs très joli, et le contenu bien organisé.
Et puis y a pas à dire, ça sonne tout ça ! Il y a beaucoup de contenu, la librairie de base contient des présets classés dans le disco, le reggaeton, le hip-hop, la techno, la house, des choses aussi plus expérimentales, orientées synthwave ou lo-fi, et même sur le genre « cinématique » qui plaira aux adeptes de musiques de films et de percussions en tout genre. La première extension proposée, intitulée Drift, s’aventure spécifiquement sur le lo-fi en général, et fait la part belle à des sons d’origine acoustique, avec toujours une petite touche de traitement sur le sample caractéristique chez Wave Alchemy. Pour ne rien vous cacher, je découvre un peu la marque en faisant ce test, même si j’étais déjà utilisateur de leurs réverbérations, et j’apprécie beaucoup leur touche personnelle sur les sons proposés, que j’ai découverte également en regardant leur catalogue. Il me semble assez frappant que les sons proposés par Triaz, en dehors du plug-in lui-même, sont d’un certain niveau de qualité et de polyvalence, avec des attributs associés à certains genres qui me parlent par rapport aux explorations sonores que j’effectue en ce moment dans la production de musiques électroniques. Juste le fait de se dire en parcourant le gros navigateur par genre que tel préset ou tel préset représente un son ou des patterns caractéristiques m’a parlé particulièrement. Et cela semble logique en regardant la biographie de l’entreprise, car l’équipe est constituée de sound designers qui produisent de la musique au kilomètre. Il me semble que ces points ont un impact significatif sur ce que j’entends, et j’ai eu en plus un coup de cœur sur leur extension Drift qui s’intègrera très bien à certaines de mes productions.
Toutefois, si je devais émettre des regrets sur le produit, d’abord précisons qu’il se situe dans un registre assez particulier qui est celui des BARs avec un moteur de sampling et des banques de sons je dirais produites, ce qui n’en fait pas non plus l’alpha et l’oméga du concept, certains créateurs étant intéressés aussi par le sound design ou l’usage de banques de sons percussifs plus brutes et donc plus malléables, ce qui n’enlève en rien à la qualité de ce qui du coup déjà été désigné ici et qui possède déjà une certaine personnalité. On n’hésitera pas à enregistrer ses propres présets à partir du contenu proposé ou de samples externes, pour les rendre facilement utilisables dans Triaz, avec des séquences plus ou moins aléatoires, et des effets qui pourront ajouter votre touche et moins sonner « Wave Alchemy », qui me semble-t-il aime produire de la matière sonore avec beaucoup de basses fréquences (que l’on peut traiter au mix de toute façon).
De plus, il me semble que Triaz pourrait aller plus loin sur une utilisation orientée performance, peut être avec de prochaines mises à jour peut être ? En effet, dans ce cadre précis, même si on peut faire des choses rigolotes avec le clavier MIDI ou à la souris pour changer de pattern et créer de la variation de son et de contenu musical à la volée, il me semble qu’il manque des choses comme un moteur de chargement de patterns, des générateurs euclidiens ou autres trucs du genre, un gros bouton fill ou repeat, des effets sur les notes, et peut être plus de choses qui pourraient être commandées au clavier MIDI. Si vous comptez en faire une utilisation plutôt performance que production, il y a tout de même des possibilités, mais on va dire qu’il n’y a pas non plus de focus spécifique là-dessus, ce qui n’empêche pas de se rabattre sur les possibilités côté STAN d’interaction avec Triaz. Notons également que tous les sons proposés par Triaz sont accessibles au format WAV et peuvent être lus dans le sampleur de votre choix.
Enfin, malgré la quantité de possibilités offertes par Triaz, y compris en sound design d’ailleurs, au final le logiciel de Wave Alchemy reste d’une certaine simplicité, ce qui est un avantage à l’usage bien évidemment, mais qui ne brillera pas spécialement par de l’innovation ou des fonctionnalités particulières apportant un effet wahoo par rapport aux propositions de la concurrence. Il s’agit ici d’un produit efficace, et dont la simplicité cache aussi quand même un processus itératif de design sur l’ergonomie et les fonctionnalités sur plusieurs années, Triaz étant finalement une synthèse compressée de plusieurs concepts, en particulier celui des produits Drumvolution. J’ai d’ailleurs ouï dire que de nombreuses extensions étaient prévues, avec des mises à jour compatibles Triaz augmentées de leurs précédents produits, et que d’autres concepts plus spécifiques comme Revolution (axés sur les sons de drums brutes justement de machines de légende) ou le synthétiseur Basssynth allaient avoir leurs versions standalone. On attend cela avec impatience.
Caractéristiques techniques
- Développeur : Wave Alchemy
- Formats : VST3, AudioUnit, AAX
- Systèmes compatibles : Windows et macOS
- Taille du fichier : 2,1 Go pour Triaz, 1,8 Go pour l’extension Drift
- Compatibilité NKS : Oui, NKS2
- Contenu sonore :
- 15 000 samples
- 700+ presets
- Extension Drift (69 £), dédiée aux sons lo-fi
- Effets intégrés :
- Saturation analogique (tubes, bande, SP-1200)
- Bitcrusher
- EQ, transient designer, compresseur
- Délai et réverbérations (algorithmique et à convolution)
- Séquenceur avancé :
- 12 pistes, 32 pas par piste
- Polyrythmie et humanisation
- Randomisation intelligente par piste et globalement
- Export audio et MIDI
- Installation : Téléchargement et activation en ligne
- Version gratuite : Triaz Player, sans séquenceur, avec contenu réduit
FAQ
Qu’est-ce que Triaz ?
Triaz est un instrument virtuel dédié à la création de sons percussifs, conçu par Wave Alchemy. Il combine un moteur de sampling avancé, un séquenceur puissant, et une bibliothèque de plus de 15 000 samples pour produire des rythmes variés allant de la techno au lo-fi.
Triaz est-il compatible avec ma STAN ?
Triaz fonctionne sous les formats VST3, AudioUnit, et AAX, et est compatible avec Windows et macOS. Il est également optimisé pour les contrôleurs NKS2.
Puis-je essayer Triaz gratuitement ?
Oui, une version gratuite nommée Triaz Player est disponible. Elle est pleinement fonctionnelle mais ne dispose pas du séquenceur et propose un contenu sonore réduit.
Quelle est la différence entre Triaz et Drumvolution ?
Triaz est une évolution de Drumvolution, avec une interface modernisée, plus de contenu (15 000 samples, 700+ presets), des fonctionnalités améliorées comme un séquenceur avancé et des effets DSP dédiés.
Quels sont les genres musicaux couverts par Triaz ?
Triaz propose des sons adaptés à de nombreux genres : techno, house, hip-hop, lo-fi, synthwave, musique cinématique et bien d’autres.