Suffisant ? Ou plutôt Maschine ?

Citation de Olihop

 C'est pourtant censé etre les meme "thick fat pad" que la serie mpc...
J'ai commencé le finger drum sur une mpd26 premiere generation... j'ai les doigts tout déformés depuis

Yes c'est sensé, mais je confirme que ceux de la mpd218 sont extrêmement capricieux (double trigger, etc...). En fait les pads sont sans doute les mêmes, mais pas la matrice qui les accueille en dessous, ou la manière dont ils sont fixés ? J'avais essayé l'astuce d'ajuste les vis sur les support, ça a bien amélioré la réponse, mais toujours quelques double trigger intempestifs. Alors que je n'ai pour l'instant eu aucun problème sur ceux de la MPC live :) 

En tout cas, retour perso, après un petit mois d'utilisation, le temps de se familiariser avec le workflow... C'est une vraie tuerie :) Plus instinctif qu'un ordi sans aucun doute, par contre le petit "surplus" de kif vient quand on commence à utiliser ses propres samples, je trouve, plutôt qu'en browsant parmi les sons d'usine (corrects, mais pas exhaustifs, et si les plugins sont cool... je préfère rentrer mes presets de VST en keygroups !).

Seul petit regret sur la quantification pour l'instant, j'aurai aimé avoir un truc un peu plus flexible façon Logic ou Ableton, avec un "pourcentage" de correction, pour garder un peu de feeling. Du coup pour l'instant c'est plutôt l'inverse : je quantifie à l'enregistrement sur la MPC, et j'utilise la fonction "humanize" pour redonner un peu de vie...

Citation de pek

 Le swing est ton ami après quantification C'est pas exactement la même chose, mais ça permet de faire un peu ce que tu recherches.

Bah oui et non, j'aimerai garder "mon" swing (qui n'en est pas forcément un ), tout en le quantifiant à peine pour pas passer des heures à avoir "la prise parfaite" :)

Après, dans le meilleur des mondes, c'est façon J.Dilla : pas de quantif, que de la pratique 

@Luca_23

Pas de quoi :)

Par contre, c'est vraiment différent, on passe quand même les premiers jours à essayer de retrouver ses petits... jusqu'à ce qu'on s'adapte et qu'on utilise l'outil de la manière dont il est pensé. Le plus compliqué pour moi a été de m'habituer mentalement à la structure Sequence / Tracks / Programs, dans mon bête esprit cartésien où une track = un vst pour l'ensemble d'un projet ... Alors que là, quand tu bascules d'une séquence à l'autre (= "scène" dans Ableton), tu repars un peu de zéro. Pas handicapant, même plutôt flexible, mais un exemple pour illustrer à quel point il faut se faire à la logique du truc :)