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Korg PolySix
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Test du PolySix de Korg

Clavier synthétiseur analogique de la marque Korg

Test écrit
88 réactions
Blue notes
8/10
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Dès 1981, Korg présente un synthé analogique polyphonique programmable presque démocratique. Très basique sur le papier, mais très facile à programmer, il séduit rapidement un très large public.

Test du PolySix de Korg : Blue notes

Polysix_2tof 01C’est vers la fin des années 70 que les premiers synthés poly­pho­niques program­mables commencent véri­ta­ble­ment à se déve­lop­per, prenant progres­si­ve­ment la place des string machines. Sequen­tial et Oberheim sont les plus gros compé­ti­teurs côté améri­cain, alors que Roland et Yamaha se disputent la première place côté japo­nais. Korg est pour sa part davan­tage resté sur une approche string machine, pous­sant au rang de synthé l’im­pres­sion­nante série PS. Mais le début des années 80 va marquer un tour­nant rapide, les construc­teurs riva­li­sant d’in­ven­ti­vité et d’in­no­va­tions. Si la plupart des acteurs ciblent en prio­rité les gros studios, Korg va pour sa part opter pour une approche plus démo­cra­tique, présen­tant simul­ta­né­ment le Mono/Poly, un synthé para­pho­nique à quatre VCO orienté recherche sonore et le Poly­six, un synthé véri­ta­ble­ment poly­pho­nique 6 voix à archi­tec­ture simpli­fiée. C’est ce dernier que nous allons détailler dans les lignes qui suivent. Avec ses véri­tables VCO, ses VCF très musi­caux et son effet d’en­semble analo­gique au grain géné­reux, le Poly­six a plus d’un tour dans ses circuits.

Pull marine

Polysix_2tof 07Comme la plupart des synthés de l’époque, le Poly­six est carrossé dans une solide coque métal­lique bleue et noire, avec un fond de caisse en bois épais et des flancs méla­mi­nés de piètre qualité. La machine mesure 98 × 37 × 13 cm pour 11,5 kg, ce qui en fait un synthé facile à trans­por­ter pour l’époque. Si les flancs ne nous ont pas convain­cus (la plupart du temps explo­sés ou rempla­cés sur les modèles que l’on croise aujour­d’hui), les poten­tio­mètres sont en revanche bien ancrés. Les boutons-pous­soirs sont quant à eux un peu plus discu­tables, pas toujours très francs et un peu trop mobiles après toutes ces années. On compte 18 poten­tio­mètres, 4 sélec­teurs rota­tifs, 9 sélec­teurs recti­lignes simples et 19 pous­soirs. Ces commandes occupent toute la place dispo­nible sur le panneau, placées sur deux rangées par module : réglages globaux, VCO, VCF, VCA, arpé­gia­teur, MG (LFO), enve­loppe, effets, assi­gna­tion des voix et mémoires. De quoi utili­ser ses deux mains confor­ta­ble­ment sans se perdre. Les capu­chons des commandes mémo­ri­sées portent un code couleur spéci­fique, sympa.

Polysix_2tof 08À gauche du clavier statique 5 octaves de qualité vrai­ment passable (un Pana­so­nic qui équipe aussi Mono/Poly, Memo­ry­moog et OB-8), on trouve les deux molettes de pitch­bend (inten­sité dosable) et de vibrato. Là encore, c’est très basique. La connec­tique est placée sur le panneau arrière. Au menu, une sortie audio mono­pho­nique, une sortie casque (double mono), une entrée –5/+5V pour modu­la­tion du filtre, une entrée synchro pour l’ar­pé­gia­teur, une entrée Chord permet­tant de mémo­ri­ser un accord à la volée, une inter­face cassette (entrée / sortie avec sélec­teurs de niveaux) pour trans­fé­rer les programmes mémo­ri­sés. Toute la connec­tique est au format jack 6,35. Il n’y a pas de prises CV/Gate (hormis l’en­trée VCF) ni d’en­trée audio, encore moins d’in­ter­face Midi. L’ali­men­ta­tion est interne, avec un cordon secteur captif, comme chez Roland. On sent dans cette descrip­tion d’où vient l’ins­pi­ra­tion des concep­teurs du Juno-60 sorti un peu plus tard. Par contre, lorsqu’on compare les entrailles, le Juno-60 est d’une qualité bien supé­rieure au Poly­six, avec ces magni­fiques fais­ceaux de câbles liga­tu­rés à la main. Profi­tons-en pour aver­tir de la prin­ci­pale plaie des Poly­six, pour ceux qui en recherchent un : la batte­rie. Elle coule et bousille litté­ra­le­ment la carte numé­rique KLM-367 sur laquelle elle est posée. Heureu­se­ment, une solu­tion radi­cale existe, nous en parle­rons au chapitre des exten­sions Midi…

Place aux nappes

Polysix_2tof 09Le Poly­six est un synthé analo­gique mono­tim­bral poly­pho­nique 6 voix. Il fait appel à de véri­tables VCO discrets, avec une parti­cu­la­rité tech­nique très origi­nale : l’ex­po­nen­tia­teur est global pour les 6 voix, si bien que les VCO sont ensuite linéa­ri­sés sur une base commune. Cela signi­fie que leur dérive respec­tive est très faible. Du coup, le Poly­six s’ac­corde une fois l’ex­po­nen­tia­teur chargé à l’al­lu­mage (donc en deux secondes, on l’en­tend d’ailleurs « glis­ser » si on joue tout de suite) et ne néces­site aucun Auto­tune. Si les condi­tions de tempé­ra­ture changent, les 6 voix seront affec­tées en même temps, donc il suffira d’uti­li­ser le poten­tio­mètre d’ac­cor­dage global pour les remettre au diapa­son. La mémoire comprend 4 banques de 8 programmes réins­crip­tibles et direc­te­ment éditables en façade (en mode saut). On peut les archi­ver et rechar­ger avec l’in­ter­face cassette.

Polysix_2tof 13Le Poly­six produit beau­coup de bruit de fond, le plan de masse n’a pas vrai­ment été soigné. On peut y remé­dier partiel­le­ment en soudant des câbles entre les masses des diffé­rentes cartes et en enro­bant certains torons de câbles (déco­dage des LED et clavier) d’un barreau de ferrite, mais on n’ar­ri­vera jamais au silence absolu. Le synthé excelle dans les ensembles poly­pho­niques clas­siques : strings émou­vants, cuivres brillants, nappes sombres, chœurs massifs, mouve­ments de filtre géné­reux. En mode unis­son, il peut se montrer rava­geur, surtout avec le subos­cil­la­teur. L’équi­libre sonore est très homo­gène sur toute la tessi­ture, aucune fréquence n’est exagé­rée. Le Poly­six est moins à l’aise dans les basses ou les leads claquants, tout comme dans les effets spéciaux ou les percus­sions. C’est pour cela que le Mono/Poly a été pensé comme son alter ego, parta­geant un look simi­laire, mais un terri­toire sonore complè­te­ment diffé­rent et parfai­te­ment complé­men­taire.

Véri­tables VCO

Polysix_2tof 16Une voix de Poly­six est consti­tuée d’un VCO discret, d’un Sub-VCO, d’un VCF, d’un VCA et d’une enve­loppe analo­gique. C’est donc un synthé mini­ma­liste, comme le Juno-60. On trouve diffé­rents modes de voix : poly­pho­nique (cyclique), unis­son (avec un léger désac­cor­dage prédé­fini d’usine et non éditable), main­tien (suivant le niveau de Sustain) et accord (jusqu’à 6 notes). Par contre, il n’y a pas de porta­mento, cela aurait consi­dé­ra­ble­ment compliqué les circuits, les géné­ra­teurs de porta­mento étant encore bien souvent analo­giques à l’époque. Le VCO est capable de produire une onde en dent de scie ou une impul­sion à largeur variable, réglée à la main ou modu­lée par un LFO dédié (onde sinus ou triangle, non précisé), avec ses propres réglages d’in­ten­sité et de vitesse, chouette.

L’im­pul­sion se règle de 50% (onde carrée) à 100% (silence total). Il existe une modi­fi­ca­tion des circuits assez simple (à répé­ter 6 fois) permet­tant d’avoir les deux formes d’ondes en même temps, l’im­pul­sion pouvant être annu­lée en réglant sa largeur à 100%. La hauteur de réfé­rence des VCO n’a que trois posi­tions d’oc­tave : 16, 8 ou 4 pieds, ce qui limite la tessi­ture globale à 7 octaves. Serait-ce le prix à payer pour la gestion parti­cu­lière du pitch des VCO évoquée précé­dem­ment ? Ceci ne pose en pratique pas trop de problèmes, vu qu’il n’existe pas d’in­ter­mo­du­la­tion de VCO type synchro, FM ou AM (vu qu’il n’y en a qu’un VCO par voix). On trouve ensuite un Sub-VCO, sous forme d’une onde carrée calée à –1 ou –2 octaves. On ne peut hélas pas en régler le volume. Il n’y a pas non plus de géné­ra­teur de bruit !

Filtre coloré

Polysix_2tof 12Passons au VCF. Il s’agit d’un filtre passe-bas 4 pôles réso­nant produit par le circuit inté­gré SSM2044 (celui qui équipe le Trident, les PPG Wave 2.2/2.3, le Poly­Ko­bol II, le Voye­tra-8, le K3M…). On peut en régler la fréquence de coupure (0 à plus de 20 kHz), la réso­nance, la modu­la­tion par l’en­ve­loppe (bipo­laire) et le suivi de clavier (0 à 150%). Elle peut aussi être modu­lée par le LFO. Impos­sible de nous pronon­cer objec­ti­ve­ment sur la réponse du poten­tio­mètre de fréquence de coupure, notre Poly­six étant équipé du kit Kiwi­six qui la rend parfai­te­ment lisse. Si ce n’était pas le cas sur le Poly­six de base, on peut toujours utili­ser une pédale sur l’en­trée VCF pour obte­nir une réponse temps réel conti­nue. La réso­nance est colo­rante, mais peut aussi pous­ser le filtre en auto-oscil­la­tion, dès que le poten­tio­mètre dépasse 7. L’onde est d’abord très pure, puis sature un peu quand on se rapproche de 10. En réglant la forme d’onde du VCO sur une PW à 100% et en mettant le suivi de clavier sur 7, on peut jouer du filtre en accord parfait (si les VCF sont parfai­te­ment cali­brés).

En sortie de filtre, on trouve un VCA par voix, ainsi qu’un VCA global (atté­nua­tion / ampli­fi­ca­tion, permet­tant d’ho­mo­gé­néi­ser les niveaux entre les programmes). Le VCA peut fonc­tion­ner en mode Gate ou être modulé par l’en­ve­loppe. Enfin, le son peut passer par un effet analo­gique final basé sur des BBD, offrant trois posi­tions : chorus, phaser ou ensemble. Un réglage d’in­ten­sité permet de modu­ler à la fois la vitesse et la quan­tité des deux premiers types, alors qu’il n’agit que sur la quan­tité de modu­la­tion du troi­sième type, mais sa rencontre vaut vrai­ment le coup. Celui-ci produit en effet des sons d’en­semble magni­fiques, notam­ment sur les cordes, les nappes sombres et les chœurs. Mais quel dommage que cet effet ne soit pas stéréo, lais­sant ainsi l’avan­tage au Juno-60 !

Modu­la­tions simplistes

Polysix_2tof 06Certains synthés sont basiques sur le plan des modu­la­tions. Le Poly­six est certai­ne­ment le plus basique d’entre eux. Hormis le LFO dédié à la PWM, il n’y a qu’un LFO assi­gnable et une enve­loppe (par voix). Le LFO n’a qu’une onde (type sinus ou triangle, là encore non précisé). Son oscil­la­tion est libre. Sa fréquence varie de 0,03 à 50 Hz. On trouve un para­mètre de délai, un réglage d’in­ten­sité (indé­pen­dant de la molette de vibrato) et un routage de desti­na­tion unique : VCO, VCF ou VCA. L’en­ve­loppe est confiée à un circuit inté­gré SSM2056, présent dans chaque voix. Elle est de type ADSR, avec des temps variant de 1 ms à 15 s. Certains trouvent le Poly­six un peu mou, nous pas vrai­ment, il est dans la bonne moyenne. En mode unis­son, certains sons peuvent bien claquer, comme quoi. L’en­ve­loppe ne peut agir que sur le VCF (modu­la­tion bipo­laire) ou le VCA (modu­la­tion posi­tive ou simple Gate). Rien sur le pitch ou la PWM, c’est bien dommage !

Enfin l’ar­pé­gia­teur est doté des motifs haut / bas / alterné. Il peut fonc­tion­ner sur 1 octave, 2 octaves ou toute la tessi­ture du clavier. Il dispose d’un mode Latch permet­tant de mémo­ri­ser / ajou­ter des notes au motif arpégé en cours de jeu. L’ar­pé­gia­teur fonc­tionne en paral­lèle du mode d’as­si­gna­tion des voix décrit précé­dem­ment. En mode Unis­son, les 6 VCO sont joués à chaque note. En mode Chord, on obtient des motifs d’ac­cords trans­po­sés. Le tempo interne varie de 0,2 à 20 Hz. Il peut aussi être piloté par un déclen­cheur externe via la prise prévue à cet effet.

Exten­sions Midi

Sorti bien avant la norme Midi, le Poly­six peut aujour­d’hui être équipé de kits Midi. Nous en avons retenu deux, dont le choix sera fonc­tion de la desti­na­tion souhai­tée. Pour ceux qui privi­lé­gient le jeu, le kit Mody­poly de Tubbu­tec est tout indiqué. Doté du Midi In/Out, il apporte un porta­mento poly­pho­nique program­mable, des tables micro­to­nales utili­sa­teur, de nouveaux modes de voix, de nouvelles formes d’onde pour le LFO et un arpé­gia­teur/séquen­ceur de 128 pas. Ce kit est assez simple d’ins­tal­la­tion, puisqu’il prend la place du proces­seur. Il néces­site cepen­dant de percer le Poly­six pour instal­ler l’in­ter­face Midi et quelques soudures pour ceux qui veulent contrô­ler le filtre et le pitch­bend via Midi. Ce kit n’est pas vrai­ment donné pour ce qu’il fait. Un Poly­six ainsi équipé peut valoir au moins 300–400 € de plus qu’un Poly­six de base.

Ceux qui préfèrent au contraire trans­for­mer leur Poly­six en synthé dernier cri (ou presque), avec de nombreuses mémoires et des possi­bi­li­tés d’au­to­ma­tion, opte­ront plutôt pour le kit Kiwi­six, beau­coup plus élaboré. Il remplace la carte numé­rique KLM-367 (et son affreuse batte­rie) et la plaque d’ali­men­ta­tion arrière (les prises Midi In/Out y sont préins­tal­lées, ainsi qu’une borne IEC 3 broches pour connec­ter le cordon secteur). Il apporte 512 mémoires en Flash Ram, de nouvelles formes d’ondes pour les LFO, la trans­po­si­tion de –12 à +24 demi-tons, l’hor­loge Midi, un motif d’ar­pèges aléa­toire, 8 séquences de 124 pas poly­pho­niques 6 voix, une réso­lu­tion 12 bits sur les para­mètres conti­nus, la trans­mis­sion de CC Midi pour toutes les commandes et la trans­mis­sion des mémoires par Sysex. Il est vrai­ment très complet, logique­ment plus cher et aussi plus complexe à instal­ler. Comme les Poly­six équi­pés de ce kit n’ont plus besoin d’in­ter­face cassette, il arrive que les prises soient dévoyées pour injec­ter des sons externes dans l’ef­fet d’en­semble. Un Poly­six équipé de ce kit pourra valoir faci­le­ment 600–800 € de plus qu’un Poly­six de base.

01 Chord Mem
00:0001:13
  • 01 Chord Mem01:13
  • 02 Flan­ged Strings00:26
  • 03 Ensemble Strings00:29
  • 04 Funk SSM00:28
  • 05 Stel­lar SSM00:22
  • 06 Pick Pick00:23
  • 07 Infra Bass00:32
  • 08 Res Bass00:42
  • 09 Good Vibes00:38
  • 10 Simul Organ00:39
  • 11 Res Pad00:56
  • 12 Filter Sweep00:19
  • 13 Echo Res00:41
  • 14 Every Body00:37
  • 15 Unis­son End00:16

Conclu­sion

Le Poly­six est le premier synthé poly­pho­nique analo­gique abor­dable. Sorti en même temps que le Mono/Poly, il propose une approche très simpliste de la synthèse, la concur­rence étant à cette époque posi­tion­née sur des machines plus onéreuses. Le Poly­six ne manque pour­tant pas de quali­tés. Tout d’abord ses magni­fiques VCO discrets qui font merveille une fois cuisi­nés dans les VCF SSM2044. Ensuite, son effet analo­gique à base de BBD qui apporte un grain parti­cu­lier dans chacun de ses trois modes. Tout cela le prédes­tine pour les nappes sombres, les cordes géné­reuses et les cuivres punchy. Sans oublier le petit arpé­gia­teur et bien évidem­ment, les 32 mémoires éditables. Les possi­bi­li­tés de synthèse ne sont pour­tant pas foli­chonnes : un seul VCO par voix, pas de géné­ra­teur de bruit, une seule enve­loppe par voix, un LFO global… pas de quoi se perdre dans les réglages. De même, quel dommage que la sortie soit mono, surtout avec ce magni­fique effet d’en­semble, d’au­tant qu’elle n’est pas des plus silen­cieuses ! Sorti avant la norme Midi, le Poly­six peut toute­fois accueillir un kit d’ex­ten­sion. Un synthé vintage facile, digne d’in­té­rêt et encore à peu près abor­dable, en cher­chant bien.

  • Polysix_2tof 01
  • Polysix_2tof 02
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8/10
Award Légende
Points forts
  • Son analogique subtile
  • Prise en main immédiate
  • Véritables VCO discrets
  • Sub-VCO à -1 ou -2 octaves
  • PWM avec LFO dédié
  • Sous-oscillateur intégré
  • Couleur du VCF SSM2044
  • Modes accord et unisson
  • Trois types d’effets d’ensemble
  • Arpégiateur intégré
  • Mémoires éditables
Points faibles
  • Sortie monophonique
  • Bruit de fond assez présent
  • Un seul VCO (par voix)
  • Pas de générateur de bruit
  • Une seule enveloppe (par voix)
  • LFO très basique
  • Pas de portamento
  • Clavier médiocre
Auteur de l'article synthwalker Passionné de synthés, concepteur produits et rédacteur presse

J'aime tous les synthés, avec une préférence pour les poly vintage à mémoires, qui m'accompagnent depuis le début des 80's. J'écris depuis 25 ans sur les synthés et j'ai contribué au développement de certains d'entre eux. Plusieurs centaines de mes articles ont été publiés sur Audiofanzine et auparavant dans les magazines PlayRecord, Recording, Keyboards, Musicsound et Musiciens.


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