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On Refait Le Patch #52 : Test de la STAN Steinberg Cubase Pro 9 - Cubase 9 ! Service à suivre...

8/10

Noël approche et, fidèle au rythme de son calendrier de sortie, Steinberg nous présente la nouvelle mouture de son logiciel phare. Reste à voir si cette cuvée 2017 a les arguments pour se faire une place au pied du sapin.

Nous ne revien­drons évidem­ment pas au cours de ce test sur l’his­toire de Cubase ni sur ses nombreuses quali­tés. Vous pouvez pour cela vous réfé­rer aux nombreux tests que nous lui avons consa­crés au fil des versions et nous nous concen­tre­rons dans ce banc d’es­sai sur les seuls apports de cette version 9 qui fait la part belle à l’er­go­no­mie avec l’ap­pa­ri­tion, pour commen­cer, de la Lower Zone.

Évidem­ment, comme d’ha­bi­tude avec les STAN, vous pouvez choi­sir de décou­vrir tout cela en vidéo ou en texte. La vidéo c’est ici :

Et le texte ? Devi­nez !

Aller plus bas

Steinberg Cubase Pro 9 : lowerzone

Sous le nom énig­ma­tique de Lower Zone se cache le simple fait de pouvoir ancrer (docker diraient les angli­cistes) la plupart des inter­faces d’édi­tion dans la partie infé­rieure de la fenêtre prin­ci­pale. Comme dans Live ? Oui. Comme dans Reaper ? Oui. Comme dans Studio One ? Oui. Et comme dans bien d’autres logi­ciels encore. Même si le système est bien réalisé et s’ac­com­pagne d’un nouveau jeu d’icônes permet­tant d’es­ca­mo­ter ou d’af­fi­cher cette zone ainsi que les colonnes droite et gauche respec­ti­ve­ment dévo­lues à la Media Bay et à l’ins­pec­teur de pistes, on ne hurlera donc pas au génie face à ce qui est plus une mise à niveau ergo­no­mique par rapport à la concur­rence qu’une véri­table inno­va­tion. Avouons toute­fois que cette Lower Zone est bien pratique et simpli­fie vrai­ment la gestion des fenêtres qui tendaient à se multi­plier dans Cubase, tout en offrant un espace de travail beau­coup plus effi­cace lorsqu’on travaille sur un écran unique, à plus forte raison quand on utilise le petit écran d’un ordi­na­teur portable.

À elle seule et bien qu’elle ne fouette pas trois pattes à une brique, cette avan­cée pour­rait méri­ter la mise à jour pour les utili­sa­teurs de la 8.5 qui gagne­ront ainsi en produc­ti­vité. Mais cette version 9 a encore bien des choses à offrir comme un nouveau type de piste baptisé Sample Track.

Simple sampleur

Le prin­cipe de la Sample Track est simple : si vous glis­sez un conte­neur ou un fichier audio depuis votre projet ou la Media Bay, celui-ci devient auto­ma­tique­ment un échan­tillon au sein d’un petit sampler rudi­men­taire. C’est ainsi que votre fichier audio est trans­posé sur toute l’éten­due du clavier et qu’il est immé­dia­te­ment jouable comme n’im­porte quel instru­ment.

Steinberg Cubase Pro 9 : samplertrack

Ne vous atten­dez à rien de foli­chon tout de même puisque le système de trans­po­si­tion comme la qualité des algos de pitch shif­ting cantonnent l’ou­til à des choses bien synthé­tiques… sans qu’on vous donne trop d’ou­tils côté synthèse. Outre le para­mé­trage des points d’en­trée et de sortie du sample, vous pour­rez ainsi jouer sur le volume, le pitch ou un filtre multi­mode réso­nant au moyen d’en­ve­loppes ADSR, sur les formants au moyen d’un potard, et inver­ser la lecture du sample d’un simple clic. Et c’est tout ? Oui. Pas de LFO qui permette de modu­ler quoi que soit, pas de prise en compte de la vélo­cité, pas d’ef­fet : on est dans du basique de chez basique et si cela profite à la simpli­cité d’uti­li­sa­tion, on regret­tera que Stein­berg ne soit pas allé un peu plus loin dans sa concep­tion, surtout que, là encore, ce genre d’ou­til existe depuis belle lurette chez la concur­rence (Able­ton Live, Studio One, FL StudioLogic, Reaper, etc.) et qu’on aurait adoré dispo­ser d’un sampler de poche un peu plus évolué comme le pour­tant déjà vieux EXS24. Or, si l’on peut reba­lan­cer d’un simple clic le contenu du sampler dans Groo­veAgent LE, Groo­veAgent ou HALion, rappe­lons que seul le premier et le plus rudi­men­taire de ces trois softs est fourni avec Cubase. Dommage. Préci­sons égale­ment que Stein­berg n’a pas prévu le fait de glis­ser un conte­neur MIDI lié à un instru­ment virtuel pour pouvoir le sampler vite fait bien fait. Il faudra donc boun­cer et glis­ser. Dommage encore.

On regrette d’au­tant plus de ne pas pouvoir faire inter­ve­nir d’ef­fets sur le sample que Cubase se dote de plusieurs nouvelles fonc­tions très inté­res­santes dans le domaine des effets et trai­te­ments.

À vos rangs FX !

Steinberg Cubase Pro 9 : frequency

Cette nouvelle mouture est en effet l’oc­ca­sion pour l’édi­teur de nous propo­ser quelques nouveaux plug-ins et de mettre un coup de plumeau sur quelques inter­faces. Mis en avant par Stein­berg, Frequency est un EQ autre­ment plus complet que ce qu’on trouve habi­tuel­le­ment dans les STAN. Ce dernier propose en effet des fonc­tions qu’on ne trou­ve­rait jusqu’ici que dans les plug-ins de tierce partie. Outre un mode à phase linéaire, le plug se voit doté de la possi­bi­lité d’écou­ter la bande sélec­tion­née en solo, d’un clavier de piano permet­tant de repé­rer les fréquences face aux notes, et de la possi­bi­lité de travailler diffé­rem­ment l’EQ des deux canaux d’un signal stéréo, en mode tradi­tion­nel ou M/S. Un vrai bon outil donc, auquel ne manque vrai­ment qu’un mode ´EQ dyna­mique’ et l’af­fi­chage de courbes prove­nant d’autres pistes pour nous faire oublier les concur­rents de tierce partie dans lesquels nous sommes nombreux à avoir déjà investi.

Même chose pour le Maxi­mi­zer qui fait égale­ment son appa­ri­tion dans cette version et qui, ne nous le cachons pas, n’a d’autre but que de bien compres­ser votre mix et de sacri­fier vos nuances sur l’au­tel de la loud­ness war.

Steinberg Cubase Pro 9 : autopan

Rien à dire de ce point de vue : propo­sant un mode vintage et un mode moderne, le plug est simple à confi­gu­rer et s’avère effi­cace, mais face à cet outil à l’usage contro­versé, c’est plutôt la refonte de l’Au­to­pan qui a retenu notre atten­tion parce qu’avec son système de courbe et son inter­face claire, c’est un outil à la fois intui­tif et très puis­sant pour animer la plus morne des boucles.

Préci­sons que Stein­berg a profité de l’oc­ca­sion pour mettre à jour l’in­ter­face graphique de ses trai­te­ments dyna­mique : Brick­wall Limi­ter, Compres­sor, Expan­der, Gate et Enve­lope Shaper. Rien à dire sur cette refonte plutôt bien­ve­nue et néces­saire pour l’usage des logi­ciels via les écrans tactiles. En revanche, on ne s’em­pê­chera de souli­gner que, comme il en a un peu trop souvent l’ha­bi­tude, Stein­berg en a gardé sous la pédale : nous propo­ser du M/S sur le nouvel EQ, c’est bien. Mais pourquoi diable n’est-ce pas le cas de tous les plug-ins propo­sés (quand ça a du sens bien sûr) à commen­cer par ces trai­te­ments dyna­miques ? Gageons que cela permet­tra à peu de frais de propo­ser une ‘exci­ting new featu­re’ dans Cubase 9.5 ou 10 ; et c’est vrai­ment agaçant. Préci­sons aussi que les déve­lop­peurs ne sont visi­ble­ment pas des plus à l’aise avec les rendus de courbes, que ce soit dans Auto­pan ou Frequency : l’alia­sing graphique fait un peu amateur en regard de ce qu’on trouve chez Fabfil­ter par exemple.

L’édi­teur se rattrape toute­fois avec une nouvelle fonc­tion­na­lité rela­tive aux instru­ments virtuels : les audio-ins. Grâce à cette dernière, il est possible d’uti­li­ser les étages de trai­te­ment des instru­ments virtuels gérant une entrée laté­rale via la norme VST3. De fait, vous pouvez désor­mais utili­ser RetroA­na­logue de deux nouvelles façons : soit comme une sorte de super voco­der, soit comme un multief­fet (en désac­ti­vant la section LFP), ce qui s’avère bien sympa­thique à l’usage. Seule limi­ta­tion à cela, il faut que les instru­ments soient pensés pour cela, ce qui, à ma connais­sance, n’est encore le cas d’au­cun plug-in de tierce partie. Espé­rons que les U-He, Xfer ou Native Instru­ments s’in­té­res­se­ront à cette possi­bi­lité qui promet énor­mé­ment.

Steinberg Cubase Pro 9 : sentinel

On finira au rayon plug-ins en saluant le départ du Bridge maison qui permet­tait d’uti­li­ser les vieux plug-ins 32 bits, et l’ar­ri­vée d’un dispo­si­tif nommé Senti­nel qui se charge de déter­mi­ner quels plug-ins sont suscep­tibles de poser des problèmes de stabi­lité, et de les mettre sur une liste noire. Rien ne vous empêche de les utili­ser, bien sûr, mais vous voilà prévenu. Tout cela va dans le bon sens selon moi dans la mesure où le Bridge de Stein­berg n’a jamais été de grande qualité par rapport aux très recom­man­dables jBridge et 32 Lives (mais il faudra remettre la main au porte-monnaie, d’où la consi­gna­tion de ce détail dans les points néga­tifs du test), tandis que le prin­cipe de liste noire pous­sera les éditeurs à être plus scru­pu­leux avec la compa­ti­bi­lité Cubase, ce qui est une excel­lente chose pour les utili­sa­teurs. Acces­soi­re­ment, le fait que le logi­ciel soit désor­mais 64 bits du moteur jusqu’au bout des plug-ins est un gage de stabi­lité : il faudra voir cela sur la longueur, mais nous n’avons pas eu un plan­tage durant nos essais, et c’est un détail qui compte !

La plus belle promesse de cette version 9 est toute­fois ailleurs : cachée sous les faders de la console du logi­ciel…

Cubase History Z

Combien de fois n’avons-nous pas pesté de ne pouvoir annu­ler une modi­fi­ca­tion dans la table de mixage : on a l’idée d’un trai­te­ment parti­cu­lier, on suit l’idée et l’on s’aperçoit après avoir mis 8 nouveaux plug-ins en Insert, rajouté deux bus auxi­liaires et changé les niveaux de 18 tranches que cela n’était pas judi­cieux. Combien de fois n’avons nous pas non plus eu un acci­dent de molette malen­con­treux, chan­geant le niveau d’une piste ou celui d’un envoi sans qu’on s’en rende tout de suite compte ?

Steinberg Cubase Pro 9 : historiqueconsole

Avec l’his­to­rique de console, Stein­berg nous permet d’en finir avec ces turpi­tudes puisque la console, comme le reste du logi­ciel, offre désor­mais un histo­rique permet­tant de voir toutes les actions effec­tuées dans la console et de pouvoir reve­nir à un état anté­rieur. C’est vrai­ment une belle avan­cée en termes de produc­ti­vité, d’au­tant que cet histo­rique se fait discret et ne s’af­fiche que si vous le deman­dez, d’au­tant qu’il consigne aussi toutes les modi­fi­ca­tions de réglages que vous pouvez réali­ser dans vos plug-ins.

Bref, ce serait un coup de maître si ce nouvel outil n’était pas frappé d’une grosse limi­ta­tion : l’his­to­rique de console n’est pas sauve­gardé avec votre projet, ce qui dimi­nue de moitié son inté­rêt. En effet, s’il n’est pas trop dur de se rappe­ler ce qu’on a fait 5 minutes avant pour le défaire ensuite, le problème est plus épineux lorsqu’on essaye de reve­nir sur des mani­pu­la­tions qu’on a faites la veille, ou même le matin avant la pause déjeu­ner. Et c’est préci­sé­ment là que l’his­to­rique de console aurait eu son inté­rêt et qu’il ne sert pas à grand-chose fina­le­ment, à moins de lais­ser son ordi­na­teur allumé et le projet ouvert en conti­nuité, en priant pour qu’au­cun plan­tage ne survienne (cette version de Cubase semble très stable, mais tout de même)… Bref, l’idée est excel­lente, mais sa réali­sa­tion est perfec­tible et on espère que Stein­berg aura à coeur d’amé­lio­rer cela autre­ment que dans une mise à jour payante.

Ça marque bien

Steinberg Cubase Pro 9 : marqueur

Mieux maîtri­sés en termes de mise en oeuvre, bien que plus anec­do­tiques, les pistes marqueurs font leur appa­ri­tion avec la possi­bi­lité de démul­ti­plier les marquages possibles sur un même projet, et de se servir de ces derniers au moment de l’ex­port. La fonc­tion ne sera pas utile à tous les musi­ciens, mais elle chan­gera la vie de ceux qui font du son à l’image ou encore les compo­si­teurs de musique de jeux vidéo. Dans ces domaines parti­cu­liers, les clients ne réclament pas en effet un simple rendu d’une compo­si­tion dans son inté­gra­lité, mais aussi des extraits précis de cette dernière : juste l’in­tro, ou le thème, la reprise, etc. Et c’était un pensum jusqu’ici de devoir faire les exports en déplaçant pour chaque fichier les loca­teurs. Désor­mais avec les pistes marqueurs, tout cela est gran­de­ment simpli­fié et c’est une très bonne chose.

Puisqu’on en est à parler boulot, préci­sons aussi que Stein­berg a revu les inter­faces de sa surcouche d’ou­tils colla­bo­ra­tifs. C’est ainsi que débarque la version 4 de VST Connect SE (outil de prise à distance), offrant un login simpli­fié et un système plus pratique pour trou­ver des cama­rades de jeu, tandis que VST Tran­sit (outil permet­tant de parta­ger un projet) prend visi­ble­ment en charge les VST de tierce partie. Pourquoi visi­ble­ment ? Parce que malgré nos tenta­tives, nous ne sommes pas parve­nus à réali­ser la chose. Il faut dire que nous n’avons pas diable­ment insisté non plus, les inter­faces des deux logi­ciels étant un brin trop complexes par rapport à une bonne vieille Drop­box et un petit Skype. Accor­dons le béné­fice du doute à l’édi­teur en souli­gnant que ces évolu­tions vont dans le bon sens. On aime­rait juste que Stein­berg ait à coeur de simpli­fier tout cela pour le rendre vrai­ment attrac­tif…

Et pour quelques Mo de plus…

On en arrive déjà à la fin de ce banc d’es­sai puisque toutes les nouveau­tés ou presque ont été abor­dées. Pour faire complet, souli­gnons que Cubase accepte désor­mais le bran­che­ment à chaud de péri­phé­riques USB et qu’il se voit livré avec une collec­tion de boucles nommées Produc­tion Grooves qui, sans être inin­té­res­sante, n’a rien de bien exci­tant non plus.

Et puis c’est tout !

Conclu­sion

Appor­tant un ensemble hété­ro­gène d’amé­lio­ra­tions, cette version 9 n’a rien d’une mise à jour majeure du célèbre séquen­ceur, dans la mesure où son plus grand apport tient dans l’ap­pa­ri­tion de la Lower Zone, une orga­ni­sa­tion d’in­ter­face qu’on trouve chez quan­tité de concur­rents depuis belle lurette. Pour le reste, entre vraie bonne idée pas abou­tie (l’his­to­rique de console dépourvu de sauve­garde) et nouveau­tés qui ne seront pas utiles à tout le monde (nouvel EQ, Sampler Track, pistes marqueurs), ce Cubase Pro 9 n’est sans doute pas un mauvais bougre, mais il peine à faire rêver. Les cuba­siens zélés devront donc voir midi à leur porte pour savoir si cette Pro 9 vaut les 100 euros qu’elle réclame depuis la 8.5… et les 200 euros depuis la 8. Car oui : les prix ont augmenté.

Reste à parler de Cubase plus globa­le­ment pour ceux qui ne seraient pas déjà utili­sa­teurs et qui envi­sa­ge­raient de l’ache­ter en version complète. Il faudrait être de bien mauvaise foi pour ne pas recon­naître que Cubase Pro 9 est un excellent logi­ciel qui, parce qu’il offre un ensemble complet d’ou­tils bien pensés au sein d’un cadre cohé­rent, satis­fera le compo­si­teur comme le produc­teur ou l’ingé son, quel que soit le genre de musique qu’ils affec­tionnent. C’est pour cela que le logi­ciel s’en tire fina­le­ment avec 4 étoiles quand cette mise à jour n’en vaudrait sans doute que 3.

C’est qu’on a connu Stein­berg plus créa­tif et auda­cieux par le passé, tandis que le logi­ciel, à 580 euros, figure parmi les plus chers du marché sans que rien ne justi­fie vrai­ment ce prix. Certes, Cubase jouit de quelques excel­lentes fonc­tions que les autres n’ont pas (Chord Track, Control Room, fonc­tion d’har­mo­ni­sa­tion, éditeur logique), mais il a aussi bien des lacunes par rapport à ses rivaux (pas d’objets audio, de meta-effets ou de meta-instru­ments, pas d’édi­tion poly­pho­nique, eLicen­cer contrai­gnant et n’ap­por­tant… RIEN !) et s’avère labo­rieux sur bien des pans de son ergo­no­mie (confi­gu­ra­tion des entrées/sorties toujours aussi pénible, impos­si­bi­lité de colo­rer les tranches de console, orga­ni­sa­tion de l’in­ter­face limi­tée, problèmes de gestion d’écrans sous Mac, etc.). Souli­gnons-le enfin : à l’heure où la plupart des éditeurs concur­rents font des efforts pour séduire leurs utili­sa­teurs et leur faire aimer la marque en propo­sant de vraies mises à jour gratuites (et pas seule­ment des bugfixes), Stein­berg compte proba­ble­ment parmi les moins géné­reux du marché, clai­re­ment plus proche dans son atti­tude d’un Avid que d’un Cockos. Sans crier au scan­dale, on espère donc mieux de la version 9.5.

  • Steinberg Cubase Pro 9 : samplertrack
  • Steinberg Cubase Pro 9 : historiqueconsole
  • Steinberg Cubase Pro 9 : lowerzone
  • Steinberg Cubase Pro 9 : lowerzone2
  • Steinberg Cubase Pro 9 : sentinel
  • Steinberg Cubase Pro 9 : maximizer
  • Steinberg Cubase Pro 9 : marqueur
  • Steinberg Cubase Pro 9 : autopan
  • Steinberg Cubase Pro 9 : frequency

 

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Notre avis : 8/10

  • Historique de la MixConsole, on en a rêvé
  • Lower Zone bien pratique, notamment sur portable
  • Sampler Track : un outil qui simplifie la création
  • Nouvel EQ autrement plus complet et ergonomique
  • Audio-Ins bienvenus
  • Les marqueurs multiples : ceux qui font du son à l’image vont gagner du temps
  • Nouvelles interfaces de plug-ins
  • Outils collaboratifs améliorés
  • Tout ce qu’on aimait déjà dans Cubase: l’éditeur logique, les pistes accords, la Control Room, etc.
  • Pas de sauvegarde de l’historique console
  • Pas de LFO dans la Sampler Track
  • Disparition du bridge 32 bits (encore que ce ne soit pas une si mauvaise nouvelle)
  • Pourquoi du M/S seulement pour l’EQ ?
  • Pas full screen sur Mac et support Retina perfectible
  • Prix de la mise à jour depuis la 8
  • Tout ce qui nous agaçait déjà : ergonomie laborieuse, pas d’ARA, d’objets audio ni de meta-instruments/effets, et eLicencer !
  • Steinberg ne force pas son talent

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